@philippe baron-abrioux
Bonjour,
Je me souviens de l’époque où devant la grande poste centrale de ma ville, les employés de la poste faisaient le pied de grue pour faire signer des pétitions pour empêcher le désastre annoncé. A part ceux qui en étaient conscients, le reste de la population, dans une grande proportion d’ailleurs, c’est regrettable, les regardaient narquoisement, soit les invectivaient : - bien fait, Na ! Avec la privatisation, on vous mettra enfin au travail !
Ne faisant que répéter comme des perroquets ce que les médias insufflaient au grand public, une soit-disant « paresse » des agents de la poste. Moi, je leur tire mon chapeau à ces gens-là qui distribuent le courrier par tous les temps, et le faisaient du temps des PTT, à moindre coût pour le contribuable. Le service public méritait bien son nom : rendre service au public.
Pareil à la SNCF, où les trains arrivaient à l’heure, bref, nostalgie, nostalgie...
Pour tous les piliers de l’Etat.
Idem pour EDF et les fameux agents de la distribution, un service gratuit, composés d’agents les plus exposés aux intempéries, réparaient à toute heure les installations électriques endommagées en cas d’intempérie grave ou autre cause, comme les incendies, etc...
C’était un service gratuit « distribué », effectivement pour le bien commun.
Il faut donc revenir aux fondamentaux. Virer l’équipe de bras cassés qui nous tient lieu de gouvernement, sortir de l’UE, etc... etc...
Mais les rapaces veillent...