« Quand les articles sont très commentés, c’est qu’ils traitent de sujets intéressant ou apportent un point de vue original. »
Pour écrire françois, il conviendrait tout d’abord d’accorder « intéressant » avec « sujets ».
Contrairement à ce qui est asséné sans nuance, le nombre de commentaires n’est pas nécessairement corrélé avec l’intérêt du sujet ou le fait qu’il apporte un point de vue original.
En l’espèce, si le sujet est intéressant, sous-entendre qu’une originalité pourrait se trouver dans le point de vue développé semble, pour le moins, risible...
Précisément, la différence entre le technicien à qui l’on vient de conter une technique : « les choses se passent comme cela » et qui vient, fièrement réciter sa leçon à ceux qu’il considère A PRIORI comme novices pour leur montrer que lui sait et le scientifique, qui connait les limites de la technique se situe dans l’attitude. L’un croit savoir et l’autre sait qu’il ne sait pas, que la SEULE démarche est le doute, la remise en cause, que seule cette attitude, cet état d’esprit permet de progresser dans la connaissance.
« On peut être pour ou contre mais il y a toujours quelques frustrés jaloux que cela dérange et qui se croient obligés de déverser des tombereaux de fiel hors sujet pour se prouver qu’ils existent. »
Précisément, en, l’espèce, le dicton populo « c’est celui qui dit qui est » parait pertinent.
« Ce Zèbre là a perdu une occasion de se taire, mais il avait sans doute un besoin pressant. La bave du zèbre ne vaut pas mieux que le crottin des ânes. »
Bien vu : Il est très juste qu’il y avait un besoin pressant. Il était temps de s’élever enfin, et brièvement pour le moment contre cette farce à propos de l’âge de l’Univers, récitée à tout va par les techos de tous poils, lecteurs de revues de vulgarisation en tous genres.
Le crottin des ânes enrichit, fertilise la Terre afin qu’elle y accueille de nouveau une vie, dont la libellule pourra se nourrir.
Parmi les insectes, la libellule est plus agréable au zèbre que le moustique.
Parler de l’âge de l’Univers n’a pas de sens.
JE le maintiens et JE le hurle.
Résoudre une équation n’autorise en rien à mettre un nom sur les termes de celle-ci, que l’on soit une libellule, un zèbre ou que l’on s’appelle Robertson ou Walker et de surcroît quand on n’est pas à l’origine de l’équation.
Les anciens (Einstein inclus) s’interrogeaient sur la substance, sur le SENS des grandeurs physiques qu’ils mettaient en équation.
Aujourd’hui (Bohr et consors) ont l’outrecuidance de prétendre que peu importe le SENS, qu’il suffit de savoir résoudre l’équation.
Ainsi sera hérétique celui qui osera émettre le mot « éther » quand celui qui le considèrera ainsi viendra nous tranquillement nous raconter que la lumière est une ONDE qui se propage DANS le vide.
Le vocable DANS pour parler du vide étant ici le summum du délice probablement de la bave de zèbre, de celle d’un zèbre de Grévy, goutant pour la première fois celle de son amante, une zèbresse de Hartmann.