IMMIGRATION
La misère
est le fondement de la société de l’argent !
(Le malade, l’industrie première.)
Il est certain que lorsque l’on n’a pour seul repère que le PIB et que l’on
sert le capital de la Dette publique, la
vision de l’immigration ne peut être que positive.
Multiplier la misère et les malades pour
générer du PIB.
Quand le PIB augmente, c’est de la croissance. Quand le pays fait de la croissance, il s’enrichit. Quand le pays s’enrichit, c’est de l’argent pour ceux qui en ont
besoins. Va sans dire, de l’argent pour les riches. Pour être pauvre, on n’a pas besoin d’argent.
Toute dégradation est source de PIB.
Par leur présence, par les désordres
qu’ils occasionnent ainsi que la délinquance et les vandalismes dont ils sont
responsables, les immigrés contribuent à
générer du PIB et à gonfler de capital de la Dette publique.
Le capital de la Dette publique contrôlé par qui ?
Il faut se méfier du discours des « intellectuels ».
S’il veut bouffer, un intellectuel n’a
d’issue que de servir le système qui lui remplit sa gamelle et lui nettoie ses
crottes.
Bon à rien et nul en tout, bardé de
diplômes bidons, il est persuadé qu’il
ne peut être qu’un « intellectuel ».
Le
bourbier européen
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com
L’EUROPE des CURÉS
http://mondehypocrite.midiblogs.com