Le problème, quand on aborde des questions portant sur le comportemental, est toujours le même.
Chacun y va de sa grille de lecture et y tient mordicus, souvent sans se soucier des avancées scientifiques (qui sont, par définition, à remettre en cause constamment et ce n’est pas confortable).
Comme le dit Krokodilo, notre connaissance du cerveau est encore très parcellaire. Toute théorie communément admise aujourd’hui peut être balayée demain par une nouvelle découverte.
Quant à tenir des discours culpabilisants sur l’entourage (qui fait ce qu’il peut, même si parfois de travers), c’est non seulement pénible mais contre-productif : comment obtenir une quelconque collaboration au bénéfice de l’intéressé dans ces conditions ?