Bonjour,
La primaire étant une opération privée, ce sont les organsateurs qui en fixent les règles.
Les opposants ont essayé d’invoquer la constitution mais il n’y a eu aucune action contre.
La Cnil consultée a donné ses recommandations.
Devant le succès numérique, la droite cherche des noises. Après.
Avant de se rallier à cette pratique (qu’on peut contester d’ailleurs) lors de futures élections.
La dernière trouvaille de Mariani est le vote d’étrangers.
Les conditions de la primaire au lieu de polémiques inutiles aurait du faire réfléchir aux conditions de la citoyenneté.
Le PS a estimé que les 16-18 ans pouvaient voter. En Autriche, si mes renseignements sont exacts, les jeunes ont le droit de vote à 16 ans et c’est une proposition qu’on pourrait discuter. Il semble que le PS aille dans ce sens.
Comme il n’y a pas de liste électorale des 16-18 pas, une façon de tourner la question, était de demander la carte d’adhérent du PS ou du MJS. Ce qui n’est pas incohérent par ailleurs. Si le candidat du PS avait été désigné par les militants du PS, ils auraient eu le droit de vote. Comme le PS avait décidé d’ouvrir le choix à tous les citoyens, cela ne pouvait pas conduire à exclure de militants du PS.
Même s’ils étaient étrangers. Si le PS n’avait pas autorisé ses militants étrangers à voter, cela aurait entaché sa crédibilité quant à sa promesse de donner le droit de vote aux étrangers non communautaires pour les élections locales.
Les primaires italiennes étaient ouvertes à tous les étrangers.
Cela pose la question de la citoyenneté liée à la nationalité ou à la résidence, à la place dans la société, à la vie dans la cité....