L’espéranto dans l’enseignement
L’espéranto, cette langue au départ créée de toutes pièces et maintenant devenue langue à part entière, avait et a toujours comme but de permettre la communication linguistique entre les gens de langues différentes. Mais cette langue n’a pas que cet avantage. Il s’est avéré que dans le domaine de l’enseignement, elle pouvait aussi donner de nouveaux atouts à ceux qui l’apprenaient.
Le premier, une langue pour faire aimer les langues. Oui l’espéranto par sa grammaire ultra simple (une des rares langues sans exception) et par la possibilité de combinaison de ses monèmes invariables neutres, peut permettre de donner goût à l’apprentissage des autres langues. Par exemple : rev est la racine de tout ce qui concerne le rêve, o est le substantif, a est l’adjectif, i est le verbe et em est la tendance, donc revo= rêve, reva=onirique, revi=rêver, revemo=rêveur (une personne qui a tendance à rêver), revema (sa forme adjective), cela permet aussi de trouver des mots que l’on n’utilise pas souvent, parolema= tendance à parler, eh bien en français il existe un mot, c’est prolixe, et pas celui d’Astérix.
Le suivant, une langue propédeutique, c’est quoi ce mot barbare, c’est en fait la qualité d’appréhender mieux un autre système différent de celui qui est habituel. Par exemple quand on apprend une autre langue, on passe d’un système rigide à un autre système rigide très différent du précédent. L’espéranto est un lien entre ces deux systèmes, l’espéranto c’est la rigueur mais avec beaucoup de souplesse. Par exemple en français on dit douzaine, huitaine, vingtaine et, pour 7, 13, en espéranto leur mot existe comme ils existent dans d’autres langues. On peut dire aussi que par « cette coordination de la liberté et de la rigueur se retrouve au niveau de la grammaire ; Par rapport à la plupart des autres langues, c’est la grande liberté : ’je vous aide’ peut se traduire aussi bien par mi helpas vin (structure anglaise) ou mi vin helpas (structure française) que par mi helpas al vi (structure allemande) ou mi al vi helpas (structure russe) ; mais ce n’est pas l’anarchie : dire mi vi helpas ou mi helpas vi revient à ne pas se faire comprendre dans une langue où l’ordre des mots, comme en latin ou dans les langues slaves, n’indique pas les rapports grammaticaux. » (cf. C Piron)
Encore une autre qualité de l’espéranto, c’est permettre l’accélération de l’apprentissage des langues étrangères, par un apprentissage de déconditionnement maximal des entraves de la pensée naturelle par les nombreuses exceptions et règles arbitraires d’une langue. Ce qui lui permet de passer plus facilement à l’apprentissage d’une autre langue rigide et ayant certaines contraintes. Certaines expériences ont démontré que 3 années d’apprentissage pour une langue étrangères étais équivalents à 1 année d’étude de l’espéranto accompagné de 2 ans de la dite langue pour arriver dans certains cas à une maîtrise bien meilleur et beaucoup plus sur que dans la première possibilité.
L’espéranto c’est aussi de l’apprentissage de vocabulaire étranger car l’origine des monèmes de l’espéranto provient de différentes langues (français, italien, espagnol, anglais, russe, ...). Par exemple hundo, domo, simio, simia, ect
L’espéranto c’est aussi un cours de grammaire pur (sans exception), comment se placent les éléments, comment on les attributs, qui est en relation avec quoi. Par exemple, il permet, dès le plus jeune âge, à un enfant de différencier les catégories grammaticales : le nom en o, l’adjectif en a, l’adverbe en e et le verbe en i. Il comprendra ainsi aisément les rapports que ces éléments ont entre eux dans une phrase. Par exemple : Li estas bela, il est beau ; li kantas bele, il chante de manière belle, avec baeuté
Un problème que rencontrent souvent les peuples immigrés est l’orthographe française. Pour eux, il s’agit là d’un obstacle quasi insurmontable, tant les exceptions, les lettres muettes, les diphtongues sont nombreuses. L’espéranto pourra aussi aider à mieux appréhender ces difficultés. Par exemple, le pied se dit en espéranto la piedo, on retrouve le d final muet du français. Faut-il écrire élégant ou éléguent ? L’espéranto vient à notre secours eleganta. La langue internationale aide aussi les francophones dans ce cas.
L’espéranto donne aussi une certaine morale, un civisme, de liberté de communiquer facilement, d’égalité on apprend et on parle chacun une langue et de fraternité je te respecte et tu me respecte. Elle donne aussi une nouvelle culture une meilleure ouverture sur le monde par une correspondance avec l’étranger, elle permet de faire tomber certaines barrières de la peur et de l’ignorance, par cette correspondance avec l’autre bout du monde.
Avec l’espéranto comme première langue étrangère, les enfants, élèvent et étudiants n’en retireraient que des avantages : meilleur niveau scolaire, civisme, respect, ouverture sur le monde, ...
Pour finir cet article qui est très succinct, c’est un rapide résumé des trop nombreuses choses que peut faire l’espéranto. Cet article peut présenter des inexactitudes, des manques, mais par vos commentaires cela lui permettra de prendre plus d’ampleur.
Et quelques sites à voir :
http://www.esperanto.qc.ca/frame-fr.htm un site avec beaucoup de questions réponses sur l’espéranto, UN SITE A NE ABSOLUMENT PAS MANQUER
http://claudepiron.free.fr/index.htm le site de Claude Piron traducteur dans différents organismes internationaux qui nous explique ses expériences dans le monde international
http://www.esperanto-sat.info/ un site traitant de l’espéranto
http://ikurso.esperanto-jeunes.org/fr/intro.php?temo=eo un site de cours d’espéranto en 2 niveaux de difficulté
Merci de m’avoir lu jusqu’au bon.
Cordialement. Esperantulo
97 réactions à cet article
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Saluton ! Coïncidence, mon article sur l’apprentissage précoce des langues est sorti le même jour. J’y signalais que certains linguistes (ceux à qui on ne donne pas la parole dans les médias...) proposaient, plutôt qu’un choix précoce de la langue étrangère, anglais le plus souvent, allemand parfois, de faire une initiation linguistique plus large, d’apprendre par exemple l’alphabet cyrillique, grec, arabe, quelques idéogrammes chinois et leur principe, etc. la spécialisation ne devant avoir lieu que bien plus tard, comme en musique ou en sport.
Je ne l’ai pas mentionné mais personnellement, je pense aussi que cette initiation peut aller de pair avec un an d’espéranto, dont je confirme les qualités propédeutiques : on l’apprend tous en famille depuis deux ans. Comme tu l’as dit, avec deux tiers de racines latin-grec et un tiers germaniques, ce n’est pas du temps perdu, d’autant plus qu’on dispose alors d’une langue internationale (très minoritaire certes, comme on ne va pas manquer de nous le rappeler) dont l’usage plus large pourrait résoudre bien des problèmes dans l’Union européenne et dans le monde.
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heu... ca sert a quoi votre esperanto... qui le parle, qui le pratique... Personne ? Jsuis vraiment très sceptique... Pourquoi ne pas se focaliser sur l’anglais, et maintenant le chinois, plutot que de devoir encore apprendre un truc nouveau ?
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ca dvrait ariver dans un autre article qui en train d’etre approuver Mais en attendant aller voir sur un des liens ou tout est expliquer.
En résumer un an d’espéranto c’est 10 ans d’anglais au niveau de l’apprentissage et je ne parle même pas du chinois ou la cc’est encore pire. Cordialement
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10 fautes en 4 lignes, mauvaise pub pour l’espéranto ...
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et oui quand je fais en jet je fais des fautes, mais je préfere quelqu’un qui ammene des idées avec des fautes d’ortho que ce lui qui en fais pas mais sans aucune idée
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Il faut arréter avec le chinois, dans les années 80 on nous avait sortit la même chose avec le japonais.
Il en existe deux types différents et une langue vaut la peine d’être appris si on c’est aussi l’écrire. Et personne ne voudra apprendre à écrire le chinois.
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apprise si l’on sait ...
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« Et personne ne voudra apprendre à écrire le chinois. »
Le mandarin est de plus en plus demandé ; il n’est même plus considéré comme langue rare dans l’enseignement Sa progression est de 30% par an environ, c’est dire. Et les hommes d’affaires qui bonnent en Chine apprennent à parler ET à écrire.
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Mais le chinois dont vous parlez n’est-il pas justement « un truc nouveau », et particulièrement difficile à cause des tons qui changent le sens des mots ? Tout le problème est là : un monde fluctuant, diversifié mais qui a grand besoin d’un outil de communication. L’anglais a largement fait la preuve qu’il ne convenait pas dans ce rôle, depuis des dizaines d’années qu’on l’enseigne dans plein de pays. Trop dur, trop long. Une langue de communication pour tous (pas seulement pour les « élites »)ne peut être que la moins dificile à apprendre des langues.
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Mais il y a, et surtout pour le chinois, une différence de taille entre l’apprentissage et la connaissance ... mon frère l’a appris en France pendant deux ans dans une école d’ingénieur, il est maintenant en stage là-bas depuis 6 mois, et il a encore des grandes difficultés à le parler et le comprendre, sans parler des dialectes, et sans parler de l’écriture/lecture. Et encore, il a fait l’effort de l’apprendre, contrairement à certains de sa boîte qui sont là depuis plus longtemps et n’en parlent pas un mot ...
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Et pour cause le chinois n’existe pas ! Prenez au hasard deux citoyens de la République Populaire et mettez-les en contact, vous aurez toutes les chances de les voir se mésentendre de la façon la plus amusante qui soit, puis chercher un calepin et un crayon avant de se mettre à écrire pour se comprendre (et du coup, vous comprenez à quoi servent ces caractères bizarres qu’ils utilisent).
