Je renvoie l’auteur de l’article à celui de Henry Moreigne (11/08/11) :
H. Moreigne y énonce clairement que : « C’est bien d’une vision politique pour la France et pour l’Europe dont nous sommes orphelins. C’est bien de choix politiques alternatifs dont nous avons aujourd’hui besoin ».
Or, ni à droite ni à gauche, personne ne semble à la hauteur de la situation actuelle. Aucun des candidats socialistes à la primaire n’a l’envergure d’un Mendès-France ; à droite, personne n’arrive à la cheville d’un de Gaulle.
Maintenant, je pense que François Hollande a des chances de battre Sarkozy par défaut - tant est fort le rejet de ce pouvoir.