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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Instants d’années

Instants d’années

Pierre Salinger et les frères Kennedy, rétrospective photographique du parcours d’ un des plus brillants journalistes et hommes de communication du XXe siècle.

Le 16 octobre 2004, Pierre Salinger, reconnu dans de nombreux pays du monde, s’éteignait en Vaucluse. C’est au Thor (Vaucluse) que cet homme proche de la famille Kennedy a vécu les dernières années de sa vie. Une existence riche, passionnée, faite de multiples rencontres est ici évoquée en images, issue des fonds d’ archives de la fondation Poppy et Pierre Salinger et de la Bibliothèque JFK de Boston.

Les extraits des mémoires de Pierre Salinger qui accompagnent les photographies permettent de remonter le temps et d’entrer dans les coulisses d’une époque charnière pour l’ avenir du monde.

L’exposition composée d’ une quarantaine de tirages noirs et blancs remémore les années JFK et retrace aussi la vie de Pierre Salinger, des frères Kennedy, les leaders et personnalités de son temps.

Porte-parole de la Maison-Blanche, homme politique, musicien accompli et "chercheur d’amitié" comme il se définissait lui-même Pierre Salinger fut avant tout un homme de conviction ouvert aux autres.

Réalisée par le département de Vaucluse avec le soutien du musée Salinger au Thor et de la Bibliothèque JFK de Boston, l’exposition "Instants d’années" propose de redécouvrir en cette occasion la personnalité du célèbre Américain, Français de cœur aux talents multiples.

Elle coïncide également avec le quatre-vingt-dixième anniversaire de John Fitzgerald Kennedy.

Voilà ce que le visiteur peut lire sur une des premières plaquettes à l’entrée de l’expo.

Ce personnage fascinant pour de multiples raisons, excellent musicien, compositeur (il donna son premier concert de piano à l’âge de 6 ans), d’une mère française originaire de la région de Belfort et d’un père juif allemand s’est très certainement épanoui dans un cosmopolitisme multilingue qui lui donnait son inimitable accent franco-américain. Les paroles par lui prononcées passaient par d’abord par un cigare-barreau-de-chaise avant de traverser l’Atlantique pour nous offrir ses inoubliables commentaires sur l’actu politique et, l’écouter narrer avec l’enthousiasme qui était le sien, on ressentait à des milliers de kilomètres l’admiration qu’il avait pour le clan Kennedy.

Sur place une vidéo en boucle, avec d’ autres photos et images filmées, avec en fond une nocturne de Chopin jouée par Pierre Salinger, et entrecoupée d’une radioscopie de Jacques Chancel de mai 1975.

Pierre Salinger fait un peu partie de la vie de tous les lecteurs nés dans les années 40 et 50, et les autres également.

Il est inhumé au cimetière militaire américain d’Arlington où repose John F. Kennedy.

De 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 17 heures.

Maison du département, rue Albin-Durand 84 Carpentras, jusqu’au 31 août 2008.


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45 réactions à cet article    


  • Sandro Ferretti SANDRO 17 juillet 2008 16:03

    Salut Had,
    Je gare la Buick, j’écarte les stores vénitiens du musée-expo avec mon cigare éteint, et je demande à Shiran Shiran de garder la bagnole.


    • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 16:14

      Salut Sandro 

      Super gentil de passer là , c ’est une jolie expo avec plein de tableaux racontant , vu de Salinger , les aventures liant le Pierre aux Kennedy .

      Dommage que je n’ en ai pas une ou l’ autre ellles sont souvent magnifiques , une avec Jeanne Moreau , trop bien , et plein d’ autres , qui avec un quartett de musicos faisant un boeuf , avec Luther King , bref avec plein de gens connus de tous ....


      Une pointure ce type .


      Bien à toi Sandrolino .





    • Avatar 25 septembre 2008 18:19
      Les chefs artificiers du Pakistan
      par rocla (haddock)
       
      Connaissances nécessaires pour l’ enculage des mouches :

      chapitre number one :

      La drosophile (du latin droso : la rosée et philus : qui aime) est un
      insecte diptère holométabole radiorésistant également appelée mouche du vinaigre, bien qu’appartenant au genre désigné par le terme plus général mouche des fruits. La drosophile se reconnaît à son corps brun, d’un à deux millimètres, et à ses antennes paraissant pectinées, aux soies fourchues.

      On trouve des drosophiles presque partout sur Terre. Souvent visibles toute l’année, elles sont parfois très communes, voire importunes (dans les fabriques de jus de fruits ou de confitures, elles peuvent tomber dans les récipients et transmettre des micro-organismes). Elles sont attirées par les fruits, où elles pondent leurs œufs et où leurs larves se développent.

      Elle doit sa célébrité à sa facilité d’élevage, qui en a fait une espèce modèle dans la recherche en génétique. La drosophile la plus commune dans les laboratoires est Drosophila melanogaster, mais de nombreuses autres espèces, comme Drosophila simulans, sont également étudiées. Elles sont alors considérées comme animaux domestiques.