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Le mandarin, ça existe. Appelé « chinois » pour faire vite
Asp a voulu montrer ses connaissances linguistiques
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Asp :
« Merci, citoyen ordinaire, pour ce petit éclair de lucidité. »
Citoyen ordinaire :
« Merci pour votre éclair de lucidité. »
Кукушка хвалит петуха за то, что хвалит он кукушку
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Cette différence est valable pour toutes les langues étrangères
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Plutôt que de se perdre en questions et conjectures, encore complexifiées par les arguties de soi disant experts et finalement ne rien faire, il vaudrait mieux se rendre à la réalité et en tirer les conséquences de manière réaliste, positive, proactive. D’autant plus que cette réalité est si simple, si visible qu’elle en est devenue banale.
1/ Un jeune enfant (à partir de cinq/six ans) est tout à fait capable d’absorber deux langues, sans « séquelles » L’expérience vécue par les familles bilingues et/où expatriées le démontrent amplement
2/ L’Anglais est devenue LE vecteur planétaire de communication, et ce phénomène est croissant et irréversible. Il suffit d’avoir un peu circulé dans le monde ces quelques dernières années pour le savoir. Au niveau Européen, quoi que l’on dise, la langue en usage pour travailler est l’Anglais.
Dès lors, l’apprentissage de l’Anglais dans les pays non anglophones devrait, dès le primaire être la règle, au même titre que la langue nationale, par de vrais enseignants anglophones (et non par des pseudo enseignants non qualifiés et non bilingues comme c’est souvent le cas)
Apprendre à communiquer avec le reste du monde ne signifie pas abandonner sa culture, ni ses valeurs, bien au contraire. C’est une source d’ouverture de l’esprit, d’enrichissement et souvent de renforcement culturel.
Qu’il est désolant de refuser la réalité, et d’assister à une résurgence absurde, archaîque des théories sur ....l’espéranto. Juste pour embrouiller un peu plus les esprits, et faire en sorte que rien ne bouge.
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Dans cet article je ne parle nullement de l’espéranto par rapport à l’anglais, je met le doigt juste sur ses avantages dans son introduction dans l’enseignement. Donc pour moi aussi, qu’il est désolant de ne pas savoir lire un article cordialement
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Merci, citoyen ordinaire, pour ce petit éclair de lucidité.
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A l’auteur,
Etant donné que l’esperanto ne présente strictement aucun intérêt, pour le monde actif, il était bon de faire entrer l’anglais dans les commentaires. La preuve est que le fil a démarré sur l’anglais et que vous avez du faire pas mal de copié-coller pour rappeler le thème dejà oublié. La pré histoire est passionnante, mais pour autant qu’elle demeure à sa place, sans tenter de ressusciter.
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« Plutôt que de se perdre en questions et conjectures, encore complexifiées par les arguties de soi disant experts et finalement ne rien faire, il vaudrait mieux se rendre à la réalité et en tirer les conséquences de manière réaliste, positive, proactive. D’autant plus que cette réalité est si simple, si visible qu’elle en est devenue banale. » Je pourrais dire à-peu-près la même chose en le retirant : A quoi bon prêter l’oreille à des gens comme Thélot, soi-disant expert, il vaudrait mieux de façon constructive voir la réalité : allez dans un congrès, une rencontre, une réunion espérantiste. Et soyez objectifs.
« Un jeune enfant (à partir de cinq/six ans) est tout à fait capable d’absorber deux langues, sans »séquelles« L’expérience vécue par les familles bilingues et/où expatriées le démontrent amplement » Vous donnez le bâton pour vous faire battre : peut-on comparer des enfants qui baignent dans un environnement linguistique étranger, et d’autres qui l’apprennent quelques heures par semaine ?
« L’Anglais est devenue LE vecteur planétaire de communication, et ce phénomène est croissant et irréversible. Il suffit d’avoir un peu circulé dans le monde ces quelques dernières années pour le savoir. Au niveau Européen, quoi que l’on dise, la langue en usage pour travailler est l’Anglais » Préjugés. Il suffit de sortir du monde occidental pour voir que l’anglais est très peu répandu
« Dès lors, l’apprentissage de l’Anglais dans les pays non anglophones devrait, dès le primaire être la règle, au même titre que la langue nationale, par de vrais enseignants anglophones (et non par des pseudo enseignants non qualifiés et non bilingues comme c’est souvent le cas) » Sur la fin vous avez raison ... mais où trouvez-vous vos enseignants bilingues ?
« Apprendre à communiquer avec le reste du monde ne signifie pas abandonner sa culture, ni ses valeurs, bien au contraire. C’est une source d’ouverture de l’esprit, d’enrichissement et souvent de renforcement culturel. » Je ne vois pas en quoi c’est incompatible avec l’esperanto. Au passage, sur ce point je suis entièrement d’accord avec vous.
« Qu’il est désolant de refuser la réalité, et d’assister à une résurgence absurde, archaîque des théories sur ....l’espéranto. Juste pour embrouiller un peu plus les esprits, et faire en sorte que rien ne bouge. » Je ne crois pas que cela soit très conservateur d’être esperantiste. Au contraire, je pense que ceux qui disent que l’anglais est là et a « gagné » (même si je n’aime pas cet esprit de compétition), de même que l’esclavage avait toujours existé,ainsi que les chiffres romains et les systèmes de mesure anté-métriques, et que le 0 est une invention du diable ... L’esperanto a été « créé » par une oeuvre, comme l’italien a été créé par Dante pour unifier l’Italie, et que le Hochdeutsch a été créé par Luther pour unifier l’Allemagne (là-dessus je peux me tromper mais en tout cas ça a contribué à faire naître l’idée d’un peuple allemand).
Un des vieux débats chez les espérantistes est de savoir (bien entendu je résume et donc caricature) si l’on doit tout faire pour imposer l’esperanto, ou si l’on doit le « faire vivre », jusqu’à ce que les préjugés tombent d’eux-mêmes. Bien entendu, ce sont les premiers qui font le plus entendre leur voix. Mais le Monde espérantophone est un vrai microcosme, dans le quel on trouve de tout. Tout ça pour dire que tous ne sont pas des « intégristes » comme certains qui régissent ici (dont moi, je précise pour qu’il n’y ait pas de confusions)
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Bonjour,
Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites. Je reprends vos paragraphes point par point (c’est une bonne idée de les avoir numérotés) :
1) On n’« absorbe » pas une langue comme on gobe une pomme. Devenir bilingue à 4-5 ans est certes plus facile qu’en étant adulte, mais il faut tout de même être immergé dans la langue. Proposez-vous un an dans une famille anglophone pour tous les 4-5 ans non-anglophones de la planète (N.B : les non-anglophones représentent 92% de l’Humanité selon le Quid) ? Non, quelques cours seulement, qui ne rendront jamais bilingue, et n’apporteront un bon niveau qu’à condition d’être en trop grand nombre pour ne pas empiéter dramatiquement sur le reste de la scolarité.
2) On ne nie pas la réalité de la domination de l’anglais, puisqu’on la critique. Le cancer, les SDF, les accidents de la route sont aussi des réalités, et ça n’en fait pas des choses auxquelles se résoudre. C’est pareil pour l’anglais : en quoi le fait que c’est une réalité est-il une bonne raison pour que cela ne change pas ? Et n’y a-t-il pas au contraire de bonnes raisons pour faire évoluer la situation, par exemple avec une « réforme » européenne (le mot est à la mode) ?
Vous ne semblez pas mesurer l’ampleur du caractère injuste de la domination de l’anglais, et notamment sur le place économique et culturel. Pendant que vous voulez rendre l’anglais obligatoire en France (il l’est déjà « de facto », soit dit en passant), que font les petits anglais, américains, australiens ? Ils se concentrent sur les matières « de fond » (sciences, littérature, humanités, etc.) où ils excelleront donc davantage, tout en étant ô combien meilleurs en anglais que les autres... Super système ! Le rapport Grin (que je vous invite à lire, j’ai mis le lien avec ce message) établi pour le Haut commissariat à l’éducation, montre que l’économie britannique gagne environ 18 milliards € par an grâce à la domination sa langue... Pas étonnant qu’ils aient, comme les Américains, des moyens pour la recherche, puisqu’ils en consacrent moins aux langues, alors que nous sommes sommés de faire des efforts en anglais, pour faire perdurer une situation qui nous désavantage pourtant !
Pour communiquer avec le reste du monde, l’espéranto serait plus efficient et plus juste que l’anglais, parce qu’il est neutre, lui, et beaucoup plus facile d’apprentissage. C’est ça la réalité, et c’est vous qui la niez, sans doute par désinformation et préjugés, comme tout le monde ou presque.
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Et bien entendu ce sont les seconds (ou si l’on doit le « faire vivre ») qui ont raison ! De toutes façons, les plus avisés des espérantistes ont toujours proné le développement « par le bas », par les GENS ! la diffusion individuelle, (et l’utilisation concrète !).
qq unes des multiples manières de le faire vivre : Pasporta Servo ; raporto.info ; la Wikipedia ; Internacia Televido (que les espérantistes n’ont pas assez aidé) le tourisme en E-o, les liens personnels bien entendu, les Forums Sociaux Mondiaux, Monde Diplo, Labourstart, traduction en E-o des bandes dessinées scientifiques de Jean-Pierre Petit, etc
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Voir aussi le sujet de krokodilo qui est un bon complément
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« parolema= tendance à parler, et bien en français il existe un mot c’est prolixe »
Il en existe plusieurs : bavard, hâbleur, logorrhéique, etc.
