Les retours à la ligne, de même que les signes d’équivalence n’ont pas été pris en compte par ce brave SPIP. Il a du détecter automatiquement la faute et décider, tout aussi automatiquement, de rendre la chose incompréhensible.
a = b puis ab = b2 puis ab - a2 = b2 - a2 puis a (b - a) = (b + a) (b - a) puis a = b + a enfin b = 0
« O prisonniers comprenez-moi ! Je vous délivre de votre science, de vos formules, de vos lois, de cet esclavage de l’esprit, de ce déterminisme plus dur que la fatalité. Je suis le défaut dans l’armure. Je suis la lucarne dans la prison. Je suis l’erreur dans le calcul : je suis la vie. »
Antoine de Saint-Exupéry, Courrier Sud, chapitre XI
a = b <=>
ab = b2 <=>
ab - a2 = b2 - a2 <=>
a (b - a) = (b + a) (b - a) <=>
a = b + a <=>
b = 0
J’aime bien cette faute de déduction (j’ai même mis des équivalences) élémentaire, que je ne connais tout de même pas depuis l’âge de 6 ans. Je la connais depuis environ l’an 1980 du calendrier grégorien. Et de ces deux propositions, il est impossible de déterminer exactement mon âge, on peut toutefois le « borner » n’est-ce pas
J’espère que John Bell en a fait une autre (faute de raisonnement ou de calcul).
Vous me demandez si vous avez raison, mais je ne sais pas à propos de quoi ? Avez-vous raison d’aller au bout de mon raisonnement ? D’aller au bout de ce que vous croyez être mon raisonnement ? D’avoir l’air extrême ? De savoir si ce dont nous discutons est bien un raisonnement ? Ou bien plus simplement me demandez-vous mon avis sur ce que vous allez dire (au futur de votre point de vue, car du mien, le lisant, il s’agit du passé : vous l’avez dit puisqu’il m’est permis de le lire) ?
Humblement, ce que vous dites me parait juste. C’est scientifique. Il y manque toutefois, pour mon humble compréhension, quelque chose d’essentiel : le sens que vous donnez au verbe EXISTER.
Trivialement, si le fait qu’un objet « existe » pour un sujet correspond à ce que le sujet en ait des perceptions, il n’est nul besoin d’élaborer une quelconque théorie : le zèbre existe pour toto, par DEFINITION du verbe « EXISTER ».
Le sens, pour vous, de vos paroles sur l’existence du zèbre se résume donc au sens que vous donnez au substantif « existence » et au verbe « exister » qui lui est associé.
Il y a équivalence (réflexivité, symétrie, et transitivité) entre les deux.
D’où l’intérêt, PRECISEMENT (ce qui est différent de l’extrémisme), d’énoncer le sens des termes que l’on met en équations. (Presque) tout est là...
Sourire, je CROIS dans les expériences conduisant à la définition de l’effet dit Casimir !
Entre parenthèses, il n’est pas exclu qu’il y ait des coquilles sur Wikipedia. Toutefois Wikipedia est l’un des rares endroits (le seul à ma connaissance mais je n’ai pas beaucoup cherché) où les liens renvoyés par Google lorsque l’on a saisi « mécanique quantique » conduisent pour le premier à un historique clair et pour le second aux postulats. La plupart des autres liens soit tournent autour du pot, soit balancent d’entrée des équations sans en avoir introduit les notations, soit, le pire, et également d’emblée, sans dire de quoi il retourne, en vantent les mérites dus au fait que ses « prédictions » (vocabulaire de sectaires du moyen âge que précisément ON se félicite de dénigrer et de ne rien à voir avec) se sont toujours avérées.
Mon commentaire initial concernait exclusivement l’article de Mr l’Ingénieur qui se propose d’éclairer les novices (auxquels personnellement et humblement je conseillerais plutôt Wikipedia) et plus particulièrement, n’ayant ni l’envie, ni le temps, ni la prétention de faire un procès complet, l’emploi du terme « âge de l’Univers » que je considère, je me répète, comme parfaitement insensé.
Subsidiairement, dans un deuxième commentaire essentiellement destiné à répondre aux insultes (dorénavant effacées par l’équipe éditoriale) d’une prétendue Libellule, je me permettais de confirmer que votre commentaire
« le sens précis des 13 milliards d’années est donné en relativité générale. La solution de Robertson-Walker des équations d’Einstein est donnée pour un certain type de tenseur énergie-impulsion (type poussière), qui permet de définir un observateur immobile par rapport à la matière qui l’entoure immédiatement. »
ne me paraissait pas devoir changer quoique ce soit à ma première opinion.
Je suis presque d’accord avec vous : vous ne faites presque que dire que les 13 milliards d’années correspondent à une solution d’équation basée sur un modèle (sous entendu) dont je ne conteste pas le calcul.
Ce que je conteste c’est le mot que l’on met sur cette solution.
