Ce qui pousse la demande en volume de bits c’est surtout l’exigence de toujours plus haute définition des images.
Si cette exigence allait à percevoir jusqu’à la moindre ridule des visages, à la limite pourquoi pas puisque ça nous amènerait à aimer les rides.
Or ce ne sont pas nos rides qui sont proposées au regard mais des images artificielles de nous.