Vlad

@popov
Bon résumé

@ZenZoe
C’est effectivement un peu ça à un certain niveau

Tiens voilà Mr Joanny albrecht de Bourg-La Reine !
Je pense que vous pourrez trouver certaines réponses dans wikipédia. Quant à mes enfants, je vous remercie de vous en soucier, mais regrette que vous n’en ayez pas fait autant avec votre fille ainsi que me le rappelait sa mère.
Au fait comment va votre société qui curieusement rapporte toute seule, sans que personne n’y travaille ?
Je vous laisse à vos préoccupations à venir.

Bonjour à vous Siatom,
j’ai effectivement abandonné les blogs de l’obs où je commençais à m’ennuyer après plusieurs années dont certaines furent pourtant fastes en termes d’échanges (et de bourrage de pif) avant que peut-être une certaine personnalisation rende cela bien terne et sans grand intérêt.
Merci de votre accueil ici où le format me semble effectivement très différent.

@Gabriel
Dans l’absolu vous avez raison, mais la situation que vous décrivez n’existe pas. La phrase que j’ai citée de Napoléon l’indique clairement. Il n’y a jamais eu un moment où les principes que vous évoquez aient été exempts de calculs. La vanité, on ne peut même pas parler quand il s’agit de la LH d’intérêts matériels, d’être distingué entre ses contemporains, ainsi que la perception de cette vanité chez ceux à qui revient le privilège de distinguer, ne peut qu’entrainer des dérives. C’est davantage ces derniers que les bénéficiaires (en théorie on ne demande pas la LH) qu’il faut blâmer. Et c’est aussi ceux-là qu’on peut juger au travers de la signification des choix qu’il font.
La refuser ? Ceux qui souvent le font publiquement ont d’autres motifs que ceux que vous évoquez pour le faire. Et font preuve encore d’une plus grande vanité en se distinguant parmi les distingués, puisque de fait il suffit de ne pas se faire décorer pour ne jamais faire partie de l’ordre, et ça peut se faire très discrètement. Mais d’une façon générale, la refuser tandis qu’on ne l’a pas demandée, pour les raisons que vous invoquez c’est juger que son honneur est supérieur à tous ceux qui l’acceptent.
Mais ce n’est pas simple effectivement car il est désagréable d’appartenir aux même ordre que des gens qu’on estime méprisables ou qui, en tout les cas, ne rentent pas dans les critères d’attribution.