J’aurais plutôt intitulé l’article « Pourquoi voter ».
Si l’on est démocrate, l’idée même d’élire un dirigeant (un maître, quoi) est profondément révoltante, foncièrement inacceptable.
Mais nous sommes si attaché à cette institution antidémocratique qu’est l’élection (présidentielle) que mon propos relève du crime de lèse-majesté.
Vive l’oligarchie, tous aux urnes pour choisir notre prochain maître !