Bonjour,
Il n’est nulle question de polémique dans cet article. Il s’agit plutôt de mettre en lumière le fait que les hôpitaux publics s’intéressent à un phénomène de société grandissant, et peu ou pas maitrisé par les praticiens occidentaux.
Avant de juger ces pratiques « douces », il s’agit donc de les comprendre à travers des études médicales et des expérimentations, de les valider ou non et, le cas échéant, de les intégrer dans le parcours de soin des patients. Car, jusqu’à présent, certains patients en souffrance partent dans la nature à la recherche de solutions alternatives sans bien connaître les effets réels sur leur santé.
Ne s’agit-il pas d’une question légitime d’ouverture d’esprit et de santé publique ?