Puisqu’aucune privatisation n’est favorable au peuple, j’en déduis qu’il faut tout nationaliser ou renationaliser.
Une nationalisation réduirait les écarts de salaire, actuellement scandaleux.
Nationaliser les banques, et retrouver le droit de frapper monnaie. Supprimer l’intérêt, le réduire aux frais de fonctionnement. Une banque ne devrait pas générer de profits, selon moi. D’ailleurs seul le travail devrait générer un profit. L’usure, l’intérêt, sont un vol, et les banques islamiques le disent bien. Qui peut ici défendre l’usure, sur quels arguments ?
Les actionnaires sont actuellement un poids : si tous les bénéfices reviennent à l’Etat, les impôts seront automatiquement diminués. Mais aussi l’Etat pourra financer efficacement la sécu, les retraites.
C’est bien ce qui s’est passé en 45, non ?
Nous somme riches, plus que jamais, mais nous sommes volés, plus que jamais.
Et ce sont nos voleurs qui fixent les règles, et la façon dont ils peuvent légalement nous plumer, parce qu’ils ont infiltré les plus hautes instances de l’Etat, par la corruption, insidieusement. Giscard et Pompidou sont deux de ces corrompus à la bonne figure, mis à cette place par la banque Rothschild, pour aucune autre raison. Giscard a poursuivi le travail avec son traité européen, qui n’est que l’expression de la volonté des banques, et non des peuples.
Alors ? Alors c’est Mélenchon qu’il nous faut. Il veut nationaliser Total : 12 milliards de bénéfice.A mon avis il ne va pas assez loin. Chavez, au Vénézuéla, menace de nationaliser les banques. Que ne le fait-il pas !
Le capital a perdu toute morale ; il ne mérite pas ce qu’il gère, n’a jamais rien faire pour le mériter ; il faut le lui reprendre. Nous devons revenir à l’égalité, d’urgence, sauf à voir cette égalité reconquise par la violence.