      Le cycle de vie de D. melanogaster se déroule à 25 °C sur une dizaine de jours. Une femelle fécondée pond environ un œuf toutes les 30 minutes. Après une phase d’embryogenèse et d’organogenèse de 24 h, l’œuf donne naissance à une larve de premier stade. Cette larve se nourrit, accroît sa masse corporelle en passant par deux stades larvaires supplémentaires séparés par des mues. Les premier, deuxième et troisième stade larvaires durent respectivement 24, 24 et 48 heures. À la fin du troisième stade larvaire, la larve cesse de s’alimenter, s’immobilise et forme une nymphe, appelée pupe. C’est pendant la phase pupale qu’intervient la métamorphose au cours de laquelle la plupart des tissus larvaires sont lysés et les tissus adultes se développent à partir de petites structures déterminées depuis la fin de l’embryogenèse appelées disques imaginaux. La phase pupale dure environ 5 jours et s’achève avec l’eclosion d’un insecte adulte. La succession entre la phase embryonaire, les 3 stades larvaires, la formation du puparium et l’émergence de l’adulte est rythmée par des variations de concentration d’une hormone stéroïde circulante, l’ecdysone, qui était appelée originellement l’hormone de mue.

      Le génome de D. melanogaster est aujourd’hui entièrement (en) http://flybase.net/"rel="nofollow" href="http://flybase.net/&quot ;&gt ;s&eacute ;quenc&eacute ; et annoté. Il a une taille d’environ 180 mégabases, distribuées sur 4 paires de chromosomes. Il code environ 15000 gènes.

      La drosophile est utilisée dans le programme officiel de terminale scientifique dans la matière SVT, dans le chapitre "méiose, fécondation, brassage allélique". Elle est utilisée pour voir comment se comportent les gènes, pour étudier le test-cross, l’hybridation


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      (IP:xxx.x01.65.54) le 25 septembre 2008 à 16H49


    • Avatar 25 septembre 2008 19:13

      Les chefs artificiers du Pakistan
      par rocla (haddock)

       



      On a pu croire quelques temps que les progrès de la médecine et de l’alimentation allaient faire disparaître de nos montagnes le fléau du goître et la horde de "crétins des Alpes", ces malheureux qui, privés d’iode par une atmosphère trop éloignée de la mer, grandissaient avec des tares physiques ete mentales irrémédiables et monstrueuses. Hélàs, si le goître a disparu, le crétinisme est resté, dûe à la médiocre qualité de la race alpestre et à l’usage fort répandu des mariages consanguins. Ces pauvres diables sont donc réduits à pratiquer les deux seules besognes que l’on peut remplir sans aucune aptitude intellectuelle : gardien de vache et moniteur de ski. Car malheureusement, ces splendides montagnes sont infestée de cette lie de l’humanité que sont les skieurs, et qui polluent les blancs alpages de leurs couleurs criardes et de leur vulgarité sans bornes. Et le Ministère de la Culture ne fait rien. Quel scandale, quelle incurie !


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      L’ALSACE
      Située aux confins orientaux de la France, l’Alsace, province germanique, fut acceptée par Louis XVI (roi dont l’intelligence politique n’était pas la qualité la plus éminente) et intégrée au royaume. Malgré plusieurs guerres que nous fîmes aux allemands pour nous débarrasser de cet embarrassant territoire, l’obstination teutonne prima, si bien que de nos jours persiste encore cette aberration géopolitique : l’Alsace est française. Cette terre morne, grise et glacée, peuplée de villageois épais d’esprit parlant quelque sabir qui écorche les oreilles, connut un temps un essai de développement autour des mines de mauvais charbon qui étaient la seule richesse de ces lieux. Peine perdue, on s’en doute. Signalons par ailleurs l’existence de la Lorraine, contrée riveraine et mystérieuse, sur laquelle on ne sait trop rien, puisque les missionnaires et les géographes envoyés là-bas ne sont jamais revenus. On pense que les bêtes les ont mangés.


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      BORDEAUX
      Ville enrichie naguère par le commerce du "bois d’ébène", Bordeaux coule aujourd’hui des jours de calme et longue décadence sur les bords de l’indolente Gironde. Les bordelais sont un peuple de la mer. Vraiment. C’est à dire qu’ils pratiquent certains commerces avec Ceux des Profondeurs et que certaines nuits, on voit des processions de bordelais, entièrement nus, avancer sans crainte dans l’océan glacé et insondable, pour y pratiquer le culte impie de Père Dagon et Mère Hydra. Ils semble que tous les bordelais, à un moment donné de leur vie, soient frappés de cette malédiction, le "Faciès d’Innsmouth", une horrible déformation du visage et du corps, leur donnant l’apparence de batraciens exorbités et squameux. On dit en oiutre qu’ils pratiquent les sacrifices humains...


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      LA BRETAGNE
      Les habitants de la Bretagne se divisent en deux catégories : les bretons et les porcs. Le breton se distingue aisément par le fait qu’il est alcoolique. Du reste, le porc fait dans sa soue, alors que le breton fait là où l’envie lui prend, vu qu’il est saôul comme un polonais en permanence. Les bretons sont des celtes, héritiers d’une culture farouche et millénaire, et n’ont guère évolué depuis. Le pays breton est peuplé de légendes et de mystères, comme seuls peuvent l’être les régions peuplées d’alcooliques et plongées en permanence dans la brume. En bretagne, il y a aussi la mer (Ker Mazout, comme on dit dans le patois local) qui présente la singulière particularité - à ce jour inexpliquée par le corps scientifique - de n’être pas gelée alors même que l’eau atteint -25° en plein mois d’Août.


