mon billet est simplement destiné a montrer qu’encore une fois on assiste à un « enfumage »... il n’y a plus de classes sociales, plus de conflits... nous sommes tous sur la même barque.... et nous devons sauver la planète !
« Ce bouquin reprend ce qui s’est passé dans » le Monde depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Ce n’est pas restreint à l’hexagone, bien que la gare de Perpignan et, par là-même, la France soit le centre du Monde. Il faut comprendre que résumer un bouquin sur une page engendre une perte d’information.
Néanmoins, j’indique : « Après la deuxième guerre mondiale, les « Trente glorieuses » ont été une période relativement faste tant pour les populations du Nord que pour celles du Sud ». Il faut comprendre les populations des Pays développés et celles des pays du Tiers Monde et non pas les populations du Nord et celles du Sud de la France.
Vous parlez de libéralisme : Lequel ?
Le premier chapitre de l’essai de Bernard Conte est consacré à la définition du libéralisme économique et à la mise en rapport de ses différentes formes : du libéralisme de l’école classique au néolibéralisme en passant par les néoclassiques et les keynésiens.
Qu’entendez-vous par libéralisme d’Aznar ou de l’Inde ? Que recouvre le socialisme de Zapatero ?
Ce que nous pouvons affirmer, c’est que la libéralisation financière débridée, la dérégulation… mises en œuvre depuis la fin des années 1970 ont, inéluctablement, conduit à la crise actuelle… J’attends avec impatience qu’une douzaine « d’Aznar » vienne remettre le monde entier en ordre… (D’ailleurs la bulle immobilière espagnole était certainement de la faute de ce socialo de Zapatero).
Pour votre gouverne, Bernard Conte critique aussi « l’économie sociale de marché » proposée par les « socialistes » et inspirée par l’ordolibéralisme.