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Jacques Arfeuillère

Jacques Arfeuillère

Membre du Parti de Gauche, je suis enseignant. Rédacteur d'un journal départemental "Le Peuple Citoyen", je milite de plus en plus activement depuis 3 ans, conscient que la situation demande un engagement citoyen de plus en plus marqué. 

Tableau de bord

  • Premier article le 05/11/2012
  • Modérateur depuis le 18/11/2012
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Derniers commentaires



  • Jacques Arfeuillère Jacques Arfeuillère 2 janvier 2013 21:28

    A lire les réactions, je constate que s’il est un thème qui fait sortir du bois ceux qui polissent la haine et les idées prêtes à penser, c’est bien toujours, malheureusement, celui-ci. Je dis ça tristement en découvrant, une nouvelle fois, tous ces clichés, tous ces faux raisonnements à base de contre-vérités, de fantasmes, de mensonges... Prenez garde à ne pas vous retrouver bientôt à écrire ce qui, en d’autres temps, a allumé la poudre. La haine s’insinue, peu à peu se dévoile puis suinte jusqu’à insupportable. Je vous propose une relecture qui donne la nausée. C’est un texte de 1936 publié dans la presse d’extrême-droite. On peut y reconnaître, la violence verbale en plus, les mêmes arguments que ceux que je lis dans certains de ces commentaires.
    "Sommes-nous le dépotoir du monde ? 

    Par toutes nos routes d’accès, transformées en grands collecteurs, coule sur nos terres une tourbe de plus en plus grouillante, de plus en plus fétide. C’est l’immense flot de la crasse napolitaine, de la guenille levantine, des tristes puanteurs slaves, de l’affreuse misère andalouse, de la semence d’Abraham et du bitume de Judée. 
    Doctrinaires crépus, conspirateurs furtifs, régicides au teint verdâtre, pollaks mités, gratin de ghettos, contrebandiers d’armes, pistoleros en détresse, espions, usuriers, gangsters, marchands de femmes et de cocaïne, ils accourent précédés de leur odeur, escortés de leurs punaises. 
    Tandis que ceux-ci assomment nos ouvriers dont ils volent le pain, ceux-là ne cessent d’insulter à notre patriotisme, dans nos propres journaux.

      Henri Béraud, Gringoire, 7 août 1936."


    Moi, je veux bien devenir le dépotoir du monde car je ne suis pas prêt à laisser l’ordure de tels textes pourrir notre monde. 



  • Jacques Arfeuillère Jacques Arfeuillère 13 novembre 2012 00:37

    Merci, Occam de redéfinir le gratuit de manière simple et claire. J’ai visité le site, en extrait juste l’expression du droit fondamental qui devrait fonder toute proposition politique : « le Droit universel de tout être humain à disposer de son nécessaire vital, sa vie durant ».



  • Jacques Arfeuillère Jacques Arfeuillère 6 novembre 2012 19:41

    C’est bien d’aller au bout du raisonnement : ce qui est nié ici c’est tout simplement ce qu’on appelle la solidarité. Vous avez raison, au diable tous les parasites, les faibles, les malades, chacun pour soi et vive la race des seigneurs ! En ce qui me concerne le débat est clos avec cette « pseudo bombe » qui n’allume que des pétards mouillés et qui ne raisonne pas plus loin que son café du coin.



  • Jacques Arfeuillère Jacques Arfeuillère 6 novembre 2012 19:16

    Là nous sommes dans l’injure. J’invite cet anonyme à venir travailler une semaine avec moi (faire au bas mot ses 60 h, ce qui est le lot du prof qui cherche à aller au bout de sa mission). Ce qui est sûr, c’est que l’anonyme, lui, n’est pas de gauche.



  • Jacques Arfeuillère Jacques Arfeuillère 6 novembre 2012 19:13

    Là, il y a la totale : le couplet anti fonctionnaire, des chiffres frelatés, aucune mention de la part de richesse qui échappe à la solidarité nationale. ET qui plus est, la situation en Grèce et au Portugal regardée comme une bénédiction !
    Ces arguments sont ignobles, oublient simplement pourquoi l’économie doit être faite, pour permettre à ceux qui composent une société de vivre selon leurs besoins : les charges excessives feraient vivre les bénéficiaires du RSA et les fonctionnaires ? Je ne vous souhaite pas de vivre du RSA et je ne vous souhaite pas de vivre dans un pays dont les services publics seraient réduits à leur plus simple expression. Venez travailler aujourd’hui dans une école ou dans un hôpital et vous verrez combien on y « coince la bulle » !
    Allez continuer à penser que les cadeaux faits aux entreprises bénéficient à l’investissement productif : vous vivrez bientôt dans cette jungle que vous appelez de vos vœux...


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