Il y a deux choses à mettre en balance : l’évaluation de la dangerosité de l’individu et sa réinsertion. Aucun de ces deux enjeux ne doit être sacrifié au profit de l’autre.
Je ne trouve pas cet article excessif. Je n’en dirai pas autant de Marine Le Pen qui, n’ayant aucune idée sur le sujet, brandit bêtement la peine de mort. Son imbécilité la discrédite comme candidate à la présidence.