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très juste
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« bavard, hâbleur, logorrhéique »
En espéranto, il y a également plusieurs mots : mis à part « parolema » déjà mentionné, il y a « babilema », « trolonga », « malkonciza », « parolflu(aĉ)a », « fanfarona » etc.
Mais il ne s’agit pas des synonymes. En français, si on a appris le mot « parler », on n’a aucune indication sur l’existence des mots « prolixe » etc., aucun ne dérive de « parler ». En espéranto, avec une racine et les affixes, on a immédiatement accès à tout un groupe des mots : paroli - parler, parolo - parole, parola - oral, parole - oralement, parolema - bavard, parolanto - orateur, parolisto - speaker (le français n’a pas trouvé son propre mot ), parolinda - qui mérite d’être parlé(e), priparolinda - dont il vaut la peine de parler, parolenda - que l’on est obligé de parler, etc.
C’est une impressionnante économie de mémoire.
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Il s’agit là de « mots » artificiels, et non de mots tels que ceux de nos vieilles langues naturelles.
L’économie de mémoire, ou plus généralement la « facilité » n’est pas un avantage mais un inconvénient.
Essayez d’imaginer ce que seraient les maths ou la chimie si elles étaient « faciles », tout ce que l’on perdrait. Eh bien, avec votre espéranto, c’est pareil, il y a beaucoup à perdre.
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Stop ! Erreur de raisonnement : grammaire et structure simple ne veulent pas dire langue simpliste. La meilleur analogie sont les échecs : un jeu doté d’une règle simple qui tient sur deux petits feuillets, et qui s’apprend en quoi, une heure ? Le déplacement des pièces, le roque, le pat, l’échec, la prise, et basta. Pourtant, les livres écrits sur la théorie du jeu, ses développements, peuvent remplir des rayonnages entiers ! C’est pareil pour l’Eo, qui n’a gardé que l’essentiel. Mais la langue a les mêmes possibilités que les autres, voire plus par la combinatoire des racines et des affixes (en fait, de tous les monèmes entre eux.
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On dirait Courouve
Certes tous les mots sont artificiels, étant produit par l’esprit humain (aucun n’est poussé dans le pré )
Le qualificatif « artificiel » n’est en rien péjoratif. On utlise bien un ordinateur au lieu d’une plume d’oie pour écrire, on prend une voiture ou un train au lieu d’un cheval, et nos fenêtres sont en verre, et non en vessie de boeuf
Les néologismes se créent tous les jours, des mots changent de sens. En quoi la possibilité de former des mots avec un sens précis serait-il un inconvénient ? Une économie de mémoire facilite l’accès à la communication, pas la simplification de la pensée et/ou de l’expression.
Je vous rappelle que les racines de l’espéranto ne sont pas inventées mais puisées dans les langues « naturelles ». L’Indonésie utilise une langue faite à partir des parlers locaux, ce qui lui a permis :
— se débarrasser de la langue coloniale
— affirmer l’unié du pays, dont la langue nouvelle est devenu le symbole
— ne discriminer aucune des ethnies.
L’Europe n’a-t-elle pas besoin de la même chose ?..
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Déja j trouve les maths relativement facile, mais c’est un point de vue. les maths sont logiques (à part quelques paradoxes qu’on n’apprend de toute façon jamais) et avec du raisonnement on s’en sort de plus je ne vois pas en quoi une simplification de la chimie en ferait perdre quelque chose
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encore plus facile que les échecs occidentaux : les echecs chinois et surtout le jeu de go : le placement des pierres, la prise, le K.O. et c’est parti. Il n’empêche que les possibilités sont innombrables
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Résumé : anglais pas bien, esperanto bien. 15 ans de pratique intensive de l’anglais ne permettront pas à un non-anglophone de naissance d’aller au delà d’une commande de pinte dans un pub de Londres (et encore, si c’est du cockney, c’est velu). 1 h par jour d’esperanto pendant un mois, et vous pourrez discuter avec de nouveaux amis du monde entier de Descartes, de la théorie des cordes ou encore du dernier tube de Britnoj Megaton, la popstar espérantophone.
Bon, le truc, c’est qu’à cause des persécutions de la troisième république française, de Staline, d’Hitler, du lobby Busho-pétrolier finançant les sectes évangelistes anglophones, vous aurez entre 200000 et 1M d’amis seulement. Mais ces chiffres (non contestés par les esperantophones) ne prouvent rien. Même si on les compare aux centaines de millions d’anglophones que compte le monde (chiffre contestés par les esperantophones, en particulier ceux ayant voyagé en Ecosse).
Mais soyons juste avec Esperantulo et Krokodilo. Si Henri Masson considère comme « plus que minable » tous les auteurs de raisonemment contraire à ses dogmes, fussent-elles basées sur les propres informations qu’il apporte, on ne peut faire ce reproche à Esperantulo ou Krokodilo. On ne peut dire autant de Skirlet, dont la capacité à déformer les propos tient du miracle permanent.
Ce commentaire n’est pas constructif ? Vous avez probablement raison. Mais bon dans de tels articles... Autant vanter les avantages certains de l’esperanto est louable, autant affirmer la supériorité absolue de celui ci et prétendre à son avènement prochain est ridicule. Courage esperantistes ! Plus que quelque milliard de personnes à convaincre !
Aussi ne nierai-je point ma non-constructivité (je m’attend à passer à -49 d’ici le mois prochain, cela prend du temps lorsque votre provider ne change pas votre ip toutes les demi-heures) et je me contenterai d’inviter les curieux ayant beaucoup de temps à perdre, à lire les articles de Mr Henri Masson sur ce même site et d’observer les réactions de certaines personnes à chaque commentaire de lecteurs non convaincus par la rhétorique Massonnienne.
Sur ce, je vous souhaite à tous une excellente journée.
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JE RAPELLE QUE LE THEME EST ESPERANTO ET ENSEIGNEMENT , donc, en ce qui concerne la polémique eo-anglais, elle n’a rien a y faire sur ce theme.
Et concernan cette poolémique Zalka vous savez bien que tous n’est pas blanc ou noie, que certaines personnes ont truandées avec les avis de commentaire, qu’il y a eu des insultes de chaque coté et beaucoup d’autre et même ASP le dit bien on ne peut pas connaitre la langue d’un natif comme un natif et là dessus on est tous d’accord.
Donc par exemple comme thème ou l’onpeut ouvrir la dessus, c’est par exemple sur la dislexie augmenté pas l’apprentissages de langues à fort pouvoir d’augmentation de dislexie. Ou la capacité à utiliser les combinaisons en espéranto pour permettre aux jeunes d’utiliser des ressources de leur langue maternelles non encore utilisés. la qualité de l’espéranto à améliorer le respect de l’un vers l’autre, donner une partie du civisme. ou aussi que n’apporte pas leo ou ce qui est faut dans mon article. certaines personnes le trouvent nuls mais ne donnent pas de raison, ce qui fait paraitre de ces personnes une ignorance.
par exemple est ce ces qualités peuvent se retrouver toutes dans le multilingusime, dans l’apprentissage des autres langues ? l’italien serait,t’il mieux que l’eo ou l’angalis ou toute autre langue ?
Cordialement
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Milles excuses. Il est vrai que les gens non convaincu par l’esperanto ont honteusement truandé pour faire croire à une odieuse censure des esperantistes.
Entre la critique de l’apprentissage de l’anglais en bas âge, et la défense de l’esperanto dans l’enseignement, de la part d’auteurs obnubilé par l’esperanto, il se pourrait que j’ai confondu.
Quand aux études que vous cité, j’avoue que j’ai du mal à y accorder le moindre crédit depuis que j’ai constaté que le rapport Grin n’était non pas l’oeuvre d’une personne neutre convaincu lors de son étude du problème, mais la propagande d’un converti de longue date.
A ce sujet, il parait que le souverain du Swaziland a pondu un rapport « très convaincant » sur la nécessité pour le monde entier d’adopter son idiome natal.
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De toute façon, n’importe qui ayant étudié l’espéranto de plus près que zalka devient non crédible pour ce dernier
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Très pertinent dans la mesure où je n’ai jamais nié un certains nombres d’intérêt de l’esperanto, mais uniquement les couloeuvres que certains voudraient faire avaler.
Il y a un concept que vous devriez qui s’appelle « le doute ». C’est quelque chose que l’on ressent par exemple losqu’on vous présente une étude faite par un militant comme étant absolument impartial (rapport Grin).
Cela arrive également lorsqu’une personne raille votre raisonment scientifique alors qu’elle même est intrigué par des vers soi disant divinatoire d’un charlatan particulièrement habile de la renaissance (Masson et Nostradamus).
C’est le genre de chose qui entache votre crédibilité...
Là on voudrait nous faire avaler que la pratique de l’esperanto facilite tout le reste... Mouais... Autant je veux bien croire que c’est très facile à apprendre, autant il faudrait éviter d’en faire le remède miracle à tous les maux de la planète.
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« JE RAPELLE QUE LE THEME EST ESPERANTO ET ENSEIGNEMENT , donc, en ce qui concerne la polémique eo-anglais, elle n’a rien a y faire sur ce theme. »
Veuillez m’excuser mais étant donné votre position (de défenseur d’une cause qu’on pourrait presque qualifier de « perdue » : l’espéranto...) je vous trouve plutot agressif et peu-ouvert à la discussion. Comment voulez vous que votre sujet ne dévie pas sur un « polémique esperanto-anglais » ?
Vous dites que le thème est « Esperanto et enseignement » alors je rentre dans le jeu et, fatalement, je me demande quel est l’intérêt d’enseigner (et donc d’occuper des cases horaires de cours qui auraient pu être utilisées par d’autres matières) une langue à vocation universelle alors même qu’il en existe déjà une : l’anglais (et oui on en revient forcément à la polémique que vous voulez à tout prix éviter...).
