"Ainsi, contrairement à ce qu’on peut penser, les préoccupations
relatives au déficit public, à la monétisation de la dette, et à
l’inflation, ne se retrouvent pas du tout dans la lecture des débats."
Et voilà, tout est dit : on parle de tout, mais surtout pas du sujet qui fâche et qui enverra les finances de l’état dans le mur pour le plus grand bonheur des banques.