Musique libre et gratuite, on revendiquait çà au début des années 70. On entrait sans payer dans les concerts, etc.
Anonymous : il y a à la base certains militants sincères et un peu neuneus, mais au sommet, ceux qui tirent les ficelles, on trouve un mix mafia/services secrets/officines de sécurité bien peu ragoutant.
Exemple : des officines de sécurité hackent, sous couverture « Anonymous », telle ou telle entreprise ou organisation, puis dans la foulée proposent des solutions anti-hackings à ces victimes d’Anonymous Business is business, my friend !