Pour moi, le terme calculé ne peut en aucun cas être appelé âge de l’Univers car le modèle ne correspond pas à LA réalité de l’Univers. L’Univers étant le TOUT, la notion d’âge est incluse en lui, cela ne peut donc pas être l’une de ses caractéristiques, l’un de ses états, globalement.
Car l’Univers (avec une majuscule, étant TOUT) a forcément TOUS les âges.
En quelque sorte, j’ai la même aversion lorsque j’entends un journaliste dire, à partir d’un sondage, 44 % des français pensent que ceci ,12 % pensent que cela. Ceci est un abus de langage. Il s’agit seulement de 44 % des sondés soit quelques dizaines, quelques centaines tout au plus, de français. Il ne s’agit donc en aucun cas de 44 « pour cent » des français mais plus exactement de 10 ou 12 « pour million » des français. Si au lieu de dire « 44 % des français », le journaleux disait « 44 % des français sondés » (soit un mot de plus qui ne lui coûterait donc pas beaucoup plus de bave) ou « 44 % de l’échantillon que je considère représentatif de vous tous » (là le coût en bave est, j’en conviens, plus important), je ne verrais rien à redire.
Le modèle n’est pas la réalité. Vous me parleriez d’un dinosaure en particulier, je vous accorderais que vous puissiez, par un modèle, estimer son âge, mais l’Univers, étant le TOUT, il est une EVIDENCE PREMIERE que, quelque soit la généralité du modèle, personne ne puisse s’arroger le droit de dire « l’âge de l’Univers ».
Car, de même que l’on m’a mis au défi d’obtenir un prix Nobel, je puis mettre n’importe qui au défi de me trouver un observateur « immobile » (d’ailleurs quel sens a ce mot dans ce contexte, alors que le système solaire tout entier tourne avec la galaxie et que certains supputent même que des extinctions massives aient pu intervenir périodiquement, précisément à chaque passage du système solaire dans une certaine zone où règnerait un phénomène physique qui ne se trouverait pas, ou seulement de manière atténuée, ailleurs) par rapport à la matière qui l’entoure « immédiatement » (dans quel rayon ?) et de me démontrer que l’Univers, ce serait CELA ou que cela y ressemblerait fort ! Pioneer 10, l’engin le plus lointain n’étant parvenu qu’à 100 UA, nous faisant déjà supputer une erreur dans les formules les plus simples, comment oser prétendre à la concordance d’un quelconque modèle avec l’ensemble de l’espace, du temps, des masses, des charges électriques, des interactions (actuellement au nombre de 4, comme le père, le fils, le saint-esprit et amen) que l’on appelle Univers.
Le sens même du mot « Univers », comme celui du mot « Vide » est employé confusément. L’Univers, par définition, c’est TOUT. Et donc, aller parler de dimensions cachées, en dehors de l’Univers, n’a pas de SENS. Il est certain qu’il y ait des « choses » cachées. Tant qu’elles sont cachées, elle ne font donc pas partie de notre univers (sans majuscule). Lorsqu’elles seront découvertes (Louis XIV disposait déjà de toute la matière alentours pour construire avions, chars d’assaut, sondes spatiales mais cela était dans des dimensions, dans des lieux dont son esprit n’avait pas idée) elles intègreront notre univers.
Toutefois elles font d’ores et déjà partie de l’Univers.
D’ailleurs au lieu de « font d’ores et déjà partie », il serait sans doute préférable de dire « participent en tout temps, en tout espace, en toute masse, en toute charge, en toute interaction ».
En zèbre que je ne suis pas (l’ordinateur, l’argent sont des dimensions a priori inconnues des zèbres), je salue bien respectueusement Toto
Chère libellule, il semblerait que votre premier commentaire ait été censuré par l’équipe éditoriale qui l’aurait donc, à juste titre, considéré comme injurieux...
Je regrette donc de l’avoir cité dans la réponse que je lui faisais. Les mots baves et crottins pouvant dorénavant être considérés comme ayant été introduits par MOI.
J’ai parfaitement le droit, sans pour cela avoir à produire un titre de prix Nobel, de donner mon avis sur le sens ou l’absence de sens de certains mots employés par certains individus qui ne sont pas plus prix Nobel que moi.
J’ai également le droit de ricaner de l’arrogance de prétendus scientifiques, qui ne sont que des techniciens, quand ils mettent des mots sur certains termes d’équations ou quand ils interdisent un mot alors qu’ils en utilisent un autre, pour parler de la même SUBSTANCE.
Je ne serais que simple citoyen, je ne serais même qu’une simple bactérie, je pourrais tout à fait voir et critiquer telle ou telle action d’un Président de la République, d’un Empereur, de Jésus-Christ ou de n’importe quel être vénéré par des moutons. En cela, je ne critiquerais QU’une action particulière et n’enlèverait rien au bien fondé d’autres dires ou actions de ces vénérables individus.
Einstein n’était pas d’accord avec la « philosophie » probabiliste du monde de Mr Bohr.
