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Commentaire de Eric de Trévarez

sur La Chose, le symbolisme et la destruction du sens


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Eric de Trévarez 20 juillet 2010 15:00

Merci pour votre contribution, la problèmatique du déficit de l’Être est effectivement centrale dans l’approche de l’Homme, et dans ma réflexion. Le marché exploite ce déficit de l’Être, que vous qualifiez d’infini, en proposant le monde infini des avoirs possibles. Le fil conducteur du marché est donc, lui aussi, sans limite. C’est ce qui fait la force du matérialisme et de l’économisme, avec tous les effets délétères que nous connaissons. 
Le matérialisme’est une régression mentale, dans le monde des objets et des choses. C’est une régression infantile dans le monde palpable.
L’abandon de l’Être, alors, conduit effectivement au neutre de la chose. 
Si le genre est important dans l’Être, il est inexistant et sans importance dans l’objet que je caricature par la chose. 


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