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      LA CORSE
      Les femmes corses sont belles, mais les hommes corses sont armés. En Corse, l’indigène est hostile, et nous déconsseillons la visite de ce pays - pourtant superbe. On notera que l’armée française y a installé un régiment d’élite de légionnaires parachutistes, moins pour tenir les aborigènes en respect (seul l’usage massif de la bombe atomique semble en mesure de calmer les aborigènes) que pour aguerrir ces féroces loups de guerre. Néanmoins, la Corse jouit d’une excellente réputation auprès des autorités ecclésiastiques. Car si les corses vivent isolés sur une île, n’est-ce pas la preuve de l’existence d’un Dieu de miséricorde ?


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      (IP:xxx.x01.65.54) le 25 septembre 2008 à 19H09Réagir à l’article | Réagir au commentaire | SIGNALER UN ABUS | Lien permanent


    • Avatar 25 septembre 2008 19:17

      Les chefs artificiers du Pakistan
      par rocla (haddock)

       

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      (IP:xxx.x01.65.54) le 25 septembre 2008 à 19H05Accueil > Échanges > Biologie > Devenez éleveur d’escargots >





      Recherche

      dans















      Quelles sont les conditions pour faire un élevage d’escargots ? Quand se reproduisent-ils ? Et surtout, se reproduisent-ils en captivité ?














      24/10/2000
      Date



      Anonyme
      Réponse de



      Informations préalables : deux espèces françaises d’escargots peuvent être élevées, l’escargot de Bourgogne et le petit-gris. Ce dernier est plus petit, plus sensible aux basses températures ; il passe l’hiver sans s’enterrer comme la première espèce mais en se collant à un support par du mucus dans un abri assez sec (trou de roche ou de vieux mur, tas de feuilles mortes). Les indications qui suivent se rapportent surtout au petit-gris.


      • Conditions d’élevage : ne seront d’écrites ici que pour un élevage en terrarium dans une salle de classe. Toute enceinte, même bricolée, convient aux conditions suivantes : au moins deux faces vitrées pour l’observation - le système de fermeture doit être efficace, un escargot pouvant soulever ou déplacer 5 fois le poids de son propre corps - l’enceinte doit être facile à nettoyer - elle doit être suffisamment aérée (les escargots sont sensibles aux maladies à champignons). Prévoir des abris (nettoyables) dans un coin du terrarium, par exemple une brique pourvue de grands creux. Tous les 2 jours, pulvériser de l’eau dans le coin opposé du terrarium avec un vaporisateur à main (type utilisé pour certaines plantes d’appartement). Température entre 20 et 25° - jamais d’éclairement solaire direct.


      • Alimentation : feuilles tendres de salade ou de chou, pomme de terre cuite à l’eau, complément de son de froment + un peu de levure diététique sèche - tous ces produits étant de qualité biologique. Changer la nourriture avant qu’elle moisisse.


      • La reproduction ne s’effectue que si la durée d’éclairement est d’au moins 15 heures par jour (posez une horloge simple sur la prise de l’éclairage). Eviter un éclairage intense qui chaufferait et dessècherait (une ou deux lampes de 40 watts suffisent). Prévoir des bacs de ponte de 5 centimètres de profondeur environ, remplis à ras bord de terre tout juste humide - des trous au bas des bacs permettant le drainage. A la température indiquée, l’incubation des œufs dure de 25 à 30 jours. La coquille des jeunes étant fragile, éviter de les manipuler.


      • Déclenchement de l’hivernage : ne plus chauffer - maximum de 8 heures d’éclairement par jour. L’abri d’hivernage doit être ni trop sec ni trop humide

        Pour plus d’informations concernant les escargots, écrire à l’adresse suivante :
        Unité Expérimentale d’Héliciculture,
        U E 672,
        Institut National de la Recherche Agronomique,
        Domaine de Magneraud,
        Saint-Pierre d’Armilly,
        B P 52, 17700 Surgères.

        Je n’ai que les n° de téléphone (05 46 68 30 00) et de fax (05 46 68 30 87).

        Bon courage










    • Olga Olga 17 juillet 2008 17:37

      Cap’tain

      Où qu’elles sont les photos de Pierrot ?
      T’aurais pu en mettre une, pour voir sa bouille au Pierrot...
      Moi, je l’connais bien, on a fait les 400 coups avec lui et John ( ah, les années 60 ! Enfin, jusqu’en 63, après ça s’est gâté...)
      Mais peut-être que d’autres connaissent pas sa trogne ?
      Bon, si je passe dans le coin, j’irai voir l’expo.

      Ich bin ein Berliner !


      • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 17:46

        Coucou Olga , J ’ ai fait de super photos de l’ expo avec l’ appareil de ma frangine , et comme un âne j’ ai pas le lecteur de carte adéquat .

        J’ en ai une avec Jeanne Moreau , mais c’ est trop presqu’ une caricature ,
        Ben dis donc si t’ as connu le Pierre et le John tu as des histoires à raconter .
        Sa dernière femme vit au Thor à quelques km d’ ici , je crois qu’ elle fait chambre d hôtes , il y aurait aussi un musée là-bas ...

        Si Ago pouvait mettre une photo de Pierre Salinger ce serait chouette , merci .

        Bien à toi , Olga .


        • Gasty Gasty 17 juillet 2008 19:30

          J’en ai bien une de lui, si Ago veut bien l’installer. Elle est un peu flou mais on reconnait bien sa silhouette.


        • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 21:50

          Merci Gasty ,

          Un peu dans la brume cette photo , mais on le reconnaît bien le Salinger ...


