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Daniel Tourre

Daniel Tourre


39 ans 
Libéral depuis tout petit, il n'a jamais piqué un seau à un copain de bac à sable, par respect de son droit à la propriété. En tous cas, il ne s'en souvient pas.
Un peu plus grand, suite aux déplacements professionnels de son père, il découvre la grande misère dans des pays africains, rendus encore plus pauvres par le socialisme et minés par la corruption.

A l'université, il observe avec plaisir les raffinements de la culture d'extrême gauche pour atteindre la locomotive de chaque train de mécontents, d'élections savamment bidonnées en amphis intelligemment noyautés. Il en tire une vraie connaissance pratique des avantages de l'Etat de Droit sur les exigences des représentants autoproclamés de l'intérêt général.

 Ses études de Sciences physiques se terminent au Royaume-Uni ou l'euphorie confiante des Britanniques sur leur avenir (y compris les thésards en poterie médiévale orientale) contraste violemment avec la gravité dépressive de leurs collègues français. 
Il quitte malgré tout le cauchemar libéral anglo-saxon pour le paradis étatiste français et commence, après plusieurs mois de chômage, une carrière avec le titre pompeux de ‘consultant en organisation d'entreprise'. Il y remplit surtout des tableaux Excel entre deux réunions interminables, mais il y découvre les vertus de l'optimisation de la production par petites touches, les avantages de la concurrence sur la prospérité générale. Il y découvre aussi toutes les petites mesquineries refoulées qui font le bonheur du travail en équipe.
 
Il se met ensuite à son compte, d'abord dans l'informatique Internet, puis dans le reporting d'entreprise, enfin dans le risque bancaire. Cette longue expérience du freelance lui permet de découvrir l'importance de la confiance dans un environnement libre, la nécessité de la patience face à une administration kafkaïenne et l'art du stoïcisme devant la longue liste de taxes sortant de nulle part dont est bombardé le petit artisan IT qu'il est.
[email protected]

Tableau de bord

  • Premier article le 06/05/2009
  • Modérateur depuis le 08/03/2010
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Derniers commentaires



  • Daniel Tourre Ziberal 26 avril 2009 11:50

    Libéral convaincu, je suis d’accord avec certains aspects de votre article et assez dubitatif sur d’autres.

    D’abord d’accord avec l’opposition inutile entre social et économie.

    Maintenant, vous semblez sous entendre qu’il y aurait une économie au service de l’intérêt général qui serait autre que l’intérêt des particuliers ?

    Et qui pourrait définir l’intérêt général ?
    Et qui serait là pour décider de l’intérêt général ? Les groupes de pression les plus efficaces  ? (agriculteurs, fonctionnaires, pharmaciens, grosses industries, taxis, industries d’armement).

    L’intérêt général c’est de permettre à chacun de mener sa vie librement pour travailler, partager, s’associer, aimer sans avoir la matraque d’un Etat-berger charger de construire par le haut ’l’intêret général.’ (ou plus exactement l’intérêt des plus puissants du marché politique)

    http://www.dantou.fr/liberalisme.htm



  • Daniel Tourre Ziberal 26 avril 2009 11:28


    Cette crise devrait au moins servir à une chose :

    Forcer les citoyens à s’intéresser à ce que l’on fait de de leur monnaie !

    Je n’ai jamais vu en si peu de temps autant d’articles sur la monnaie.

    Je recommande vivement de s’intéresser à l’Ecole Autrichienne d’Economie (Hayek, Rothbard, Mises) depuis près d’un siècle hurle dans un desert sur les dangers de la monnaie et du crédit actuellement.

    http://www.dantou.fr/banques.html

    Il est urgent de revenir à une monnaie marchandise (or, argent ou autre chose), libre de préference.
    et à soit interdire purement et simplement la reserve de fractionnaire et la création de monnaie-crédit par les banques, soit laisser les banques totalement libres (en particulier de faire faillite) pour permettre au marché libre de faire le ménage..



  • Daniel Tourre Ziberal 28 février 2009 22:50

    Je travaille depuis près de 15 ans dans des open-spaces. En général de grandes banques.

    J’ai lu l’open space m’a tuer. Ces récits sont bien vus, mais ils me semblent davantage concerner l’ambiance de certains cabinets de conseil qui effectivement travaillent souvent en open-space, que l’ambiance open-space en général qui peut être assez détendue.

    Comme on dit beaucoup de témoignages précédents, au dela de l’open-space, il y a surtout la mentalité bien franchouillarde du management, ou le chef doit avoir sous ses yeux ses sulbalternes, ou l’heure du départ le soir est cruciale pour montrer son engagement (avec effectivement des parties de tétris ou de démineur en 18h00 et 20h0).

    D’une manière générale, l’entreprise française est encore très ancien régime, ou la place de chacun est régi par un statut (ecole d’ingénieur, chef) plus tot que ce qu’il fait.

    Cela étant depuis 15 ans je navigue plutot bien, sans stress avec 8h00 par jour de travail et des départs à l’heure.. comme quoi il faut aussi ne pas accepter certaines choses, c’est tout et ça passe si le boulot est ok.

    Et puis la servitude volontaire, elle existe. J’ai déjà vu des collègues travailler dans une ambiance execrable mais se rengorgeant en disant ’il nous pousse, c’est pas mal.." "je l’ai impressionné" etc..






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