Chère libellule, il semblerait que votre premier commentaire ait été censuré par l’équipe éditoriale qui l’aurait donc, à juste titre, considéré comme injurieux...
Je regrette donc de l’avoir cité dans la réponse que je lui faisais. Les mots baves et crottins pouvant dorénavant être considérés comme ayant été introduits par MOI.
J’ai parfaitement le droit, sans pour cela avoir à produire un titre de prix Nobel, de donner mon avis sur le sens ou l’absence de sens de certains mots employés par certains individus qui ne sont pas plus prix Nobel que moi.
J’ai également le droit de ricaner de l’arrogance de prétendus scientifiques, qui ne sont que des techniciens, quand ils mettent des mots sur certains termes d’équations ou quand ils interdisent un mot alors qu’ils en utilisent un autre, pour parler de la même SUBSTANCE.
Je ne serais que simple citoyen, je ne serais même qu’une simple bactérie, je pourrais tout à fait voir et critiquer telle ou telle action d’un Président de la République, d’un Empereur, de Jésus-Christ ou de n’importe quel être vénéré par des moutons. En cela, je ne critiquerais QU’une action particulière et n’enlèverait rien au bien fondé d’autres dires ou actions de ces vénérables individus.
Einstein n’était pas d’accord avec la « philosophie » probabiliste du monde de Mr Bohr.
Un certain paradoxe, dit EPR, n’est pas l’invention d’un esprit de zèbre. Le E de cet acronyme est celui d’Einstein.
Mr Toto, votre histoire de formules qui se vérifient toujours par l’expérience d’où la déduction qu’elles sont la vérité d’où votre exigence de devoir être prix Nobel pour avoir le droit de critiquer le SENS qu’ici ou là, n’importe quel mouton met A POSTERIORI sur les termes de ces formules est une imposture à plusieurs degrés, dérivable et intégrable, c’est même la dictature de l’ordre établi.
Première imposture, avant de traiter du sens des mots, sans donc dire ce qu’est l’énergie, mais simplement en regardant une formule, par exemple celle de l’énergie cinétique, la moitié de la masse multipliée par le carré de la vitesse. Cela s’est longtemps vérifié. Un toto de l’époque où elle se vérifiait toujours aurait tenu les mêmes propos que ceux que vous tenez à mon égard aujourd’hui envers quelqu’un, même et surtout le plus ignorant, qui serait venu lui dire tout simplement que rien ne prouve que cette formule soit toujours valable. Aujourd’hui, il semblerait pourtant que la formulation gamma moins un m c 2 soit un peu moins fausse...
Deuxièmement sur le sens des mots que l’on met aux termes des équations. Ainsi précisément quand je critique que l’on puisse appeler âge de l’Univers, un paramètre t d’une équation posée dans certaines conditions (lesquelles sont par ailleurs et de surcroît tout à fait arbitraires).
Par exemple le sens du mot « Energie », d’abord associé au « travail » d’une « force » sur une certaine « distance ». Il a été rapidement dit que l’énergie se conservait, cela a été même été posé en principe. Par la suite, il a été observé que l’énergie ne se conservait pas. Mais personne n’a voulu remettre en cause le PRINCIPE. Le sens du mot ENERGIE a donc tout simplement été transformé. La masse est devenue de l’énergie (E=mc2), la fréquence d’une onde est devenue énergie (E=h nu). Aujourd’hui, l’énergie n’a PLUS RIEN A VOIR avec ce qu’elle représentait au départ. Mais le mot a été conservé (c’est le cas de le dire pour la chose dont la définition, le PRINCIPE, est qu’elle DOIT se conserver). En revanche pour le mot éther est désormais formellement interdit comme synonyme de ESPACE. Le mot « VIDE » est la loi. Les ondes électromagnétiques, les sondes spatiales, notamment Pionner 10 (avez-vous entendu parler de son anomalie ? on en parle même sur Wikipedia) se déplacent en son sein, au sein du VIDE . Comble de la sottise du vocabulaire choisi, ce « vide », ce néant (égal, en quantité, à la croyance au mystérieux des techos) se mettrait aussi à fluctuer tout seul (Casimir a un effet qui n’est pas seulement celui qu’une marionnette peut faire à des enfants regardant la télévision). Après cela, les dictateurs viendront encore soutenir que « Vide » est un mot qui convient alors qu’éther est hérétique.
Je n’ai pas envie de poursuivre la discussion avec des techniciens bornés. Kelvin, a beau avoir été anobli et avoir fait avancer le savoir, ses derniers propos arrogants sur le fait que la science avait presque tout résolu peu avant qu’il ne nous quitte, n’en demeurent pas moins arrogants et critiquables par n’importe qui, fusse-t-il le plus petit des virus, la plus petite poussière, le plus petit quark, petite chose la plus insensée qui SOIT puisqu’il est prétendu qu’on ne puisse jamais la séparer d’au moins un de ses compagnons et donc qu’elle n’a pas d’existence en soi... Un proton serait trois quarks, un neutron serait aussi trois quarks mais en même temps un neutron se transformerait en un proton, un électron et un antineutrino. Dans quel quark du proton se trouvaient donc le bel électron et l’antineutrino ?
Contrairement à l’auteur de l’article ayant entrainé ces discussions, je n’aime pas mettre en avant mes diplômes.
Car comme dit plus haut, quand bien même je ne serais qu’un petit virus, je me sentirais le droit d’attaquer un prix Nobel (et de nombreux virus ont terrassé des prix Nobel).
Et je n’aime pas être classé, jugé, vénéré ou rejeté parce que je possèderais tel ou tel titre, que je serais jaune, vert ou bleu. En effet, Monsieur l’auteur premier, votre titre d’ingénieur correspond à une formation de votre esprit, et pour vous FORMER, il a donc fallu vous DEFORMER pour vous CONFORMER, pour que vous deveniez CONFORME.
J’ai également eu l’honneur d’une telle déformation. Je suis Ingénieur Physicien Electronicien, diplômé d’une école reconnue par l’Etat Français. Cela ne me donne aucun droit supplémentaire à la parole. Je ne prétends détenir aucune vérité. Je prétends simplement avoir le droits de critiquer ceux qui prétendent les détenir.