        • Yohan Yohan 17 juillet 2008 19:17

          Salut Had
          J’aime bien cette période, en noir et blanc (à la télé) coupes cintrées et chapeau feutre, cigares présidentiels in the right place, buicks gonflées d’orgueil avec sièges arrières assez larges pour la bagatelle. Je ferais ben un petit article sur cette amérique là qui nous faisait rêver malgré ses frasques et ses noirceurs.


          • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 21:54

            Exact Yohann

            Cette époque fait penser un peu à la mafia par ses bagnoles rutillantes , ses nanas Marylin et ses Lee Harvey Oswald ...

            Une histoire que les anciens ont vécu en direct sur les écrans noirs de l’ unique chaine télévisée ...


          • Gül 17 juillet 2008 19:26

            Bonsoir Cap’tain,

            Merci de cet article.

            Ca n’est aussi qu’une preuve de plus que vous savez fort bien manier la langue française, n’en déplaise aux crétins de tous bords qui aimeraient faire croire le contraire...

            Je vous embrasse.

            Gül.


            • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 21:57

              Bonsoir chère Gül

              Très content d’ être félicité par une belle femme comme vous pour mon maniement de ma langue française , je ne demande qu’ à faire plaisir  smiley


            • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 22:00

              Tu l’ as dit Tall , ces Amerloques ah la la , heureusement il y a eu des Kennedy et des Salinger pour nous faire les aventures de Hoppalong Kassiddy en direct de Dallas...


            • sisyphe sisyphe 17 juillet 2008 21:53

              t’as échangé ta rolesque contre un appareil photo, roclap de fin  ?


              • rocla (haddock) rocla (haddock) 17 juillet 2008 22:02

                t’ as vu Sisyphe le nouveau modèle de Rolesque avec le coucou autrichien qui surgit tous les quart- d’ heures  ?  smiley


              • snoopy86 17 juillet 2008 23:22

                bonsoir capitaine Rocla

                Pardonne-moi t’arriver si tard pour te féliciter de ton article qui comme tu l’as dit plus haut nous ramène à la chaîne unique noir et blanc et ne nous rajeunit donc pas...

                J’ai fort à faire en cette saison propice à la pratique de mon sport favori et à mon retour momo nous donne des fils dignes des plus belles heures de Demian ( la qualité littéraire en moins ). Même Avatar s’en mêle...

                avec mes amicales excuses


                • snoopy86 17 juillet 2008 23:24

                  PS : pour Carpentras on prend la Nationale 7 ? si oui je laisse le volant à Sandro...


                • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 juillet 2008 08:27

                  Salut Snoopy ,

                  Profite de la vie , il fait beau temps pour le golf . Vas y le Momo a trouvé un filon involontaire en caricaturant ses détracteurs , t’ as vu les nouveaux comme Lucien et d’ autres , comme y en a des bons .

                  Sinon c ’est une vraie jolie expo là en sortant de la nationale 7 . Question tuture il y a une photo de Salinger en plein Paris ( je suppose ) au volant d’ une Renault Dauphine . Les ceux de notre âge ont tous encore dans l’ oreille son espèce de parler le Parisien à la sauce américaine .


                • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 juillet 2008 08:32

                  Salut Calmos ,

                  En fait la mère de Salinger était française de la région de Belfort , et son père allemand .

                  Il est venu finir ses jours en France lorsque Busch fut élu , il avait dit si Busch passe j’ me casse . Lui l’ a fait .


                • maxim maxim 18 juillet 2008 09:35

                  salut Capitaine .....

                  Salinger ? ah dis donc ! ça remonte à ............vachement loin ,c’était le Ricain plus Français que certains Français qui rêvaient rideau de fer et Kremlin ......

                  c’était au temps où l’on descendait la Rn7 pour aller déguster du melon ,déguster les belles Provençales .....( les mecs du coin nous voyaient débarquer d’un mauvais oeil )
                   
                  du temps de Zitrone ,de "au nom de la loi " en noir et blanc ,de Sheila ,de la brillantine dans les tifs des loulous .......

                  tiens pour la circonstance ,je vais ressortir la Chevrolet Impala bleu ciel ( j’en ai réellement possédé une gardée 6 mois y’a bien longtemps ),entamer mon Codévi pour faire le plein ,et reprendre la 7 ,avec pour ambiance sonore " Put your head on my shoulder " de Paul Anka ,dans le mange disque du tableau de bord .................

                  t’as un sacré bon coup de plume quand même !


                  • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 juillet 2008 09:54

                    Salut Maxim ,

                    T’ as raison ça nous ramène direct dans les années 60 , brillantine gomina et banane Elvis , partie de flipper dans les bars où on nous laissait entrer malgré notre jeune âge , tilt quand on bougeait trop , et toc toc toc trois parties gratuites d ’affilée , ensuite la partie de baby-foot , c ’est que par après que les nanas se sont enfin mises en mini-jupes , quels malins ces ingliches ...

                    J’ trouve qu’ on était heureux à l’ époque , quand on voit la température de l’ ambiance actuellement ,pourtant ni 35 h , ni RMI ni plein de trucs comme ça , on dirait que mieux ça va moins bien c ’est .

                    J’ me souviens quand ils ont annoncé la mort de Kennedy , j’ étais dans le fournil le patron est venu annoncer la triste nouvelle ...

                    Un formidable élan d’ enthousiasme a pris fin ce jour là pour une grande partie du monde ....


