désolé la taverne, mais c’est une grosse bêtise : sauver le système de répartition est un choix politique, les exonérations fiscales et de cotisations sociales suffisent à combler le trou de la sécu et assurer les retraites. Un choix politique, de société, appellez-le comme vous voulez...
On oublie souvent que le cannabis est illégal en France depuis 1970 seulement, et cette substance naturelle a également une longue histoire dans notre pays, soigneusement occultée. Mais le lobby du cannabis est ridicule comparé à celui de l’alcool.
Quand à la dépénalisation, l’accompagnement des consommateurs pour limiter les coûts financiers et sociaux, la seule position théorique valide concerne absolument toutes les drogues et les substances. De telles positions existent depuis longtemps, et certains exemples ( le cas de Lucerne en Suisse actuellement par exemple, où les accros à l’héroine sont aidés, accompagnés par des psys et des assistants sociaux et non emprisonnés) montrent que cette position est la meilleure.
Evidemment, il faudrait pour cela que tous les individus composant la sociétés soient responsables, ce qui n’est pas le cas, et les facteurs sociétaux y sont pour beaucoup.
L’éternel débat : l’Etat doit-il infantiliser ses citoyens, en leur retirant l’accès à des substances dangereuses en cas de mauvais usage (sauf exception de l’alcool pour cause de lobby, cf plus haut) ou les responsabiliser en leur faisant confiance, informant, etc.
Quant aux tenants d’un monde sans drogues ... no comment.
(d’ailleurs il faudrait interdire le sexe aussi).
Allez bon spliff...
Très franchement, qui, sur Agoravox, se soucie de tes commentaires ?
« Moi je dis, quand on a rien à dire, on n’a qu’à fermer sa gueule ! » comme disait le plus grand homme d’esprit français, Michel Colucci.
Personne ne t’oblige à t’intéresser au monde ni à lire les articles qui ne t’intéressent pas, et si tous les lecteurs laissaient un commentaire comme le tien aux articles dont ils se foutent... on ne s’entendrait pas brailler en rond.
moi aussi j’y vais de mon adage : les ennemis de mes ennemis sont mes amis.
En effet, comment se situer face à la dictature de USA ? En amérique latine, ce mot a une véritable résonnance dans la mémoire collective. Alors, point de jugements à l’emporte-pièce.
j’ai un peu de mal à suivre votre raisonnement : « par ce systeme, plus on s’intèresse à la politique, plus on a de poids. En toute logique, on encourage le fanatisme. »