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Yann 35

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 02/05/2008
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Derniers commentaires



  • Yann 35 Nouvelle politique 21 avril 2007 11:35

    Personnellement il y a de plus en plus de chances que j’adhère à la Nouvelle Déomcratie Sociale tellement je trouve que cette élection n’a été qu’une grande manipulation dogmatique à grands renforts de média, mais aucun débat de fond, juste des paillettes... Alors que le pays attend un vrai changement de cap pour éviter la dégringolade !



  • Yann 35 Nouvelle politique 20 avril 2007 10:39

    Je sens poindre un début de rapprochement entre nous : espoir !

    Je n’ai pas tout développé dans mon article, car il y aurait tant de choses à dire sur cette problématique qui a pourtant été totalement absente de la campagne présidentielle. Loin de moi l’idée de plébisciter l’opinion « patrons salauds » car encore une fois, heureusement beaucoup de chefs d’entreprise se comportent en dirigeants responsables et restent à l’écoute des préoccupations de leurs salariés, il existe même une frange d’entrepreneurs socialement investis. Mais la fracture se creuse, il faut bien le constater, du fait en partie des managers et de leur stratégie mais, je vous rejoins là-dessus, du fait également de salariés ou candidats à l’embauche qui se sont également « dérespnsabilisés » de leurs obligations. Les candidats qui se présentent à l’entretien en jogging, en tongs, qui mâchent un chewing-gum devant un employeur potentiel, qui ne s’intéressent qu’aux vacances et autres RTT en vigueur dans l’entreprise, qui oublient les formules minimum de politesse au téléphone, etc etc..., oui ça existe et c’est une réalité. Car eux aussi se renforcent dans leur position « je pense d’abord à moi, le projet de l’entreprise m’intéresse bien peu ».

    Je vous invite à vous rapprocher des services compétents de l’état pour bien préparer les futurs candidats et salariés, comme on forme (pour reprendre vos formules guerrières) des futurs soldats au combat. Insistez-donc auprès de leurs « casernes » pour qu’il soit fait un vrai travail de fond sur le comportement à adopter face à un employeur. Pour information ces questions font pleinement partie de mon plan d’action au quotidien, je le dis avec diplomatie mais très clairement aux futurs candidats à une embauche et salariés de demain : donnez-vous la chance, par votre comportement, de réfléchir à une proposition d’embauche et si vous la refusez, faites-le avec le maximum de courtoisie car « il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas »... Et par rapport à leur futur activité dans l’entreprise, je leur explique avec la plus grande transparence toutes les contraintes et les avantages du secteur où ils s’apprêtent à travailler, avec un contexte de marché inéluctable.

    Mais s’il-vous-plaît, ne vous renforcez pas également dans votre position et prêtez votre écoute à ceux qui espèrent un rapprochement des salariés et chefs d’entreprises autour d’un projet commun. Nous pouvons y arriver, c’est de la responsabilité de TOUS, comme tous les autres sujets de société d’ailleurs.

    Bien vu pour le concept de « mouche du coche », cependant je ne cèderai pas personnellement aux tentations « ordurières » à propose de problèmes aussi sérieux et graves de conséquence que celui dont nous débattons.

    Enfin les patrons et ouvriers de kibboutz’s qui se retrouvent le soir autour d’une piscine, je trouve ça formidable !



  • Yann 35 Nouvelle politique 19 avril 2007 22:26

    Monsieur, vous faites honneur en tout cas à votre pseudo si joliement illustré par une image de mouche à m..de, ça n’est pas vraiment de nature à me rassurer sur votre responsabilité de chef d’entreprise et je ne m’étonne guère du discours très dogmatique que vous tenez farouchement.

    Votre position renforce mon propos sur la « défiance » croissante de certains entrepreneurs à l’égard de leurs collaborateurs. Je mesure, ou plutôt je vérifie la difficulté à venir pour ouvrir un débat constructif autour de la valeur entreprise. Pourtant l’urgence à inverser cette tendance n’en est que plus flagrante. Merci, donc, d’illustrer mon propos.

