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William7

Sociologue et intervenant social.

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  • Premier article le 15/05/2009
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Derniers commentaires



  • William7 28 janvier 2009 11:34

    Sincèrement ras-le-bol de ces réacs qui arrêtent pas de jouer les "victimes" de ce qu’ils appellent la bien-pensance. Leur novlangue est nauséabonde.

    Ils ont une série de vocables débités comme des chiens de pavlov et qu’ils pensent originaux et subversifs, alors qu’ils sont uniquement le reflet de leur idéologie droitière (oui oui !) et psychologisante. 




  • William7 28 janvier 2009 11:34

    Sincèrement ras-le-bol de ces réacs qui arrêtent pas de jouer les "victimes" de ce qu’ils appellent la bien-pensance. Leur novlangue est nauséabonde.

    Ils ont une série de vocables débités comme des chiens de pavlov et qu’ils pensent originaux et subversifs, alors qu’ils sont uniquement le reflet de leur idéologie droitière (oui oui !) et psychologisante. 






  • William7 5 janvier 2009 13:15

    Les libéraux sont justement des adeptes de la novlangue. Ils ont été cassés dans cet excellent petit ouvrage !

    La novlangue néo-libérale. la rhétorique du fétichisme capitaliste (Alain Bihr)

    Les Soviétiques avaient l’habitude de dire que la Pravda (en russe : La Vérité) - organe du comité central du défunt Parti communiste d’Union soviétique - méritait bien son titre.
    En effet, il suffisait de la lire pour apprendre la vérité. à l’expresse condition d’en prendre le contre-pied. Le discours néolibéral qui colonise actuellement les scènes médiatiques et politiques est de la même farine. Pour entendre la vérité en l’écoutant, il suffit d’en inverser les termes, comme entreprend de le faire cet ouvrage pour les principaux concepts clés de ce discours. Chacun d’entre eux apparaît alors soit comme un mot-valise qui passe son contraire en contrebande, soit comme un mot-écran qui fait obstacle à l’usage de son contraire, soit même comme les deux à la fois.
    Le discours néolibéral se révèle ainsi un nouvel avatar de cette perversion discursive pour laquelle Orwell a créé le néologisme de novlangue quand il a entrepris de représenter l’univers totalitaire dans son célèbre roman 1984. Polémiquer contre ce discours n’implique pas cependant de sacrifier la rigueur de l’analyse. Au contraire, l’arme de la critique n’est jamais aussi acérée et ne fait jamais autant de mal à l’ennemi que lorsqu’elle recourt au concept.
    En renouant avec la critique marxienne du fétichisme économique, dont la fécondité théorique est ici une nouvelle fois illustrée, il est possible de mettre en évidence l’essence religieuse de ce discours. Ce dernier n’hésite pas à proposer d’immenses sacrifices humains pour assurer la survie de la marchandise, de l’argent, du capital, du marché, de la société civile, de l’Etat, de la propriété privée, etc.
    , autant de rapports sociaux réifiés et déifiés devant lesquels il se prosterne comme devant autant d’idoles barbares.



  • William7 29 décembre 2008 11:43

    Péripate, docteur en novlangue.

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