                    • Lucien Bretzel 18 juillet 2008 13:20

                      Bonjour Capitaine,

                      Chouette ton article, une pointe de nostagie mais juste ce qu’il faut. smiley


                      • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 juillet 2008 14:20

                        Salut Lucien-Francis Blanchetzel ,


                        Ben oui , j’ ai fait ce billet pour nous ramener un peu en arrière ,


                        Merci pour ta visite .






                        • rocla (haddock) rocla (haddock) 18 juillet 2008 16:12

                          Me voilà plus rien ... smiley


                        • rocla (haddock) rocla (haddock) 19 juillet 2008 09:17
                          Pierre Salinger (1925-2004)
                          1925
                          Naissance le 14 juin, d’une mère française et d’un père américain d’origine prussienne, à San Francisco (Californie), U.S.A
                          1931
                          Pianiste de concert à 6 ans.
                          1942 -1943
                          Université d’État de San Francisco.
                           
                          Employé à la rédaction du San Francisco Chronicle.
                          1943
                          Démissionne pour s’engager dans l’U.S. Navy. Officier sur un chasseur de sous-marins dans le Pacifique, lors de la Seconde Guerre mondiale.
                          1946
                          Démobilisé au grade de lieutenant de vaisseau.
                           
                          Reçoit le Navy & Marine Corps Medal pour conduite héroïque.
                           
                          Reporter à la rédaction du San Francisco Chronicle où il restera jusqu’en 1955.
                          1947
                          Épouse Renée Labouré le 1er janvier à Reno (Nevada).
                           
                          Diplômé de l’université de San Francisco (USF).
                          1948
                          Naissance de Marc, son premier fils.
                          1951 - 1955
                          Professeur de journalisme à l’École supérieure de Mills, Oakland (Californie).
                          1951
                          Naissance de sa fille Suzanne.
                          1952
                          Naissance de Stephen, son deuxième fils.
                          1955 - 1957
                          Grand reporter pour Collier’s magazine.
                          1957 - 1959
                          Nommé par Robert Kennedy chef des enquêteurs auprès de la commission d’enquête du Sénat sur le syndicat des camionneurs.
                          1957
                          Épouse Nancy Brook Joy le 27 juin à New York.
                          1959
                          Entre dans l’équipe du sénateur John F. Kennedy dont il devient l’attaché de presse pour la campagne présidentielle de 1960.
                          1961
                          Nommé porte-parole du président John F. Kennedy et du gouvernement américain le 20 janvier.
                          1963
                          Assassinat de John F. Kennedy le 22 novembre à Dallas (Texas).
                          1964
                          Il démissionne de son poste de porte-parole du président Lyndon B.Johnson le 19 mars pour se présenter comme candidat démocrate au siège de sénateur de Californie.
                           
                          Nommé sénateur de Californie le 4 août. Il remplace le sénateur démocrate Clair Engle décédé le 30 juillet et démissionne
                          le 31 décembre, après avoir perdu l’élection contre George Murphy.
                          1965
                          Épouse Nicole Gillmann le 18 juin à Paris.
                          1965 - 1968
                          Vice-président de la Continental Airlines.
                          1966
                          Naissance de Gregory, son dernier fils.
                          1968
                          Directeur de la campagne présidentielle de Robert Kennedy.
                           
                          Assassinat de Robert Kennedy le 4 juin à Los Angeles (Californie).
                           
                          Départ pour la France.
                          1973
                          Grand reporter pour L’Express jusqu’en 1977.
                          1975
                          Vice-président du jury au festival du film de Cannes, présidé par Jeanne Moreau.
                          1977
                          Rédacteur en chef d’ABC News à Paris.
                           
                          Décès de Marc Salinger.
                          1978
                          Chevalier de la Légion d’honneur.
                          1983
                          Correspondant en chef à l’étranger et rédacteur en chef d’ABC News à Paris.
                          1988
                          Emmy Award, News and Documentary.
                           
                          Officier de la Légion d’honneur.
                           
                          Correspondant en chef à l’étranger et directeur Europe d’ABC News à Londres.
                          1989
                          Épouse Nicole (Poppy) Beauvillain de Menthon le 17 juin à Londres
                           
                          Emmy Award, News and Documentary, Outstanding Investigative Journalism (Program).
                          1992
                          50ème anniversaire de sa carrière journalistique au Trianon Palace à Versailles, le 29 juin.
                          1993
                          Vice-président directeur général de Burston Marsteller à Washington (D.C.)
                          1995
                          Décès de sa fille Suzanne.
                          1996
                          Décès de sa mère Jehanne Bietry Salinger Carlson.
                          1998
                          Prix Golden Hawk le 9 mai.
                          2000
                          Respecte sa promesse :"Si George W. Bush devient président, je quitte le pays pour la France." Il s’installe à la Bastide Rose au
                          Thor en Vaucluse.
                          2004
                          L’association "Les Jardins de Poppy" est créée. La première exposition de sculptures monumentales a lieu dans les jardins de la Bastide Rose, du 15 juin au 17 octobre.
                           
                          Pierre Salinger meurt le 16 octobre à Cavaillon. Il est inhumé le 21 octobre au cimetière d’Arlington (Virginie) auprès de John et
                          Robert Kennedy ses amis.
                          2005
                          L’association "Les Jardins de Poppy" devient l’"Association pour la création de la Fondation Poppy et Pierre Salinger."
                          2006
                          Inauguration le 1er juin du musée Pierre Salingerà la Bastide Rose et de la place Pierre Salinger au Thor.


