autant je suis d’accord sur le fond de l’analyse autant je ne le suis pas sur l’exemple choisit
plusieurs points
- un comportement ( sexuel ou autre ) est défini comme pathologique a partir du moment ou du point de vu de la personne il vient empiéter sur les autres aspects de sa vie dsk a toujours dit que dans une élection son attitude sexuelle était son talon d’ achille. Indépendamment de toute notion sur ce qui s’est réellement passé et que j’ignore sauter sur tout ce qui bouge n’était pas une bonne idée
- la liberté d’un individu en tant que tel est une chose, en ce qui concerne un homme politique si j’estime que son manque de self control et d’autre part les moyens de pression que cela permet a d’autres de détenir sur lui ne le rendent pas apte a me représenter je ne vais tout simplement pas voter pour lui .....
- dans ce quand de figure il y a quand même de forte présomptions que son comportement dépasse le cadre du consentement mutuel : la crédibilité de la plaignante est entachée par ses mensonges mais il a aussi menti si elle perd son droit a être considérée comme une victime il est tout aussi légitime qu’il perde celui d’être considéré comme digne de foi.