@Gelone
En Italie, il existe déjà un mécanisme d’initiative populaire, dans les provinces du Nord, limité certes à des niveaux de pouvoirs régionaux.
C’est marrant de constater que les éternels « indignés » comme d’habitude ,n’ont rien compris à la manoeuvre.
Que je sache, l’essence même du référendum est d’être d’initiative populaire,que des populations, mécontentes de mesures,puissent faire pression pour limiter le pouvoir des « décideurs ».
Ou que ,sur un sujet précis,les minarets par exemple, des citoyens se groupent pour demander une consultation.
Par contre, quand des politiques, qui refusent par ailleurs d’inclure le référendum dans la loi, se décident à consulter le peuple, c’est que généralement, ils n’en sortent pas, on se souvient de De Gaule,ou que dans le cas présent, ils tentent comme vous le soulignez d’obtenir quitus pour leurs décisions désastreuses.
Ce que l’on oublie de bien répéter, c’est que dans l’euro, ou hors de l’euro, c’est vous, moi, les citoyens européens qui vont payer les dérives de la Grèce.
Et on a vu très vite que le non était loin d’être acquis ,les grecs ayant compris qu’il vaut mieux rester bien au chaud de l’union.
Quant à la légende urbaine que ce serait une oligarchie qui détrousse la pauvre peuple, il n’est que de voir la proportion de gens émargeants d’une façon ou d’une autre aux caisses publiques.
Ajoutez à cela les mesures imbéciles de nos grand esprits à propos du climat, dont ils restent persuadés de pouvoir garder la main sur le thermostat,et qui précipitent notre désindustrialisation.
Si on remet là dessus une petite couche d’antinuc primaire, on va droit à la pauvreté,oups, la sobriété, dont rêvent nos écolos bobo