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Christophe Arvis

Christophe Arvis

36 ans. Diplomé d'Economie, de Science Politique, de Finance et de Théologie.
Directeur Exécutif d'une société de conseil en financement entreprises
Ancien Secrétaire Général de l'Institut Turgot, think tank francophone

Tableau de bord

  • Premier article le 29/05/2007
  • Modérateur depuis le 28/02/2008
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Derniers commentaires



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 11 avril 2008 17:48

    Je travaille au coeur des marchés financiers. Les bras m’en tombent lorsque j’entends ou je lis des propos du genre : "l’argent ne sert pas à de l’investissement productif mais à de la spéculation !!!". Mais enfin qu’est-ce que cela veut dire ??. Heureusemnt qu’il y a nombre d’opérateurs qui prennent des risques que d’autres ne veulent pas prendre. Soit le capital va directement dans le financemnt de l’activité (favorisé grâce aux réformes récentes sur l’ISF qui multiplient actuellement les fonds et autres véhiculent d’investissments), soit il s’agit d’investissemnt en produits de couvertures, sans lesquels des "investissements productifs ne se feraient pas".



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 11 avril 2008 17:36

    Attention aux confusions : Les libéraux, notamment de la société de Mont Pélerin (que je connais bien) sont extrêmenet critiques de la politique des banques centrales, càd des systèmes à réserve fractionnaire, qui est en général anti-libérale. Il suffit de se plonger dans les sites internet des grands think tanks libéraux pour lire les analyses. 

    La crise des subprimes a une forte origine monétaire en raison des politiques irresponsables des directeurs de Banque Centrale, notamment aux USA.

    Tant que l’on aura l’illusion de pouvoir manipuler la monnaie, l’on créera des cycles économiques et financiers artificiels, faits de bulles et de krachs.

     



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 11 avril 2008 17:26

    Le débat éternel entre la répartition des richesses entre la travail et la capital est un non sens, et révèle à quel point nous sommes encore intoxiqué de culture économique marxiste.

    La part des richesses (VA) qui revient au travail sous forme de salaires est généralement immédiatement détruite car consommée. Celle qui revient au capital est réinvestie directement ou indirectement avec un effet ricochet profitable pour l’économie toute entière. CAr qu’on le veuille ou non la croissance économique repose d’abord et avant tout sur l’accumulation du capital, c’est-à-dire l’investissement qui permet le financement de l’innovation. Si la relance de la consommation de type kéynesienne fonctionnait, nous serions le pays le plus riche du monde avec notre niveau de dépense publique !!!

    Les pays occidentaux qui ont compris cela, affichent un croissance économique sur le long terme, alors que notre pays s’enfonce dans ses illusions économiques avec des effets dévastateurs : chômage élevé depuis 20 ans, dette et déficits publics considérables, croissance faible.

     



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 25 janvier 2008 17:32

    "l’action des banques américaine est plus libertarienne que libérale" ???????????????

    Non, c’est exactement l’inverse ! Les libertariens sont très critiques des systèmes de réserve fractionnaire actuels et sont favorables au système de banque libre. Voir les écrits des économistes libértariens Mises et Rothbard (lire "Man, Economy & State), voir encore le programme de Ron Paul, candidat libertarien aux présidentielles américaines.



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 15 juin 2007 20:39

    Merci pour votre article. Je partage les grandes lignes. Je suis sensible à cette idée d’innovation politique qui passe à mon sens par une innovation idéologique et programmatique. Je milite aussi pour une construction idéologique. Je compte y participer modestement avec mon blog et je suis entrain de faire un deuxième blog sur le thème de la Troisième Voie et j’y mettrai en ligne un certain nombre de textes traduits d’intellectuels et de prix nobel proches de la troisème voie, qui a mon sens peut être une base pour le Modem. Je ferais toutefois deux remarques : D’abord concernant le « bottom-up » : il faut voir ce que l’on met derrière la démarche participative qui, mal préparée, peut être contraire à un vrai renouvellement idéologique. Car dire « dites moi ce que vous pensez, je vous direz ce que je pense » est contraire à l’idée d’un think tank ou d’une innovation des idées. On attend des politiques qu’ils produisent aussi des idées et qu’ils expliquent le monde tel qu’il est. Et pas seulement de faire un catalogue de demandes électorales. Deuxième remarque : je crois que le terme de « néoconservateur » ne convient pas pour qualifier la droite actuelle. J’ai passé quelques temps dans deux des think tanks néoconservateurs aux USA, le Hudson Institute et l’American Interprise Institute, et les néoconservateurs traduisent un courant assez restreint de gens surtout animés par les questions internationales, très interventionnistes et ayant une certaine idée du rôle de la puissance américaine sur la sphère géopolitique. Sur le plan intérieur ce sont des libéraux très modérés, voir proches de ce que nous nous appellerions des sociaux-démocrates. Je crois que le droite française a sa propre histoire et qu’il est difficile de lui accrocher une étiquète qui vient de l’étranger.

    Bien à vous

    Christophe Arvis


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