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Voltaire

Voltaire

Humaniste de ce siècle. La science a longtemps été ma passion, avant de devenir mon métier. Celui-ci a évolué depuis, mais je lui dois quelques enseignements fort utiles : curiosité, raison, un peu de sens commun et point trop de crédulité aveugle. A cela se rajoutent quelques passions sans doute déraisonnables, pour la justice, la bonté, les gens d’esprit, le bon vin et autres égarements, mais nul n’est parfait. Si je n’ai le talent de mon illustre pseudonyme, je tâcherai du moins de ne lui point faire honte, en demeurant aussi honnête que possible.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/09/2006
  • Modérateur depuis le 06/10/2006
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Derniers commentaires



  • Voltaire Voltaire 17 février 2012 16:15

    @pixels

    Lorsque l’on débute son argumentaire par une attaque personnelle, en général, cela ne présage rien de bon pour la suite. Après tout, est-il besoin de critiquer la personne, sinon pour détourner l’attention sur la vacuité de ses propres arguments ?

    Hélas, la suite confirme l’hypothèse. Après avoir critiqué une personne, vous critiquez l’ensemble des centristes. Qui peut le moins peut le plus... C’est vrai après-tout, un centriste pourrait-il avoir des valeurs, des idées, des convictions différentes de celle de Sarkozy... d’après-vous, manifestement, non. Une conception intéressante de la société.

    Je passe sur votre exemple de la TVA, à partir du moment où votre commentaire n’est que mauvaise fois, pourquoi essayer d’être objectif. Ceux que cela intéressent savent que l’accroissement dela TVA proposée par Bayrou (1% en 2012, et si besoin 1% en 2013) est destiné à combler le déficit budgétaire abyssal qui a été creusé par les gouvernements précédent, tandis que celle de 1.6% proposée par Sarkozy est destinée à réduire les charges partronales. Pour vous, c’est du pareil au même, mais sans doute préférez-vous que la France se retrouve dans la situation de la Grèce dans quelques années.

    Je reviens donc sur votre conclusion en forme d’insultes ; lorsque votre humble personne daignera nous gratifier d’un article dont la vision et la fulgurance seront à l’aune de vos commentaires, nous seront fort satisfait de pouvoir le commenter en toute objectivité. Je crains hélas qu’à l’aune de votre pseudonyme, celui-ci ne se contente, en terme de vision, que de quelques pixels.



  • Voltaire Voltaire 17 février 2012 12:58

    Ni Villepin ni Bayrou ne rejoindront un gouvernemetn de gauche, simplement parce que la gauche ne veut pas d’eux (même si ce serait possible sur les idées). La realpolitique est là : la base du PS considère le centre comme la droite, et réfère Mélanchon à Bayrou.
    De l’autre côté, à l’UMP, tout comme au PS d’ailleurs, il faut comprendre que l’intérêt alimentaire passe avant toute considération idéologique. L’UMP et le PS sont des machines à gagner les postes, mandats électoraux et positions d’influence. Personne n’a envie que cela change chez les élus. Le seul endroit qui évoluera nécessairement après cette élection sera le centre : l’aventude Morin a démontré la perte d’influence du NC. Une recomposition se fera autour de Bayrou, qui récupérera l’essentiel des centristes et une parte des centristes de l’UMP ex-UDF, puisque l’UMP sera en position de faiblesse. Cela permettra au centre de discuter de façon plus égale avec l’UMP de Copé pour les prochaines échéances. Mais le coeur de l’UMP demeurera, avec une composante conservatrice et une autre populiste.



  • Voltaire Voltaire 17 février 2012 12:09

    Actuellement, on constate que l’essentiel des députés NC soutiendra Sarkozy (pour conserver leur siège, il y aurait 2-3 exceptions), l’essentiel des sénateurs NC soutiendra Bayrou (eux n’ont pas à se préoccuper de leur siège en 2012). Une bonne partie des militants et élus locaux est prêt à soutenir Bayrou car en divergence profonde avec Sarkozy sur le fond, et humilié par l’UMP depuis des années.
     
    Comme il y aura nécessairement recomposittion du centre autour de Bayrou après la présidentielle, les députés font sans doute une erreur de jugement (car Bayrou sera plus capable de défendre leur siège que Morin...), mais ainsi va la politique, et ses faiblesses.

    Il sera intéresant de regarder les scores des 2 motions soumises lors du prochain congrès du NC le 25 février, l’une en faveur du soutien à Sarkozy, l’autre, défendue par le président des jeunes du NC et quelques parlementaires, en faveur d’un soutien au seul candidat centriste encore dans la course...



  • Voltaire Voltaire 14 février 2012 11:10

    Bayrou doit pousser un « ouf » de soulagement... Et ce ralliement démontre que ses intérêts politiques sont infiniment plus importants que ses valeurs chrétiennes...



  • Voltaire Voltaire 13 février 2012 13:51

    J’ai souvent été en désaccord avec les articles d’Imothep, que je trouve parfois simplistes ou carricaturaux. Mais sur ce sujet, je ne peux que soutenir totalement son pont de vue.

    Les déclarations du chef de l’Etat ont créé une réelle fracture par rapport à la vision républicaine de François Bayrou. Il s’agt effectivement d’un tournant majeur, dans la mesure où le chef de l’Etat a choisi d’’inscrire sa candidature dans une démarche populiste, présentant à la vindicte populaire une série de boucs-émissaires, plutôt que dans la tradition plus classiquement conservatrice de la droite Française, de défense de valeurs et de rigueur économique.

    Face à cette position, François Bayrou ne pouvait rester sans réaction, dans la mesure où sa vision sociétale est justement celle de rassembler les forces du pays pour lutter contre une situation compromise.

    A juste titre, l’auteur indique qu’il ne s’agit pas là d’une simple réction d’opportunisme politique, mais quelque chose de bien plus profond : Bayrou vient de retrouver le Sarkozy qu’il avait dénoncé dans son livre abus de pouvoirs, avec en plus une nouvelle coloration « cousue de fils bruns » comme la nomme Alain Madelin.

    Il sera intéressant de voir quelles seront les réaction des responsables de la droite modérée face à ce positionnement très conflictuel. François Bayrou, en se démarquant de façon incontestable de cette attitude, aura au moins gagné en respect, sinon en voix, cette partie de l’électorat pour laquelle l’électoralisme ne peut justifier toutes les dérives.

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