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Zèbre

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Un curriculum vitae m’étiquetterait, je n’aime pas trop les étiquettes mais je vais y réfléchir, promis.

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  • Zèbre Zèbre 9 novembre 2006 18:54

    « Quand les articles sont très commentés, c’est qu’ils traitent de sujets intéressant ou apportent un point de vue original. »

    Pour écrire françois, il conviendrait tout d’abord d’accorder « intéressant » avec « sujets ».

    Contrairement à ce qui est asséné sans nuance, le nombre de commentaires n’est pas nécessairement corrélé avec l’intérêt du sujet ou le fait qu’il apporte un point de vue original.

    En l’espèce, si le sujet est intéressant, sous-entendre qu’une originalité pourrait se trouver dans le point de vue développé semble, pour le moins, risible...

    Précisément, la différence entre le technicien à qui l’on vient de conter une technique : « les choses se passent comme cela » et qui vient, fièrement réciter sa leçon à ceux qu’il considère A PRIORI comme novices pour leur montrer que lui sait et le scientifique, qui connait les limites de la technique se situe dans l’attitude. L’un croit savoir et l’autre sait qu’il ne sait pas, que la SEULE démarche est le doute, la remise en cause, que seule cette attitude, cet état d’esprit permet de progresser dans la connaissance.

    « On peut être pour ou contre mais il y a toujours quelques frustrés jaloux que cela dérange et qui se croient obligés de déverser des tombereaux de fiel hors sujet pour se prouver qu’ils existent. »

    Précisément, en, l’espèce, le dicton populo « c’est celui qui dit qui est » parait pertinent.

    « Ce Zèbre là a perdu une occasion de se taire, mais il avait sans doute un besoin pressant. La bave du zèbre ne vaut pas mieux que le crottin des ânes. »

    Bien vu : Il est très juste qu’il y avait un besoin pressant. Il était temps de s’élever enfin, et brièvement pour le moment contre cette farce à propos de l’âge de l’Univers, récitée à tout va par les techos de tous poils, lecteurs de revues de vulgarisation en tous genres.

    Le crottin des ânes enrichit, fertilise la Terre afin qu’elle y accueille de nouveau une vie, dont la libellule pourra se nourrir.

    Parmi les insectes, la libellule est plus agréable au zèbre que le moustique.

    Parler de l’âge de l’Univers n’a pas de sens.

    JE le maintiens et JE le hurle.

    Résoudre une équation n’autorise en rien à mettre un nom sur les termes de celle-ci, que l’on soit une libellule, un zèbre ou que l’on s’appelle Robertson ou Walker et de surcroît quand on n’est pas à l’origine de l’équation.

    Les anciens (Einstein inclus) s’interrogeaient sur la substance, sur le SENS des grandeurs physiques qu’ils mettaient en équation.

    Aujourd’hui (Bohr et consors) ont l’outrecuidance de prétendre que peu importe le SENS, qu’il suffit de savoir résoudre l’équation.

    Ainsi sera hérétique celui qui osera émettre le mot « éther » quand celui qui le considèrera ainsi viendra nous tranquillement nous raconter que la lumière est une ONDE qui se propage DANS le vide.

    Le vocable DANS pour parler du vide étant ici le summum du délice probablement de la bave de zèbre, de celle d’un zèbre de Grévy, goutant pour la première fois celle de son amante, une zèbresse de Hartmann.



  • Zèbre Zèbre 7 novembre 2006 19:57

    « Je me propose ici de donner au lecteur novice un fil d’Ariane qui permette de ne pas se perdre dans le labyrinthe que constitue la complexité du vivant. Je montre un chemin, ce n’est pas le seul possible. »

    Le lecteur novice remercie « Je » de tant d’altruisme. 13,7 milliards d’années d’ignorance enfin balayées par le bon vouloir humble et inopiné - et tant d’adjectifs louables encore - de « Je ».

    Quel bel outil pédagogique libéré de tout dogme et préjugé avons nous là !

    Nous, Louis, Roi, sommes donc issus d’une gigantesque explosion, il y a 13 752 677 231 années. Quel rayonnement !

    Comme il est agréable de penser que l’on peut ainsi compter les années antérieurement à la naissance de ce vocable, antérieurement même à la naissance de ce qu’il SIGNIFIE, de ce vers quoi il « pointe », consécutive à celle de la Terre, laquelle a été, dès sa première révolution, parfaitement réglée sur un certain nombre de fois 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l’état fondamental de l’atome de césium 133.

    Oui, quelle belle libération de tout dogme et préjugé dès les premiers mots de ce bel article !

    Et ô combien Einstein dont « Je » peux donc à juste titre se référer pour arguer de la simplicité de son exposé serait fier de lire tout cela, lui qui, le dernier, ayant, au contraire de « Je » eu beaucoup de mal à se défaire de certains dogmes et préjugés, ETABLI la relativité du TEMPS.

    Comme il est beau après cela d’entendre parler d’âge de l’Univers, tel un objet UNIQUE, bel ensemble si FAMILIER de galaxies où l’on va se promener dès qu’on a 5 minutes et autres matières sombres encore plus familières.

    Deux horloges au Césium, l’une à Paris, l’autre au sommet de l’Himalaya ne donnent pas la même heure et pourtant, l’Univers, d’un seul HOMME a son coeur qui bat depuis 13 752 677 231 années !!!

    Ici est LE sens, la fin du mystère en CE début, ce grand PROUT d’où provient toute matière, toute lumière et bien évidemment, toute matière sombre.


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