- Le libéralisme triomphant, c’est la société de marché : un intégrisme.
- Le communisme au sens marxiste, c’est le tout État : un intégrisme.
- Pour faire court, je dirai que le keynésianisme, c’est fifty fifty : un centrisme.
Dans les pays ultra-libéraux, un communist c’est un keynésien de gauche parce qu’il y a des keynésiens de droite.
- L’UMP comme son chef croit la théorie du ruissellement : on appelle ça les « bling bling ».
- Le Modem est un danger pour l’école républicaine.
- Le PS aujourd’hui parti libéral et mondialiste n’est plus de gauche : ceci explique cela, puisque le keynésianisme est contre-productif dans le cadre de la mondialisation libérale vers laquelle nous entraine à marche forcée, l’UE et la social démocratie européenne.
Ne reste que le FDG, parti keynésien de gauche soutenu par un aréopage d’économistes et intellectuels de talent, qui a la chance d’être porté par un homme de conviction, républicain et laïque authentique, humaniste et de surcroit grand orateur.
Pour ceux qui lui reprochent ses prises de position contre le Tibet, je leur conseille d’écouter ça : JLM dénonce y les régimes théocratiques, et déclare sans ambages que l’Iran est une menace pour la paix dans le monde.