Biensur, vous pourrez toujours me dire que l’esperanto est dix fois plus facile à apprendre que l’anglais, je vous répondrai que l’anglais n’est pas devenu une langue universelle parce que c’est une langue facile mais parce que c’est la langues parlée aux Etats-Unis, autrement dit, dans la première puissance économique et militaire mondiale.
Alors vous me direz, la question que vous posez n’est pas le sujet de mon article. Et je vous répondrai, que certes nous dévions, mais qu’avant de proposer l’enseignement d’une discipline à l’école, il faut en prouver l’utilité ! On ne va pas allourdir l’emploi du temps de gosses, qui par ailleurs ont déjà pas mal de connaissances à engranger en peu de temps, avec une matière simplement parce que vous avez décidé que ça en valait la peine.
Je pourrais enfin, reprendre et discuter tous les arguments (notamment celui évoquant la complexité de l’orthographe français -ou française ? j’ai un doute tiens...-) que vous avancez en faveur de l’esperanto mais mon commentaire ferait 3 pages de long. D’où la nécessité d’être pragmatique et de raccourcir le débat à cette question : qu’est-ce que l’espéranto apporterait de plus par rapport à l’anglais, très objectivement ? Rien.
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Le doute est non seulement permis mais également encouragé. L’étape suivante est de tester la chose par soi-même. Mon expérience est que l’espéranto facilité l’étude des langues. Votre approche est de répéter votre doute à toutes les sauces, sans jamais rien faire d’autre. Ah si - vous déformez les propos. Personne n’a jamais présenté l’espéranto comme remède à tous les maux. Les ricanements n’ont rien de constructif.
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Qu’est-ce que l’espéranto apporterait ? Relisez les discussions où vous avez écrit les messages à rallonge. Les réponses ont déjà été données.
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« je me demande quel est l’intérêt d’enseigner (et donc d’occuper des cases horaires de cours qui auraient pu être utilisées par d’autres matières) »
Une initiation à l’espéranto ne prend pas beaucoup de temps mais est très profitable.
« langue à vocation universelle alors même qu’il en existe déjà une : l’anglais »
Si elle était universelle, le monde entier le parlerai déjà, ce qui n’est pas le cas, et on ne demanderait pas les « mother tongue »
Du point de vue linguistique, l’anglais n’a rien d’universel.
« l’anglais n’est pas devenu une langue universelle parce que c’est une langue facile mais parce que c’est la langues parlée aux Etats-Unis, autrement dit, dans la première puissance économique et militaire mondiale »
Il n’est pas devenu universel malgré cette puissance, et maintenant il est menacé aux Etat-Unis même
« On ne va pas allourdir l’emploi du temps de gosses, qui par ailleurs ont déjà pas mal de connaissances à engranger en peu de temps, avec une matière simplement parce que vous avez décidé que ça en valait la peine. »
Et alourdir leurs horaires avec l’anglais « de communication internationale », autrement dit le petit-blanc, ça sert à quoi ?
L’avantage de l’espéranto, c’est donner la possibilité de communiquer rapidement et efficacement. Autrement dit, prendre l’avion au lieu d’une calèche.
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« Qu’est-ce que l’espéranto apporterait ? Relisez les discussions où vous avez écrit les messages à rallonge. Les réponses ont déjà été données. »
Pour commencer je n’ai fait qu’un seul commentaire (certes un peu long mais bon...), calmez vous. Enfin, je ne vois pas en quoi la relecture de votre propagande me permettra d’avoir les idées plus claires sur le sujet. Il y a effectivement des questions posées par les commentateurs, et bien peu de réponses de la part des « esperantistes ».
Vous refusez le débat et les questions posées. Si j’ai bien compris votre message est le suivant : « L’espéranto c’est bien et si t’es pas d’accord vas voir ailleurs ». OK, j’y cours.
Si la langue que vous défendez est aussi ouverte que votre esprit, ne vous étonnez pas d’être aussi peu nombreux à la pratiquer et à en comprendre les bienfaits.
A bon entendeur !
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Julien, essayons de discuter sans remarques du style « calmez-vous ». Je suis calme
Ensuite, il ne s’agit pas de la propagande mais de l’information. Si le sujet vous intéresse, vous continuerez de creuser par vous-même. D’ailleurs, pourquoi les guillements dans le mot « espérantistes » ?..
« Vous refusez le débat et les questions posées »
Et pourquoi j’ai l’impression du déjà vu ?.. Bon, alors faites une liste des questions, numérotée si possible, on va débattre
« Si la langue que vous défendez est aussi ouverte que votre esprit, ne vous étonnez pas d’être aussi peu nombreux à la pratiquer et à en comprendre les bienfaits. »
L’esprit à qui ? Et avec quoi avez-vous mesuré l’ouverture ?
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Quand aux études que vous cité, j’avoue que j’ai du mal à y accorder le moindre crédit depuis que j’ai constaté que le rapport Grin n’était non pas l’oeuvre d’une personne neutre convaincu lors de son étude du problème, mais la propagande d’un converti de longue date.
Si vous lisez bien le rapport Grinn. il y est bien expliqué qu’il n’y a pas de aprti pris, juste 3 propositions que chacun est droit de choisir et d’en assumer les conséquences
Cordialement
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Là on voudrait nous faire avaler que la pratique de l’esperanto facilite tout le reste... Mouais... Autant je veux bien croire que c’est très facile à apprendre, autant il faudrait éviter d’en faire le remède miracle à tous les maux de la planète.
ou ais je dit cela dans mon article, j’ai juste dis qu’il a certains avantages à le mettre en pratique, je n’ai dit nul part qu’il résout tout.
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Veuillez m’excuser mais étant donné votre position (de défenseur d’une cause qu’on pourrait presque qualifier de « perdue » : l’espéranto...) je vous trouve plutot agressif et peu-ouvert à la discussion. Comment voulez vous que votre sujet ne dévie pas sur un « polémique esperanto-anglais » ?
Vous dites que le thème est « Esperanto et enseignement » alors je rentre dans le jeu et, fatalement, je me demande quel est l’intérêt d’enseigner (et donc d’occuper des cases horaires de cours qui auraient pu être utilisées par d’autres matières) une langue à vocation universelle alors même qu’il en existe déjà une : l’anglais (et oui on en revient forcément à la polémique que vous voulez à tout prix éviter...).
je ne suis pas contre l’ouverture du sujet, je crois l’avoir bien dis, mais ci c’est pour arriver à des insultes de diverses personnes ou pour dire que du oui-dire, du prejugé, de la moquerie, du non respect, lire des personnes qui ne veulent que s’entendre parler, cela n’a aucun interet.
j’ai parler de son cas à "devenir universel comme introduction, mais ce n’est pas que cela l’espéranto, c’est aussi donner du respect vers l’autre, donner de bonnes bases gramaticales pour permeetre de mieux appréhender et aprivoiser sa langue et celle de l’autre donc de favoriser le multilinguisme vers une capacité plus opérationelle et beaucoup d’autres choses encore.
Oui je pense que son introduction est intéressante, si par exemple on réussi à dimminuer le temps de travail en francais sur l’étude de la grammaire, sur le coté civique, sur la culture, sur l’étude des langues, cela à un grand intéret, . par exemple certaines études ont démontrer aux USA que 3ans de langue étrangère était équivalent à 1ans d’esperanto + 2ans de cette même langue,et voir dans un certains nombre de cas une plus grande fluidité et assurance grace à la solution espéranto. Donc le fait de dire l’eo apporte plus de temps de travail n’est pas forcément vrai. par exemple est ce que l’introduction d’une langue vivante en primaire aide a mieux apprhender les langues, actuellment les résultas sont très mitigés, c’est je n’est pas encore réussie à trouver de résultat en grande partie positive à se sujet. est ce que cela vaut le coup de mettre des heures de langues en plus en primaire pour un résultat faible, Pour moi non, moi je préfererais que les gamins ayent faire du sport, comprennent mieux la culture francaise ou européennn et beaucoup d’autre choses
l’anglais seulement 10% du globe la connaissancent donc qu’est ce qu’elle est universelle !!!, mais je suis d’accord avec vous plus répandue que l’eo Cordialement
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Ce n’est plus 10%. Actuellement, c’est 4,84%, selon le site de la CIA
https://www.cia.gov/cia/publications/factbook/geos/xx.html#People
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Ho ben moi j’avais 6% de natif anglais et 4% de deuxième langue anglaise et comme toujours je retrouve jamais la ref quand j’en est besoin
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Chère Skirlet, votre haine des anglo-saxons va-t-elle jusqu’à ignorer ce que signifient les mots « percents are for »first language« speakers only » ?
Il va de soi que l’avantage de l’anglais, qui le rend sans rival dans la course à la langue universelle, ce n’est pas son stock de locuteurs natifs (qui est toutefois assez considérable), mais le nombre de ceux qui l’ont appris après coup. Le nombre, et la qualité. Car si on suppose (à la louche) que 15% de la population mondiale baragouine un anglais compréhensible (rien qu’avec les indiens, on y est vite), il s’agit des BONS 15%.
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tu peux essayer de voir par toi-même ce qu’est cette langue :
c’est gratuit et efficace.
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Asp, pas de psychanalyse à deux balles. Ceci n’est vraiment pas de votre ressort.
