Ces calculs technocratiques de CO2 - d’autant qu’il n’est pas prouvé que le co2 réchauffe la terre - sont ils une bonne piste, tout comme els critères « socio-écologiques » ? Ne faudrait il pas plus simplement appréhender la notion de durabilité selon la « durée naturelle ».
Prenons l’alimentation : je constate que ce qui n’est pas écologique - ou naturel pour le dire plus simplement - n’est pas durable. Ainsi les élevages industriels de lapins, de poulets, de porcs, ne sont pas durables car chaque camp d’extermination de ces pauvres animaux dépend totalement d’approvisionnements extérieurs :
les bêtes ne se reproduisent plus par elles mêmes ; les femelles sont inséminées, puis à la naissance les bébés femelles sont broyés ; la nourriture est sèche et est industrielle, elle comprend des antibiotiques ( 1.450 tonnes en France ) sans lesquelles les pauvres bêtes ne pourraient pas survivre.
Au final, un animal amené à maturation n’est pas viable : il ne pourrait plus vivre par lui même, ni même survivre dans un champ - à ciel ouvert - avec de la nourriture naturelle, comme de l’herbe à lapin, du grain pour les poulets, et des betteraves pour les cochons : il n’y a donc pas de durée naturelle. Ces élevages là ne sont pas durables. A partir de ce constat, l’horreur, la souffrance, et les dangers pour l’alimentation humaine : ils devraient être interdit. C’est d’ailleurs le cas dans de nombreux pays, comme l’Allemagne.
Pour les produits industriels je me demande si le raisonnement ne peut pas être identique : par exemple, les normes dites antipollution ont fait la guerre aux carburateurs et à partir de cela on en est arrivé - au delà de l’injection électronique - à des machines hyper sophistiquées que plus personne ne peut entretenir sans appareillage complexe ET spécifique, et coûteux : rien de durable la dedans ! Rien qui permette de faire « durer » les automobiles et de les conserver éventuellement pendant des décennies, ce qui était le cas auparavant, et ce qui est toujours le cas en Afrique. L’auto va devenir « jetable » et malgré ce gâchis, elle respectera les soi disant critères environnementaux.
Avec l’auto électrique à accus rechargeables, on frise l’escroquerie puisque cette source d’énergie amêne à développer le nucléaire ... qui est tout le contraire de ce qui est « naturellement durable ».
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à des pesronnes p