    Allez, pour vous faire plaisir je n’ai pas eu de salariés effectivement dans mon entreprise... dont l’activité était, je vous l’apprend, de l’intermédiation en matière de recrutement. Autant vous dire que les problématiques de recrutement des entreprises ne m’étaient pas vraiment étrangères... Qu’entendez-vous d’ailleurs par « guerre du feu » et « comme à la guerre » quand vous évoquez l’embauche d’un nouveau salarié ? Les candidats au recrutement par votre entreprise seraient-ils de féroces ennemis à combattre ? A moins que vous ne considériez vos collaborateurs comme la « chair à canons » d’un conflit économique ? Bref, nous avons là aussi une belle démonstration de votre part.

    Ensuite permettez-moi de vous citer à mon tour : « N’importe quel chef d’entreprise constate très vite qu’augmenter la rémunération n’augmente JAMAIS la motivation d’un salarié. Cela se saurait. ». Je vais vous donner en partie raison : effectivement une augmentation, seule, n’est pas une condition suffisante à faire un « bon » salarié, en revanche c’est une condition nécessaire à moyen terme si vous souhaitez le conserver dans votre effectif (à sa place j’y réfléchirais). Maintenant le terme JAMAIS me choque, oui me choque et me désole sur votre capacité d’analyse : je n’ai jamais dit qu’une augmentation du salaire fixe d’un salarié aurait mécaniquement un effet sur la motivation qui s’en suit, au contraire je pense effectivement qu’une augmentation sans objet ne change guère que le chiffre d’un relevé bancaire. Je parlais bien de participation aux résultats de l’entreprise, d’intéressement à son développement. Ceci est très courant, sans aller jusqu’à la SCOOP ou jusqu’au projet de De Gaulle impliquant les salariés aux décisions de l’entreprise. D’ailleurs c’est plutôt étonnant que ce soit en ce moment des candidats de droite qui parlent d’actionnariat salarial, vous concernant vous inclinez peut-être pour l’entreprise stalinienne, tout le monde au même salaire et pas un euro de plus, même si la rentabilité est bonne.

    La productivité vous permet de payer les gens ? La productivité n’est qu’une valeur de production, prenez des cours du soir en économie Monsieur ! Vous avez d’ailleurs un peu plus haut le commentaire d’un économiste...

    « (et les familles derrière, les oubliez-vous ?) » C’est purement de la sensiblerie malveillante, je n’y répondrai pas.

    Mon travail est d’aider les entreprises à recruter, leur permettre de le faire dans les meilleures conditions financières et je participe également à la formation et au placement d’ex-salariés. Sachez que j’y rencontre un succès d’estime partagé par tous et des résultats, c’est bien l’essentiel, très significatifs. L’objet de mon article n’est cependant pas d’étaler mon CV, mais bien d’ouvrir un débat que j’aimerais, après ce droit de réponse, le plus serein et objectif possible. Je vous remercie donc de garder pour vous vos angoisses d’entrepreneur que je peux très bien imaginer et d’observer posément les enjeux d’un nouveau rassemblement possible autour de la notion d’entreprise.



  • Yann 35 Nouvelle politique 19 avril 2007 19:36

    « Et je peux vous assurer qu’il s’agit bien d’une réalité que je constate au quotidien, au contact à la fois des entreprises et de leur ex-salariés. »

    La réponse était un peu plus haut, oui je rencontre aussi des chefs d’entreprise à qui j’expose naturellement ces problématiques, en les invitant à y réfléchir ensemble et bien entendu à proposer des solutions pour rendre sinon leur entreprise, au moins leur secteur d’activité plus attractif. Je préfère le dialogue aux moyens de sanction dont je dispose.

    Je n’ai pas cité la PME vendéenne, qui n’est pas une SCOOP, comme une entreprise novatrice mais plutôt comme une entreprise exemplaire.

    Votre réflexion sur le fait de « taper sur les entreprises » montre bien qu’il est difficile de ne plus réagir en partisan « pro » ou « anti » patrons. Personnellement mon intention est justement de nous emmener bien loin de cette vision de l’entreprise en réfléchissant avec beaucoup de pragmatisme au moyen de faire avancer tout le monde autour d’un même projet, d’une même ambition.

    Enfin pour terminer j’ai déjà créé mon entreprise, ça aide à comprendre les problématiques complexes de la gestion des ressources humaines.

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