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                          • rocla (haddock) rocla (haddock) 19 juillet 2008 09:19
                            Hommage à Pierre SALINGER - Oct 2004- (Extraits) : Par le Sénateur Edward M. KENNEDY.

                            Pierre adora chaque instant de cette grande époque. Comme il le disait des années plus tard : “Que pouvait-il exister de mieux que de se lever le matin, pour aller à la Maison-Blanche travailler avec un homme comme John Kennedy, et avoir le sentiment de contribuer à des décisions importantes pour le pays. C’était fabuleux !”
                            Quelques souvenirs plus particuliers aussi. Ainsi, en plus de tout ce qu’il faisait, Pierre nous gardait toujours quelques notes de piano pour quand nous nous retrouvions les soirs d’été à Nantucket. Nous aimions beaucoup aller au fameux restaurant Chante Claire, sur l’île. C’était souvent bondé ; pas une table de libre, et on nous faisait alors attendre dans une salle à côté. Il se trouve qu’il y avait un piano dans la pièce et Pierre avait alors l’habitude de s’y installer et de jouer. Il jouait comme un virtuose et ça nous permettait d’avoir une table plus vite : en effet les gens dans la salle à manger, en entendant cette merveilleuse musique se dépêchaient de finir pour venir écouter de plus près. Ils appréciaient moins quand Pierre cessait de jouer et que nous nous allions dîner ! Mais cette tactique ne libérait pas toujours une table : les clients réguliers les plus avisés faisaient durer le café pour mieux jouir de la musique qui s’échappait de la pièce voisine. C’était vraiment une musique divine et je suis sûr que Pierre joue maintenant pour Jack et Bobby, au paradis…

                            Rien ne dépassa jamais en harmonie, en mélodie, la vie de Pierre et sa famille. Pierre adorait sa famille plus que tout au monde. Poppy, Stephen, Gregory, Marc, Suzanne, Jean-Bernard, Emmanuel, Alexandre ; et ses cinq petits-enfants bien-aimés.
                            Quand sa fille Suzanne disparut, Pierre se tourna à nouveau vers la musique, encore et toujours sa manière profonde d’exprimer amour et affection. L’éloge funèbre à sa fille s’envola ainsi avec amour des mains de Pierre au piano…

                            […] Durant ces dernières années, alors que la maladie gagnait, quelle ironie de voir cet artiste des mots avoir de la peine à parler. Mais c’est vraiment typique de Pierre que de réussir à rassembler les mots qui, toute sa vie, ont reflété ses sentiments si profonds envers sa famille : « Je vous aime »…

                            […] C’est dur de dire au revoir à un ami si cher, comme Pierre. Il nous a fait nous sentir en famille nous aussi. Je pense toujours à Shakespeare « Nous, si peu, quelques heureux, une bande de frères. » C’est ce que nous inspirait Pierre ; ou peut-être les mots étaient-ils de Shakespierre… Et cette messe convient si bien pour Pierre, dans cette si belle église, là où Jack et Jackie, et Bobby et Ethel, venaient se recueillir. Et comme il est bon et juste que Pierre ait une place d’honneur au cimetière d’Arlington près du Président et du Sénateur qu’il servit si bien et qu’eux aimaient tant. Nous disons merci à la famille Salinger pour avoir souhaité partager Pierre avec nous, avec tout ce qu’il aidé à bâtir pour l’Histoire…

                            […] Comme je l’indiquais, nous n’aurions jamais eu de Nouvelle Frontière sans Pierre – et ce fut tellement plus amusant avec lui ! Il y a quatre ans, Pierre résuma tout ça ainsi : « J’ai eu ma petite part de drames mais j’estime avoir eu plus que ma part de bonheur. Et Dieu sait qu’au moins je peux dire en avoir vu… Ceux qui autrefois me surnommaient « Pierre le veinard » avaient peut-être raison ! » Nous étions « les veinards », Pierre. Nous t’aimions. Tu vas nous manquer et nous ne t’oublierons jamais…
                             

                            Au revoir.
                            Ted.

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                            Poppy, et vous tous les autres membres de la famille de Pierre, Pierre faisait partie de notre famille aussi et je suis sûr que Jack et Jackie, et Bobby, sont là, au 7e ciel en ce moment…
                            […] Quand Jack et Bobby nous eurent quittés, c’est Pierre que Jackie invita en Grèce. Elle aimait sa compagnie et elle savait que Pierre aimait toujours partager avec Caroline et John son trésor d’histoires incomparables sur Jack, afin qu’ils puissent grandir en en sachant davantage sur leur père…

                            […] Les parents de Pierre firent un voyage spécial à Paris afin qu’il soit baptisé dans la cathédrale Notre-Dame. Et il disait que le français était sa première langue à la maison. Pierre était le parfait « Américain à Paris ». J’aurais bien aimé l’entendre débattre de la “Vieille Europe” avec Don Rumsfeld !...

