Ah, ce bon vieux vase de Soissons. Ca faisait si longtemps qu’on n’en avait pas entendu parler.
J’ai lu votre article avec plaisir, malgré quelques détours, peut-être nécessaires, même si les canons de la rhétorique en souffrent un peu.
Quoiqu’il en soit, on se prend à rêver sur les drames anciens, de ces temps où les responsables étaient connus.
Qu’en est-il aujourd’hui ? On peut avoir toutes les haches que l’on veut, les responsables ne sont nulle part.
Tels des enfants colériques, nos voix se perdent tandis que l’infâmie généralisée continue gentiment son chemin.