Très bien vu, analysé et écrit. Et l’iconographie de Micah Wright enfonce le clou. Merci Lalo pour ce partage. Nul doute qu’avec la cohorte journalistique d’un niveau déontologique abyssal, notre éloquent 44ème rang mondial pour l’indépendance et la liberté de la presse soit plus que justifié voire surestimé !