@ alinea
C’est de la provocation ?
Ce que je cherche, c’est du sang neuf. Des gens qui ne se sont pas associés ou acoquiné avec ceux qui ont méprisé le peuple, à commencer par Mitterrand (que Mélenchon a suivi) et à finir par Sarkozy.
D’autre, aujourd’hui, proposent dans leur mouvement la démocratie participative. Ce sont des citoyens ordinaires, des gens qui travaillent, qui vivent les contraintes de la vie quotidienne… Ils n’ont pas attendu Mélenchon pour proposer d’en finir avec le système et d’instaurer une vraie démocratie.
Les « Indignés » dont on a parlé au moment des dernières élections (2012), continuent de s’organiser. Pourquoi Mélenchon ne va-t-il pas les rejoindre ? Pourquoi ne s’adresse-t-il pas ou du moins ne fait-il pas allusion à cette mouvance que personne ne peut ignorer ?
Fédérer le peuple c’est aussi s’intéresser à d’autres mouvements qui ont les mêmes buts, la même volonté de rendre le pouvoir au peuple. C’est aussi abandonner une étiquette « gauche » ou « droite » car ceux qui veulent reprendre leur destin en main, peuvent être de droite comme de gauche. Le socialisme, dans l’acception noble du terme, n’est l’apanage ni de la droite ni de la gauche, à l’instar de l’économie saine.
Vous-même, vous êtes-vous intéressé à ces autres mouvements, avez-vous suggéré, puisque vous semblez très investi, des travaux collaboratifs ?