Un certain paradoxe, dit EPR, n’est pas l’invention d’un esprit de zèbre. Le E de cet acronyme est celui d’Einstein.
Mr Toto, votre histoire de formules qui se vérifient toujours par l’expérience d’où la déduction qu’elles sont la vérité d’où votre exigence de devoir être prix Nobel pour avoir le droit de critiquer le SENS qu’ici ou là, n’importe quel mouton met A POSTERIORI sur les termes de ces formules est une imposture à plusieurs degrés, dérivable et intégrable, c’est même la dictature de l’ordre établi.
Première imposture, avant de traiter du sens des mots, sans donc dire ce qu’est l’énergie, mais simplement en regardant une formule, par exemple celle de l’énergie cinétique, la moitié de la masse multipliée par le carré de la vitesse. Cela s’est longtemps vérifié. Un toto de l’époque où elle se vérifiait toujours aurait tenu les mêmes propos que ceux que vous tenez à mon égard aujourd’hui envers quelqu’un, même et surtout le plus ignorant, qui serait venu lui dire tout simplement que rien ne prouve que cette formule soit toujours valable. Aujourd’hui, il semblerait pourtant que la formulation gamma moins un m c 2 soit un peu moins fausse...
Deuxièmement sur le sens des mots que l’on met aux termes des équations. Ainsi précisément quand je critique que l’on puisse appeler âge de l’Univers, un paramètre t d’une équation posée dans certaines conditions (lesquelles sont par ailleurs et de surcroît tout à fait arbitraires).
Par exemple le sens du mot « Energie », d’abord associé au « travail » d’une « force » sur une certaine « distance ». Il a été rapidement dit que l’énergie se conservait, cela a été même été posé en principe. Par la suite, il a été observé que l’énergie ne se conservait pas. Mais personne n’a voulu remettre en cause le PRINCIPE. Le sens du mot ENERGIE a donc tout simplement été transformé. La masse est devenue de l’énergie (E=mc2), la fréquence d’une onde est devenue énergie (E=h nu). Aujourd’hui, l’énergie n’a PLUS RIEN A VOIR avec ce qu’elle représentait au départ. Mais le mot a été conservé (c’est le cas de le dire pour la chose dont la définition, le PRINCIPE, est qu’elle DOIT se conserver). En revanche pour le mot éther est désormais formellement interdit comme synonyme de ESPACE. Le mot « VIDE » est la loi. Les ondes électromagnétiques, les sondes spatiales, notamment Pionner 10 (avez-vous entendu parler de son anomalie ? on en parle même sur Wikipedia) se déplacent en son sein, au sein du VIDE . Comble de la sottise du vocabulaire choisi, ce « vide », ce néant (égal, en quantité, à la croyance au mystérieux des techos) se mettrait aussi à fluctuer tout seul (Casimir a un effet qui n’est pas seulement celui qu’une marionnette peut faire à des enfants regardant la télévision). Après cela, les dictateurs viendront encore soutenir que « Vide » est un mot qui convient alors qu’éther est hérétique.
Je n’ai pas envie de poursuivre la discussion avec des techniciens bornés. Kelvin, a beau avoir été anobli et avoir fait avancer le savoir, ses derniers propos arrogants sur le fait que la science avait presque tout résolu peu avant qu’il ne nous quitte, n’en demeurent pas moins arrogants et critiquables par n’importe qui, fusse-t-il le plus petit des virus, la plus petite poussière, le plus petit quark, petite chose la plus insensée qui SOIT puisqu’il est prétendu qu’on ne puisse jamais la séparer d’au moins un de ses compagnons et donc qu’elle n’a pas d’existence en soi... Un proton serait trois quarks, un neutron serait aussi trois quarks mais en même temps un neutron se transformerait en un proton, un électron et un antineutrino. Dans quel quark du proton se trouvaient donc le bel électron et l’antineutrino ?
Contrairement à l’auteur de l’article ayant entrainé ces discussions, je n’aime pas mettre en avant mes diplômes.
Car comme dit plus haut, quand bien même je ne serais qu’un petit virus, je me sentirais le droit d’attaquer un prix Nobel (et de nombreux virus ont terrassé des prix Nobel).
Et je n’aime pas être classé, jugé, vénéré ou rejeté parce que je possèderais tel ou tel titre, que je serais jaune, vert ou bleu. En effet, Monsieur l’auteur premier, votre titre d’ingénieur correspond à une formation de votre esprit, et pour vous FORMER, il a donc fallu vous DEFORMER pour vous CONFORMER, pour que vous deveniez CONFORME.
J’ai également eu l’honneur d’une telle déformation. Je suis Ingénieur Physicien Electronicien, diplômé d’une école reconnue par l’Etat Français. Cela ne me donne aucun droit supplémentaire à la parole. Je ne prétends détenir aucune vérité. Je prétends simplement avoir le droits de critiquer ceux qui prétendent les détenir.