                            […] Pierre fut aussi un étudiant brillant : lycée à 11 ans, université à 15 ; jusqu’à ce que survienne Pearl Harbor. Capitaine d’un chasseur de sous-marins dans le Pacifique dès 19 ans, il commença à fumer ses fameux cigares Salinger, pour prouver sa maturité à tous les hommes plus âgés du navire. Il reçut une médaille pour avoir sauvé des marins dans un typhon au large d’Okinawa. Plus tard, Jack le taquinait à ce sujet : « Je me battais contre l’ennemi » disait-il « et Pierre luttait contre les éléments !”…

                            […] Pierre retourna en Californie après la guerre, devint reporter, puis un habitué des prix de journalisme dans les années 50. C’est à cette époque-là que nos chemins se sont croisés.
                            Bobby, jeune juriste, travaillait avec Jack au sein de la Commission Emploi du Sénat et Pierre le rencontra lors d’un déplacement à Washington pour une enquête sur les Routiers. Bobby découvrit que Pierre en savait plus sur la question que tous ceux qu’il avait déjà rencontrés. Alors il le fit entrer au Comité sénatorial anti-racket. Jack siégeait également dans le comité, en sa qualité de sénateur. Et au cours de la première réunion, Bobby souffla à Pierre : “Dis bonjour à ton voisin de gauche ; c’est mon frère... » Le reste fait partie de l’Histoire : Pierre avait commencé à travailler pour le Comité le jour de la St Valentin, en 1957 et ce fut le coup de foudre.
                            Le génie de Pierre était débordant. Son choix s’imposait comme chargé de presse de Jack durant la campagne de 1960. La seule question que posa Jack à Bobby fut : “Est-ce qu’il a vraiment l’âge pour le poste ?” Il l’avait, c’est sûr, et ce fut une formidable équipe : le plus jeune Président jamais élu et le plus jeune chargé de presse de la Maison-Blanche !
                            En fait Pierre assista à la naissance de l’ère de la télévision politique. Juste avant la cérémonie de prise de fonctions, il réussit à convaincre Jack d’autoriser la télévision en direct aux conférences de presse. Ce fut un séisme pour tous les journalistes de presse écrite. Un reporter du New York Times hurla à Pierre : “Vous êtes en train de tuer la presse écrite !” Pas tout à fait…
                            Pierre fut également ambassadeur à temps partiel, notamment pendant le célèbre voyage officiel de Jack à Paris. Mon frère avait dit : “Je suis l’homme qui accompagne Jacqueline Kennedy à Paris !”, mais il aurait pu facilement dire la même chose pour Pierre, qui séduisit tout le monde en tenant des conférences de presse en français.

                          • rocla (haddock) rocla (haddock) 19 juillet 2008 12:31

                            Riche Philippe Renève ,


                            Très touché par vos sincères compliments .

                            Je vous laisse deviner ce que je préfère en vous...



                              • antitall antitall 24 septembre 2008 21:36

                                vraiment un article de merde,perdre son temps à lire des torchons sans intérét........je zappe !!


                              • Guy BELLOY LOBLEY 31 mars 2011 21:52

                                Effectivement sans intérêt. A dû encore abuser le capitaine))


                              • Sandro Ferretti SANDRO 9 octobre 2008 16:41

                                " les gens, il conviendrait de ne les connaitre que disponibles
                                A certaines heures pales de la nuit
                                Avec des problèmes d’hommes, simplement
                                Alors, on boit un verre
                                On regarde loin derrière la glace du comptoir
                                Et l’on se dit... qu’il est bien tard .

                                Hey, Richard, ca va ?"
                                Monsieur Rocla...le dernier, pour la route....


                                (PS : C’était juste pour savoir si ça va.)


                                • Sandro Ferretti SANDRO 27 mars 2009 10:05

                                  Had,
                                  Juste pour te dire que je n’ai pas vu passer ton camping-car (et il n’est plus en liste d’attente de la modération).
                                  Sinon, tu penses bien que j’aurais essayé de lui faire prendre la Nationale 7....


                                • jack mandon jack mandon 27 février 2011 11:14

                                  Bonjour capitaine,

                                  Nos petits états d’âme ont peu d’importance,
                                  quand on prend connaissance des conférences
                                  très référencées organisées par François Asselineau

                                  « Qui gouverne la France »

                                  Prenez le temps de confronter votre esprit critique
                                  à ces révélations bouleversantes, vous ne regretterez pas
                                  le détour.
                                  Pour ma part, je me sens complètement effondré.

                                  Merci d’en prendre conscience


                                  • Constant danslayreur 3 septembre 2012 15:20

                                    Bonjour cher Capitaine,

                                    Je viens de vous lire ... ailleurs qu’ici (avec beaucoup de retard il est vrai), même qu’un honorable et prestigieux donneur de doigt du même nom ou presque, un certain Emile dont je n’ai jamais entendu parler ce qui est très étonnant d’ailleurs smiley vous y disait après vous avoir lu, que vous aviez toute sa considération... même que vous avez répondu que ça vous avait sidéré ce qui n’est pas con au passage... Plus loin, on y découvre un débutant qui promet un certain Nagui Robat, Bazi Rogat chéplus… à suivre de près ce garçon c’est moi qui vous le dis mais je m’égare

                                    C’était donc juste pour porter à votre connaissance, que même si je ne peux pas le dire in-situ pour des raisons qui sont les miennes, et d’un la page est désormais marquée chez moi et j’ai bien l’intention de m’offrir le cadeau de la lire en entier et pas qu’elle et de deux, je crois savoir très précisément, ce qu’a voulu dire Émile à ce moment avec ces seuls 5 mots là et je tenais à ce que vous le sachiez smiley


                                    • Constant danslayreur 3 septembre 2012 15:35

                                       smiley Pu... aucune intimité nulle part, je poste sur un très vieux billet un message perso et mon morback me suit quand même pour me moinsser

                                      Allez rien que pour lui faire plaisir et en assumant le risque d’instruire un con, un peu de lecture saine... http://philippereneve.blogspot.com/2011/01/le-salon-est-ici_6295.html?showComment=1346651996216


                                    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 3 septembre 2012 15:42

                                      Ia Orana Constant,qu’as tu fait samedi soir pour t’attacher cette petite bete ?
                                      Et pis lorsque on a chanté avec Sabine y a meme pas plu ,mauvaise langue !