Je n’ai pas non plus besoin de votre service de traduction. Quand vous me montrerez les études démontrant que 15% de la population mondiale parle anglais à un niveau élevé, on en rediscutera. Tant qu’on y compte les gens ayant étudié un bout d’anglais dans leur scolarité, le seul chiffre qui comptera, c’est le nombre des locuteurs natifs (en encore... si on considère qu’aux EUA il y a de très nombreuses personnes parlant très mal anglais, le décompte devient encore plus difficile )
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c’est le drapeau qui pose un sérieux problème ...
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Si le drapeau vous pose problème c’est peut-être que vous faites des analogies anachroniques, pour vous informer : ce drapeau date de 1882, période où il n’existait que quelques rares drapeaux nationaux ( je ne dis pas emblèmes ). Si vous êtes géné par l’étoile, elle n’est pas en relation avec les origines de Zamenhof, mais elle a de tous temps été le symbole de l’espérance (voir sa couleur), de même que la tonalité verte montre le coté nature (humanisme) de la démarche du Dr Esperanto. Sur le site de la très importante Société Québécoise d’Esperanto, vous trouverez confirmations et bien d’autres renseignements.
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Il y a sûrement une erreur : la unua libro a été publié en 1887
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Bonjour,
Votre article m’a rappelé que j’avais dit que j’allais apprendre l’esperanto. Mon premier exercice est fait et envoyé. Mon premier commentaire en esperanto sur l’article de Carlo. Resanigi estas mia ideo.
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Estimata ŝercemulo (enfoiré ? traduit ici par « celui qui aime plaisanter) mi gratulas vin por via decido lerni Eon. Estu bonvenata en nia mondo. Kiam vi diras »resanigi", ĉu signifas ke vi estas kuracisto kaj volas denove sanigi malsanulojn ? ? Aŭ ĉu vi volis diri resaniĝi, ĉar vi estas malsana ? Al Esperantulo mi volus konsili esti pli tolerema kaj ne uzi fek-vortojn, kaj, estimata doktoro, atenti pri via franclingva ortografio. Plej amike al vi ambaŭ. Pour les lecteurs : employant l’Eo couramment je n’ai pas pu résister au plaisir d’adresser un mesage à la fois à l’auteur et à l’Enfoiré qui s’initie à notre belle langue universelle. Vous pouvez faire comme lui, pour un investissement des moindres vos joies seront immenses.
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Bone, sed paciencu ! La resaniĝo estos longe ke la okazo aperi senespera ! Amikaĵo.
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oops ! lire aperas en place de aperi !
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Bonjour,
Je ne suis pas encore assez loin dans l’étude pour pouvoir continuer dans cette belle langue. J’utilise le mot « belle » parce que je le pense et cela pour une simple raison de mon paragmatisme. Comme certains le savent, j’ai passé quelques 38 ans dans l’informatique. Cela forme un homme de manière très « carrée » très formelle, très logique. J’aime ce qui existe grâce à une règle incontestable. Peut importe si elle passera la rampe chez une population étendue ou non, cette langue a au moins une rigueur, une volonté d’être simple et structurée avec des règles uniformes. Les exceptions qui confirment la règle, j’aime pas quand rien ne les justifie. L’esperanto a sa raison au moins pour être un exercise de style qui a le mérite d’avoir été pensé et prouvé qu’il y a une autre manière de « travailler ». A+
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L’Enfoiré, une question bête, je peux ?
« Mon premier commentaire en esperanto sur l’article de Carlo. » - c’est où ? Moi pas trouver. Merci
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http://www.agoravox.fr/forum.php3?id_article=17393&id_forum=285115
9-jan-2007 : 18:00
Il est tout bête et pas sûr d’être juste :
@Taverno poetoj,
Mi resangi vi. Mi estas mia unua esperanto lesono. Mi kredas, ke mi estas iom laca
Pas hésiter de me faire la leçon si j’étais incompréhensible. Merci d’avance.
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Merci
Evidemment, il y a quelques fautes, mais faire des phrases impeccables après une seule leçon serait inhumain (et même inrobotique - les robots ne fonctionnent pas bien, tant que toutes les données nécessaires ne sont pas rentrées :- )
Mi resanig(is ? as ? os ?) vin. Mi estas al mia unua Esperanto-leciono ou (« mi faris mian unuan Esperantan lecionon », c’est pareil).
Dans troisième phrase vous pas faire fautes, moi y en a vous féliciter ! (c’pas une blague)
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Bonjour,
J’ai reçu le corrigé de ma première leçon aujourd’hui. Je continue donc.
Un peu plus bas, je lis un commentaire qui dit qu’avec l’Anglais, on va partout. C’est pas vrai, du tout. Les hôtels, oui, peut-être et encore. Il suffit d’aller en Espagne, en Italie, en Grèce, en Turquie pour aller de gauche à droite) en vacances, pour remarquer que la langue des affaires touristiques est l’allemand. Simple, on adresse la parole dans la langue de Goethe. Juste retour de flamme linguistique. A+
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L’anglais est dominant, et le chinois est la langue du futur proche. L’esperanto n’a aucune place dans ce schéma.
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Il y a plus d’univesités en Chine qui enseignent l’espéranto qu’en France Et même, que faites-vous de l’espagnol ?
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eh oui ! Que faites-vous de l’espagnol ?
L’avenir pourrait bien être en Amérique latine. Et pour l’instant tous les altermondialistes ont les yeux tournés eers eux
Rien que ça ce serait une raison d’apprendre. Et en tout cas, pour un français c’est une langue autrement plus facile que l’anglais (que bien peu arrrivent à savoir assez pour un usage utile !!). Même sans avoir appris, on peut , avec un peu d’habitude, et tout au plus un petit dictionnaire, deveniner 60 à 100% des textes en espagnols, du moins quand il s’agit de dépèches d’information et de textes politiques, essayez ! vous m’en direz des nouvelles !!
Et le sujet est très très interessant !
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A lire les commentaires, je me demande si certaines personnes ont déjà appris une langue étrangère autre que l’anglais. Connaitre une langue facilite l’apprentissage d’une autre (le latin par exemple pour la conjugaison en espagnol).
En lisant l’article, je trouve effectivement beaucoup d’interet à apprendre l’esperanto des le primaire. L’une des difficultés des langues est de connaitre la grammaire : beaucoup de francais auraient interet a faire la difference entre les complements d’objets directs et indirects ; faire la différence n’a pas forcement d’importance en anglais mais elle est primordiale en allemand.
Cela permet ainsi de mieux organiser la phrase et organiser son expression oblige à structurer sa pensée. Si la theorie de l’esperanto amene à une meilleure pratique et connaissance de sa langue (dans l’utilisation des adverbes par exemple), cela serait tout benef pour les cours de francais.
Par ailleurs, si cela permet de connaitre quelques racines latines, la première rencontre avec certaines mots (francais ou autres) sera plus aisée dans sa compréhension (les anciens latinistes le savent fort bien).
Je comprends que l’interet d’apprendre une langue mort-né (c’est mon avis) soit limité dans un simple cadre de discussion avec des étrangers, mais cela n’est pas le sens de l’article et tout rapprochement avec l’anglais est à mon sens stérile, vu le sujet qui nous intéresse ici. L’anglais est plutot une langue facile mais qui apporte au final assez peu de materiel linguistique (c’est encore mon avis).
Aux passionnés d’esperanto : avez vous profité de la connaissance de l’esperanto pour apprendre d’autres langues ou vous contentez vous d’elle pour elle même ?
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Bonjour M. Sebuzz. Je veux vous répondre sur la question concernant d’autres langues. J’ai appris l’Eo à l’âge de 15 ans, par hasard, répondant à un article du journal local « L’Alsace ». Alsacien de souche j’ai encore toujours des problèmes à bien employer le français. L’Espéranto m’a immédiatement fait progresser en français même, de même qu’en allemand, ceci au collège. A cette époque il n’y avait pas d’autre choix de langue possible (à Guebwiller). Par la suite j’ai essayé en dilletante (j’avais aussi à me perfectionner dans mon métier) d’apprendre l’anglais. Mais pour mes relations hors frontières j’avais maintenant bel et bien à ma disposition un outil incomparable : l’espéranto. Il faut dire que le système « réseau » y est particulièrement efficace. J’ai pu faire des affaires grâce à ces points de chute de personnes parlant l’Eo dans presque toutes les villes du monde, et qui par sympathie, se mettent en 4 pour vous aider et vous introduire dans leur milieu linguistique national. Et cela continue, ma fille, maintenant médecin est allé en Chine où elle a appris l’acupuncture par des cours donnés en Eo, et mon fils , juriste a pu résoudre un épineux problème aux USA par son contact avec un avocat américain bienveillant et espérantophone. L’Espéranto est depuis longtemps une option fort pratique et très utile. Maintenant il est sûr que s’il était enseigné très universellement il perdrait à coup sûr l’avantage de l’effet réseau. Et nous sommes même quelques égoïstes à penser que des espérantophones point trop n’en faut ! Pour l’instant il y a encore de la place = soyez les bienvenus !
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L’espéranto est effectivement utile pour l’apprentissage des autres langues (asiatiques - isolantes y compris, auxquelles il se rapproche par sa grammaire).
Je ne suis pas d’accord avec la définition « mort-né », et en sachant que mon avis n’a pas beaucoup de poids, j’attire votre attention au fait que l’espéranto a été reconnu comme langue vivante et littéraire par des instances non-espérantistes.
Je ne suis également pas d’accord que l’anglais est une langue facile. Toute langue est facile, si on avance au niveau basique. L’anglais est plein d’expressions idiomatiques ; même les natifs ne savent pas, comment prononcer un mot inconnu, donc il faut apprendre chaque mot un par un pour pourvoir les prononcer ; nombre d’exceptions en tout genre, la dialectisation, les sons impossibles à réproduire pour les non-natifs le rendent une langue plutôt difficile.
