En faisant du cas DSK le prétexte de votre article, celui-ci devient du coup complètement à coté de la plaque. Ce qui est reproché à DSK n’est pas d’avoir transgressé un quelconque ordre moral, mais d’avoir violé des femmes. Ce qui n’est quand même pas du même ordre à moins que vous ne considéreriez la torture et le viol comme des formes abouties du plaisir libertin .....
Ou pour dire les choses différemment, si l’instant-sex c’est votre truc, je vous souhaite d’en tirer tous les plaisirs du monde, mais je ne vous souhaiterai jamais de vous faire violer, même par un directeur du FMI. C’est mon « ordre moral » à moi.