                                    • Constant danslayreur 3 septembre 2012 16:08

                                      Salut Aita,
                                      Gonflé, tu insinues que je ferais des infidélités sur le banc d’infamie à ma moitié, certains samedi soir en compagnie de personnes dont je ne veux même pas connaitre la vie dissolue et les mœurs de même nom mais qui seraient à t’en croire ... amies des bêtes (pas moi voyons, la faune dont j’aurais soi-disant ramené un échantillon) et c’est moi qui serais mauvaise langue smiley

                                      Allez... rien que parce que c’est toi... Tu ne chantais pas si faux que ça, même que c’était pas mal ...

                                      J’aurais quand même préféré ta suggestion de départ le Rivers (l’autre partie du nom étant en Anglais un très mais alors très gros mot censurable aussi bien par la charte que par le patron du billet sur lequel nous causons c’est dire ... smiley


                                    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 3 septembre 2012 16:21

                                      Tu parles ,le Capt’ain en escale des gros mots comme ça il s’assoit dessus pour contempler le port .


                                    • Constant danslayreur 3 septembre 2012 16:26

                                      Capitaine, faites moi plaisir repliez ce diseur de vilainetés fausses et même pas vraies sur vous smiley

                                      Très bonne après-midi à vous deux


                                    • rocla (haddock) rocla (haddock) 4 septembre 2012 07:32

                                      Salut Constant , 


                                      C’ était une époque à embrouilles sur Ago  genre bataille rangée .

                                      Les paroles dépassent la pensée provoquant  des  ires non responsables .

                                      L’ eau a coulé sous les ponts , et certains différents se sont apaisés .

                                      Depuis je suis devenu ami virtuel avec Philippe Renève avec de très 
                                      sereins échanges .

                                      Quelques autres , on va dire des intégristes de la connerie humaine 
                                      continueront à croire qu’ il est plus important d’ avoir raison que 
                                      tout le reste . 

                                      Pour quelques années que nous avons à vivre c ’est un peu con .

                                      Salut Constant pas dans l’ erreur .

                                      Ps , 

                                      Salut Aïta Pea Pea  smiley




                                      • rocla (haddock) rocla (haddock) 26 mars 2013 08:12

                                        Salut les amies is , 


                                        Merci pour votre message , décidément ça va pas comme on voudrait.... smiley

                                        L’ impotant c ’est la santé .

                                        Vrai qu’ un fil genre café du commerce serait sympa , ça avait été suggéré depuis la création d’ Avox .

                                        Bonne journée à vous . 



                                        • rocla (haddock) rocla (haddock) 26 mars 2013 20:24

                                          Sabine et Aïta et tous les autres qui ont envie de rien dire , ce fil vous est ouvert . 


                                          • Sandro Ferretti SANDRO FERRETTI 27 mars 2013 21:36

                                            Jeff n’avait rien à dire. Enfin, plus rien à dire, pour être exact.

                                            Il se demandait du reste depuis quand exactement c’était arrivé, cette aphasie. Parce qu’avant, c’était pas le dernier à y aller de son commentaire. D’un ricanement, de son jeu de mots dans le jeu de quilles.

                                            Ouais, avant, il avait la petite phrase péremptoire, facile, qu’il faisait tinter dans la conversation comme un glaçon dans le Martini.

                                             

                                            Et puis il avait arrêté le Martini.

                                            A présent, c’était du jus de tomates, mais la tomate, ça fait des renvois aigres mais même pas doux.

                                            A sa bouche, il mâchait une allumette qui devait être la prothèse du cigarillo qui lui manquait tant, comme la jambe de l’amputé qui fait encore mal.

                                            Non, il n’avait rien à dire. Et il allait le dire. Il ne s’exprimait plus que par un haussement d’épaules (pas forcément les deux en même temps).

                                            Ou encore une géographie circonflexe du sourcil.

                                            Et basta.

                                            Le week end dernier, on l’avait juste entendu dire, à la nouvelle d’un qui s’était mis à la baille tout seul comme un grand sur son île, avec les spots et la musique à fond : « ça, c’est pas un départ de pédé ».

                                            Et puis c’est tout, on l’avait plus entendu en reparler, des « chevaux de la mer qui fonçaient la tête la première le long du casino désert. »

                                             

                                            Ou alors par signes. Des trucs qui parlent de la mémoire et de la mer.

                                            Il avait écrit quelques mots dans une bouteille, le Jeff :

                                            « Sous mon maquillage roux

                                            S’en vient battre comme une porte

                                            Cette rumeur qui va debout ».

                                             

                                            Il n’a rien à dire, Jeff.

                                            Ou alors qu’il est le « fantôme Jersey, celui qui vient les soirs de frime »

                                            Il dit juste qu’il faut se rappeler de « ce chien de mer qu’on qu’on libérait sur parole,

                                            et qui gueule dans le désert des goémons de nécropole. »

                                            Epicétou.


                                            • tutti frutti tutti frutti 17 juin 2013 20:59

                                              Bravo madame la détective pas privée de flair . 


                                              Très beaucoup plaisir moi lire vous ..... smiley

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