« Aux passionnés d’esperanto : avez vous profité de la connaissance de l’esperanto pour apprendre d’autres langues ou vous contentez vous d’elle pour elle même ? »
Bien entendu Ma première langue étrangère était le français, que je maîtrisais mal après les 8 ans d’étude (en étant une bonne élève). En constatant le peu de résultat malgré les efforts, j’ai été assez dégoûtée des langues. Grâce à l’espéranto, je suis revenue au français, étudié d’autres langues, et somme toute je trouve que l’espéranto est un excellent moyen de s’ouvrir au monde
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Moi je comprends ma langue régionale, je parle un mauvais anglais, je comprends mal l’espagnol, 2e langue au lycée, un mauvais esperanto mais j’ai bon espoir.
Il faudrait peut-être rappeler que l’apprentissage des langues n’est pas le seul but dans la vie ! N’en déplaise aux passionnés de langues.
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Raison supplémentaire pour en apprendre une seule, sans difficulté, qui passe partout !-
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Une micro information « L’anglais est plutot une langue facile mais qui apporte au final assez peu de materiel linguistique (c’est encore mon avis). »
l’anglais est facile au début eu tout le monde le voie, mais c’est ensuite que cela se corse, des que l’on entre dans la langue de manière moin superficielle, elle se complique beaucoup. Oui l’anglais apporte peu de matériel, comme l’italien, le russe le francais et beaucoup d’autres langues. Mais plusieurs langues ensemble permettent de de trouver un point de comparaison pour la structure de sa pensée dan sa langue et donc de mieux les maitrisées. L’eo c’est cela une prise de chaque langue que se soit dans sa grammaire et dans son vocabulaire, de la manière la plus simple (sans exeption) le tout faite de manière structuré qui donne une parfaite cohésion et bien plus grande qu’une langue natinnale (par la possibilité de son vocabulaire et des capacités d’expression naturelles de la pensée), ce qui permet d’approcher beaucoup d’aspect structurel de diverses langues mais aussi par le vocabulaire à apprendre des mots qui existe pas en franacis mais dans d’autres langues mais que l’on peut aussi retrouver dans l’eo.
tien un exemple personel, je n’est jamais fait de turque de ma vie, on à assister à un cours d’initiation, j’ai pu me la PETER GRAVE, car je savait dix fois mieux m’exprimer et comprendre cette langue que tous les autres qui savais l’anglais ou une autre langue
« Aux passionnés d’esperanto : avez vous profité de la connaissance de l’esperanto pour apprendre d’autres langues ou vous contentez vous d’elle pour elle même ? »
donc oui par mon exemple précédent j’en profite, mais aussi dans ma syntaxe du frnacais qui est de plus en plus clair. par contre de l’apprentissage d’autrs langues ayant un problème d’audition et de capacité à memoriser du par coeur, cela m’ai très difficile.
Aussi une petite chose sur le respect, pendant des années j’ai culpabilisé car je n’était pas capable de comprendre l’anglais, avec la phrase « en dehors de l’anglais point de salut ». Puis mes études supérieures fesant, je me suis rendu compte que peu de personnes savaient l’angalsi mais en plus ils perdaient petits à petit les aquis de cette langue. Et chemin fesant, maintenant je gagne très bien ma vie sans connaitre cette langue lors que tout le monde m’a dit il faudrais que je la connaisse. Donc « en dehors de l’anglais, existe un salut ». Donc ce matraquage de l’angalis est néfaste pour l’individu, je pense et il ne permet pas de donner un sentiment de respect de soi et de l’autre de manière optimale dans ce domaine, enfin ce n’est que mon opinion, après chacun voit devant sa porte
Cordialement
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faire le rapport avec le latin (malheureusement en déperdition, sans parler du grec) est bien plus constructif en rapport avec cet article.
Il faudrait relancer toute cette discussion sur ce thème.
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Moi anglais, je lis couramment,( mais comprnedre l’oral c’est une autr paire de manche !), l’allemand si dificilement que j’ai laissé tomber, à part les poèmes de Joachim Ringelnatz, l’espagnol je m’afforce de lire régulèrement, sans l’avoir jamais appris, le hindi : des bases, mais pas assez même pour lire un texte sans ..... la traduction française à coté (pourtant c’est une langue facile, que je recommande vivement ! la faute n’est due qu’à ma paresse !) Et bien sûr l’Espéranto ecrit et parlé couramment, et à ça je n’ai pas grand mérite.
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Merci pour vos avis éclairés ! Je suis déjà en train de changer d’avis . Je suis étonné de voir comme cette langue est implantée dans certaines parties du monde (surtout en chine : des cours d’acupuncture ou des radios, je suis sur le cul). J’avais surement une vision trop francaise de l’Eo
Je ne pense pas que j’apprendrai demain l’esperanto (j’ai d’autres « chantiers linguistiques » en cours) mais je vais m’intéresser aux bases si elles sont si simples et formatrices.
Une derniere remarque pour rejoindre un autre commentaire : durant des années, j’étais une quiche totale en langue avant de partir à l’étranger ou j’ai appris de maniere satisfaisante l’anglais.. Depuis, je suis interessé dans l’apprentissage d’autres langues. SI l’Eo permet de passer la premiere barriere, cela fait encore un bon point pour elle.
Slts à tous
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Je ne suis pas d’accord : le but de l’esperanto n’est pas d’apprendre que cette langue. Mais c’est mon point de vue ...
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Et en pratique ???
Encore une fois, il y a les belles rêveries, et puis il y a la réalité des faits, permettez-moi de les explorer.
Supposons qu’il soit possible d’apprendre l’espéranto en un an, à raison de trois heures de cours, à l’école (nous ne discuterons pas cette optimiste vision des choses). Cela signifie qu’il faut recruter des professeurs en nombre suffisant, qu’il faudra payer en conséquence. Oui, mais combien ?
On peut supposer qu’il y a dans les écoles françaises 750 000 élèves par classe d’âge (je vous épargne le calcul), répartis par classes de 25. Un professeur peut s’occuper de huit classes, soient 200 élèves. Pour enseigner aux 750 000 bambins, il faudrait donc 3750 professeurs (plus des remplaçants, congés mat et autres, mais ne rentrons pas dans les détails)
Bon, c’est pas un problème vous direz-vous, en France, c’est pas les chômeurs qui manquent. Oui mais attention, il faut 3750 professeurs QUI PARLENT ESPERANTO !
Et là on en vient à la fatale question : combien y a-t-il d’espérantistes en France ? Difficile à dire, ils ne se compte pas. Toutefois, en supposant de façon très optimistes qu’il y a de par le monde 2 millions d’espérantistes suffisamment compétents pour enseigner, et que la France soit dans la moyenne en cette matière, une règle de trois nous indique qu’il y aurait, environ, 20 000 espérantistes français (écrit comme ça, ça a l’air impressionnant, mais c’est somme toute une assistance très moyenne à un match de ligue 1). Donc, pour que le plan Esperantulo pour la promotion de l’espéranto soit crédible, il faudrait qu’un espérantiste sur cinq soit disposé à devenir professeur.
Ce qui est peu probable, si l’on considère que pour la plupart, ils sont à la retraite depuis belle lurette.
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Il faudrait aussi une résolution planètaire, puis une adhésion nationale. Ensuite, démarrer le gigantesque chantier de formation. Le délire quoi ! ...Pas gagné... Merci pour votre éclair de lucidité.
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Oui, et ça me fait penser que que si on rendait l’espéranto obligatoire dans les écoles françaises on obtiendrait, en quelques décennies seulement, une langue commune permettant de tous se comprendre... entre Français. Eh oui, parce qu’il faudrait encore que les étrangers comprennent que nous autres Français, on leur porte la vérité et la lumière et que c’est une excellente idée de faire comme nous.
Heureusement que nous n’avons absolument pas la réputation d’être arrogants.
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Vous avez déjà posé cette question sur d’autres discussions et obtenu une réponse. Relisez, au lieu de répéter la même chose. Mais m’est avis que c’est poser des questions qui vous fait planer, pas avoir des réponses.
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Bonan matenon sinjor(in ?)o ASP. Mi timis ke vi estis malsana ne vidante vin tuj marde, kaj mi esperis ankaŭ ke vi forlasis tiun malbelegan foton kiu estas via logo. Sed ne, vi restas la sama. « Nur stultuloj neniam aliiĝas » diras la proverbo. Ankaŭ por vi eokurso estus senpaga. Traduction pour ceux qui de comprennent pas (encore) l’eo : Bon matin M. (ou Mme) ASP. Je craignais qui vous soyez malade, ne vous voyant pas de suite mardi matin et j’espérais aussi que vous ayez abandonné cette très vilaine photo qui est votre logo. Mais non vous restez le même. « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » dit le proverbe. Le cours (d’eo) serait gratuit pour vous aussi. De la part du « Père Eugène, cet aimable plaisantin » comme vous m’appelez dans votre courrier du coeur !
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« Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis »
Le problème de ce proverbe, c’est qu’il peut s’appliquer aux tenants des deux points de vues...
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Il semblerait que la Chine soit elle aussi intéressée par une langue plus facile que l’anglais pour communiquer.
On peut ainsi noter qu’une de ses éditions de la radio internationale chinoise est en espéranto :
Peut-être peut-on conseiller aux européens en Chine à parler espéranto ?
Bon, vous l’aurez compris, comme d’habitude cet article a convaincu un convaincu... et les autres ?
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Comme disait un Irlandais de ma connaissance : con vaincu, con vaincu ! Surveillez votre language s’il vous plait !
