On retiendra de NS qu’il était à la fois capable de se frotter aux défis les plus difficiles et de se montrer mesquin à un niveau consternant. Son implication dans le règlement de la crise géorgienne et même dans la gestion de la crise financière a été un coup de maître, quoi qu’en disent ses adversaires. Mais à côté de cela, vous avez l’épisode de Gulvinec, le casse-toi pauv’ con,... et pour couronner le tout, la broyeuse ! N’a-t-il pas été Président « trop jeune » ? Un ado à l’Elysée !