« Pour finir, on peut ajouter que ce fut la première fois depuis un certain temps que les parlementaires eurent à se prononcer « à froid », sans contrainte extérieure due à la situation monétaire internationale, sur les questions relatives à la Banque de France et à la monnaie. »
Je ne veux pas être méchant avec l’auteur...
Mais dire qu’en janvier 1973, il n’y avait pas de contrainte extérieure due à la situation monétaire internationale, un an après la suspension de la convertibilité du dollar en or et deux mois avant l’écroulement complet du système des taux de change fixe, me semble discutable...