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Citoyen, il y a bien d’autres mots très drôles : confédération, consonne, convecteur, conteur, content, conquérant etc. etc. Qu’est-ce qu’ils sont grossiers, ces dicos
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Pas seulement en Chine ! la radio coréenne aussi, et radio Vatican, et Radio Cuba, et la radio italienne.
La plupar peuvent s’écouter par internet. Je ne mets pas les liens (on peut chercher dans « Esperanto Panorama ») seulement celui d’un site où sont « stockés » des enregistrements d’émissions anciennes de diverses radios
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Vous avez oublié concupiscent, orbite, ...
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Réponse à Asp :
ça tombe bien, il y a au moins 20 000 espérantophones en France, et ils sont tous plus ou moins profs. Dès que tu parles l’Eo, tu peux l’enseigner, et tu as envie de le faire, d’ailleurs :)
Tu as raison que ce serait mieux si l’enseignement de l’Eo se fait dans plusieurs pays d’Europe, l’Europe et le monde ont beaucoup à y gagner. Ce qu’ils perdent actuellement en se mettant à l’anglais, à coups de millions d’heures et d’euros transférés aux pays anglo-saxons.
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> Dès que tu parles llll’Eo, tu peux llll’enseigner, et tu as envie de le faire
(attention troll) Normal : l’Eo est une secte qui non seulement veut vous amener à pratiquer une langue bizarre, artificielle et sans vie, mais en plus elle vous impose d’aller évangéliser à votre tour. (fin du troll)
Moi qui parle couramment l’anglais, je serais bien incapable de l’enseigner,... et de toute façon, je n’en ai aucune envie.
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Je suis, comme toujours, très étonné par les commentaires. Il y a quand même des points sur lesquels un consensus devrait pouvoir être établi :
1- l’impossibilité d’aboutir à un vrai multilinguisme qui permettrait à n’importe qui de communiquer avec n’importe qui
On a le droit d’apprendre des langues, mais on ne peut pas imposer à tous de les apprendre toutes.
2- le besoin d’une langue commune
3- le fait que cette langue commune doit être facile à apprendre
Elle doit être accessible à des personnes de tous âges, de toutes origines sociales et de toutes nationalités. Et son apprentissage ne doit pas se faire au détriment de la langue maternelle.
4- le fait que dans le choix de cette langue commune on doit éviter de donner l’avantage à une nation en particulier
La situation de l’anglais est problématique de ce point de vue-là. Et si la future langue internationale est le chinois, ce ne sera pas non plus équitable.
Je ne dis pas que l’espéranto est la seule solution. Mais depuis près de 120 ans, j’estime que la preuve a été faite que l’espéranto répond à ces critères.
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Asp a posé une bonne question le cout d’argent, le temps et beaucoup d’autres choses concrête, je suis en train d’y travailler3. et d’aprèes mes recherches il semblerait que l’eo soit encore mieux que ce que j’en aurais penser que se soit dans le programme scolaire et son cout ainsi que pour la formation des enseignants. le texte arive bientot.
Cordialement
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Non mais finalement les esperantistes m’ont convaincu. Apparament maitriser l’esperanto permet de progresser plus vite dans les autres langues.
Je vais donc apprendre l’esperanto pour ensuite optimiser ma maitrise de l’anglais.
Vive l’esperanto !
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à Zalka : attention, vous allez entrer dans une secte, où c’est comme pour le vélo : une fois que vous savez rouler, vous ne saurez plus vous en défaire ! Et je sais de quoi je parle, et en plus vous allez essayer de partager cette idée saugrenue d’utiliser une langue commune, une langue en plus, alors qu’il y en a déjà tellement ! Une langue qui est artificielle, sans vie, sans culture et j’en passe. PS : si c’est par ikurso (voir le net) vous pouvez me demander comme correcteur auprès d’Ingrid, cela me fera plaisir de vous porter sur les fonds baptismaux de votre nouvelle religion linguistique. La revido estos je la unua leciono. Le revoir se fera à votre première leçon.
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Voici une idée pour avancer dans le débat. Comme tout le monde à l’air de ne pas être contre les avantages de l’eo pour aider dans l’enseignement sur les points cités dans l’article (car je n’ai rien vu qui s’y oppose). Donc de quelle manière le mettre en place, quand, combien de temps par semaine, création de poste et enseignants en plus.
Qu’est ce que l’on sait déjà : c’est que par sa valeur propédeutique l’espéranto permet d’augmenter le gain de temps pour l’apprentissage des langues. C’est à dire, par exemple pour une langue, le russe par exemple appris pendant 3 ans son équivalent avec l’espéranto est de 1 ans d’eo + 2 ans de russe, qui en plus avec ce dernier permet dans un certain nombre de cas d’être plus à l’aise avec la langue et plus sur de soi, donc une optimisation de l’apprentissage.
Donc on peut déjà en conclure que l’introduction de l’eo n’augmentera pas le nombre d’heures pour les élèves et même mieux fera une économie (peut être petite) d’argent et de temps d’apprentissage pour les élèves. Bon là je n’ais parlé que pour une langue étrangère, que cela donnerait pour une seconde, peut-être un plus mais je n’ai pas trouvé d’info là dessus. Mais par contre il a été aussi question de la langue maternelle avec un meilleur apprentissage de la grammaire par l’intermédiaire de l’espéranto. S’il y a une amélioration d’apprentissage on peut supposer que le temps d’apprentissage de la langue maternelle peut être réduit, donc une économie d’argent et de temps. Donc on peut en conclure que part l’addition de tous les cas il n’existe pas de surcoût et même il existe une économie de temps et d’argent au final. Donc dans le système scolaire pas de problème.
Maintenant passons à sa mise en place dans la formation des enseignants, là forcément il existe un coût. Il existe plusieurs manières de voir le problème, soit on opte pour une formation approfondie de la langue, donc quelqu’un qui soit capable de l’appliquer facilement ; soit on opte pour une formation moyenne qui semble le mieux car il n’est pas demandé que nos élèves apprennent de manière ultra fonctionnelle la langue mais plutôt de connaître bien ses bases dans le système pour la promotion et de l’augmentation des capacités aux plurilinguismes maternel et étranger. Et là grâce à notre état français et tous ses rapports, c’est la mise en place de la pratique des langues au primaire, c’est à dire 1H30 par semaine sur 3 ans et bientôt sur 5 ans. Hors d’après un certain nombre de rapports et témoignages cela ne donne pas d’aussi bon résultat (pour de nombreuses raisons de théorie et d’organisation administrative), pour en arriver au point qu’en fin de 6eme les élèves aient le même niveau que ce soit avec cours en primaire ou sans cours au primaire. Donc en résumé on pourrait dire la formation en primaire est la formation diluée de la sixième. Donc on se retrouve avec des élèves qui ont beaucoup plus travaillé sur une langue mais sans grand résultat amélioré sur la dite langue.
Maintenant l’eo, l’idéal c’est 4 heures de cours par semaines sur une année ; soit 160 heures (pas plus car ce n’est que les bases que l’on recherche). Cela correspond par rapport à l’apprentissage des langues (1H30 sur 3ans soit 180 heures) moins que ce dernier, donc en l’introduisant sur la formation des langues en primaire, il est tout à fait possible grâce aux futures 5 ans (soit 300 heures) de faire cohabiter les deux systèmes. Soit 160 heures d’eo et 140 heures de langues et comme il existe la qualité propédeutique de l’eo ces 140 heures seront optimisées donc un équivalent supérieur aux 180 heures de langue actuelle Et après tout ce qui vient d’être dit, comme on garde le même nombre d’heures de cours de langues, donc forcément le même nombre d’enseignant de langue, la seule différence c’est qu’une partie, environ la moitié aura apprise l’eo et le reste une autre langue. Bon bien sur je n’ais pas mis en compte la formation supplémentaire des professeurs des écoles pour la formation de la langue vivante, de la mise en place des supports, etc. . Car cela semblerait donner en plus une économie d’argent en faveur de la mise en place de l’eo.
E t donc pour finir, comme il existerait une mise en place eo et langue étrangère en primaire, cela permettrait des la 6eme une avancé d’un an sur l’étude des langues étrangère au collège Donc une possibilité soit d’économiser du temps de cours et d’argent, soit d’en profiter pour mettre en place d’autres structures très utiles pour l’élève ;
Bien sur il serait beaucoup mieux de faire parler par les chiffres de manière complète, mais cela est beaucoup trop difficile pour moi.
Donc je pense que c’est une bonne solution. C’est un système qui semble avoir beaucoup d’avantages dans l’enseignement. Bien sur si j’ai fais des erreurs, la discussion est ouverte.
Si ce système fonctionne cela donnera peut être envie aux autres pays de faire la même chose, rien que pour pouvoir éviter de perdre un certain terrain, et donc de faire la promotion petit à petit de cette langue pour permettre une meilleure communication internationale, de manière indirecte. Mais bien sur ce n’est que des « si »
Cordialement
PS : je rappelle que je ne suis pas contre l’anglais, mais je suis contre son utilisation internationale, car c’est un mauvais outil de communication international, d’après mon expérience, les problèmes qui en découlent, et les chiffres. Il y a très longtemps, pour moi aussi l’anglais était la seule solution, que c’était la meilleur, le paradis au pays des langues (bien que je sois nul dans cette langue). Et puis avec le temps je me suis rendu compte que ce n’était pas vrai, par mes voyages, études, mais je me disais que c’était le moins pire (par exemple en comparaison du chinois et du japonais) ; puis un jour j’ai découvert l’eo, je l’ai appris pour voir ci c’était vrai. Et tout est vrai au niveau des capacités de cette langue, elle est bien meilleure que l’anglais en tant que langue internationale. Je ne suis pas contre l’anglais mais je ne suis pas du genre à rester engluer dans un problème, dans le cas des langues il existe une meilleure solution et actuellement c’est l’espéranto. Oui je fais sa promotion comme ceux qui font celle de l’anglais dans le monde professionnel, mais moi je ne pense pas qu’au professionnel, je vais beaucoup plus loin que ça, je vais vers le coté humain de l’homme, vers l’ensemble de l’humanité et non que vers les 10% qui pratiquent l’anglais. Oui l’espéranto à certains problèmes, comme l’anglais, mais il me semble dans mon expérience que c’est l’anglais qui en a le plus. Je pense que le problème linguistique est un problème d’avant garde, comme il existe un certain nombre de solutions proposées, elles sont aussi d’avant garde, comme le multilinguisme ou l’espéranto. J’aurais bien aimé que le multilinguisme comme solution ce qui aurait été la meilleur mais alors qu’il n’existe personne qui soit un handicapé des langues, dont je fais partie.
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A Julien.
Vous vouliez voir ce que provoquerait ça mise en place, j’en ais écrit deux pages, il se trouve selon mon avis qu’il n’y a que des avantages pas d’inconvénient.
« Je pourrais enfin, reprendre et discuter tous les arguments (notamment celui évoquant la complexité de l’orthographe français -ou française ? j’ai un doute tiens...-) que vous avancez en faveur de l’esperanto mais mon commentaire ferait 3 pages de long. D’où la nécessité d’être pragmatique et de raccourcir le débat à cette question : qu’est-ce que l’espéranto apporterait de plus par rapport à l’anglais, très objectivement ? Rien. «
Allez y donner vos commentaires sur l’article, il est la pour ça, être critiqué. Vous dites : qu’est ce que l’eo apporterait par rapport à l’anglais, cela veut déjà dire des conditions et que des hypothèses cette question est en fait, actuellement dans le domaine du travail international, qu’apporte l’eo par rapport à l’anglais et la je répondu quasiment rien. Mais si c’est d’une manière plus générale, l’angalis se retrouve très nettement désavantagé, car du fait de nombreux désavantages de la langue angalis dans la communication internationnale
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Suite à mon dernier article paru sur le site, certaines personnes voulaient sortir du thème et changer de sujet. Donc voici en un autre.
1 : L’espéranto est parlé par personne, l’anglais est parlé partout dans le monde. Faux, il existe ente 1 et 10 millions de personnes qui parleraient l’espéranto. L’anglais n’atteint que seulement 10% de la population mondiale.
2 : Oui mais on se débrouille partout avec l’anglais et pas avec l’espéranto. C’est un fait il est plus facile de trouver quelqu’un qui parle anglais que quelqu’un qui parle espéranto. Mais quel type d’anglais est utilisé, avec celui de base (bonjour, au revoir, où sont les toilettes), on s’y retrouve bien mais des que c’est d’aller de plus en plus vers une idée plus compliquer à exprimer le nombre de locuteur baisse fortement en anglais alors qu’avec l’espéranto il reste stable. De plus quand on sort de circuits traditionnels (hôtel, restaurant de « luxe ») la proportion d’anglais diminue très fortement.
3 : L’espéranto n’a pas réussi à devenir langue mondiale, l’anglais si. Oui l’espéranto n’y est pas encore arrivé en 120 ans, mais l’anglais malgré sa très grande diffusion à travers les médias y est arriver en 60 ans, non plus (cf. voir le point 1).
4 : l’espéranto n’a pas de littérature, l’anglais si. Encore faux, l’espéranto a une littérature (théâtre, poésie, roman, biographie, etc.) comme l’anglais mais dans un nombre moindre.
5 : l’anglais existe déjà et est facile à apprendre. Oui l’anglais est facile au début, mais en suite cela se corse. L’espéranto c’est facile au début et encore plus facile par la suite. En anglais il faut 20 000 heures pour ressembler à un natif, en apprenant en continue du vocabulaire, des idiomes barbares, des exceptions, des nouvelles règles de grammaire, et il faut continuellement l’entretenir. L’espéranto, sa grammaire c’est en 10 heures qu’on l’a connaît, ensuite ce n’est qu’un apprentissage de vocabulaire et on estime qu’il faut au maximum 1000 heures pour « e^être comme un natif ». En espéranto le plus difficile c’est le départ et encore, mais ensuite la facilité d’apprentissage s’accélère de manière exponentielle, alors qu’en anglais la difficulté s’accélère de manière exponentielle.
6 : L’espéranto n’a pas de culture, l’anglais si. Faux l’espéranto a une culture par sa littérature, ses journaux, ses chansons, l’état d’esprit d’un espérantophone, tout comme pour l’anglais. Mais il existe une grande différence entre les deux l’anglais n’amène qu’a la culture anglo-saxonne, l’espéranto lui à toutes les cultures du monde.
7 : l’espéranto est un tueur de langue, l’anglais non. Toujours faux , l’espéranto est là pour sauvegarder un maximum de langues que ce soit nationale, régional, locale, dialectes. L’anglais à cet effet inverse, comme à pu le faire le français et toute langue de grande puissance a une époque.
8 : l’espéranto doit être aussi difficile pour un asiatique voir plus difficile que l’anglais. Encore faut, il faut deux fois plus de temps pour un asiatique pour apprendre l’anglais qu’un européen, pour l’espéranto c’est la même chose mais à ceci près que pour un européen il faut dix fois moins de temps pour apprendre l’espéranto que l’anglais donc pour un asiatique il faut dix fois moins de temps pour apprendre l’espéranto par rapport à l’anglais. En pratique pour apprendre l’anglais en 2000 heures pour un européen, il faut 4000 heures pour un asiatique soit en espéranto 200 heures pour un européen et 400 heures pour un asiatique pour attendre le même niveau en anglais et espéranto.
9 : l’esperanto ne peut pas donner toutes les subtilités du langage, l’anglais si. Encore faux, l’espéranto peut donner toutes subtilités du langage et bien plus que certaines langues nationales Par exemple l’adverbe de « beau » n’existe pas en français, en français douzaine, vingtaine existe mais pas pour 7, 5, en espéranto cela existe.
10 : L’anglais est égalitaire comme l’espéranto, Faux l’espéranto est encore plus égalitaire, l’anglais est élitiste plutôt. Dans ce dernier peut de personnes peuvent facilement l’apprendre Avec ce dernier plus de 90% doivent apprendre une langue difficile, alors que les anglo-saxons ne se prennent même pas la tête pour le faire. L’espéranto c’est tout le monde apprend et de manière encore plus rapide qu’avec l’anglais L’espéranto à un esprit de liberté, d’égalité et de fraternité qui ne peu pas entièrement exister avec l’anglais.
Pour finir. Il existe beaucoup d’autres points que l’on pourrait aborder sur le sujet et même élargir le sujet. Certains penseront que je suis contre l’anglais, et portant non. C’est une langue comme une autre, comme le français, l’italien, le portugais, le corse, le basque que l’on aime ou n’aime pas pour diverses raisons qui sont personnelles à chacun. C’est une langue que je respecte mais doit garder sa place de langue nationale car elle présente un certain nombre de désavantages par rapport à l’espéranto dans la communication internationale et quand je dis internationale, il ne s’agit pas uniquement du monde des affaires ou des circuits touristiques à grande échelle mais également et surtout de la globalité de l’humanité, il s’agit du chef d’entreprise « speak english » jusqu’au paysan africain qui ne sort pas de son village.
Pour ceux qui voudraient approfondir le sujet espéranto voici quelques liens utiles : http://www.esperanto.qc.ca/frame-fr.htm un site avec beaucoup de questions réponses sur l’espéranto, UN SITE A NE ABSOLUMENT PAS MANQUER http://claudepiron.free.fr/index.htm le site de Claude Piron traducteur dans différents organismes internationaux qui nous explique ses expériences dans le monde international http://www.esperanto-sat.info/ un site traitant de l’espéranto http://www.agoravox.fr/ un site dont certains articles traitent de l’espéranto avec dans certains de grandes empoignades http://ikurso.esperanto-jeunes.org/fr/intro.php?temo=eo un site de cours d’espéranto en 2 niveaux de difficulté.
Certains de mes points peuvent paraître flou mais il y a tellement de chose à en dire qu’il est impossible de le faire dans un article. Donc par vos commentaires le sujet pourra se développer.
Cordialement. Espérantulo.
Post-scriptum : je prévois un aŭtre commentaire prochainement qui s’intitulerait : Unilinguisme ou plurilinguisme en Europe : Quels sont les solutions ? ; donc patience pour ceux que le sujet actuel n’est pas suffisant.
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oui, pour la discussion du pour et du contre de l’E-o réponses aux préjugés etc le site http://claudepiron.free.fr/ind... ci-dessus est escellent. Claude Piron, qui fut traducteur (pour l’anglais, et pour le chinois aussi je crois) auprès de l’OMS, puis psychologue/psychthérapeute, s’y connait et mapitrise bien le problème.
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le lien est à reprendre dans le comm d’Esperantulo, dans car en la copiant il devient illisible !
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Voilà un très ancien article...
Qui malheureusement (c’est vraiment dommage) commence par une erreur, puisque l’espéranto n’a pas été « créé de toutes pièces », mais construit sur la base d’éléments existants. Ainsi, plus de 90% du vocabulaire est issu de mots indo-européens fréquents, le système de préfixes-suffixes s’inspire de celui de plusieurs langues, dans la conjugaison simple et rigoureuse mais néanmoins complète on retrouve des éléments existant dans nos langues, comme le participe en « ant » etc etc...
Mais bon, disons que l’auteur, Hermès, ne devait pas être rodé à toutes les subtilités de la défense de notre langue internationale équitable...
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