Un autre expert, François Lempériere, imagine une solution plus
simple, proposant de remplir de béton l’intérieur des enceintes des
centrales nucléaires abandonnées, puis de remblayer 10 mètres au dessus de cette enceinte, soit une colline de 60 mètres au dessus du terrain naturel, et enfin d’engazonner et d’arborer la zone remblayée.
Ca doit être sûrement mieux que les enfouissements profonds que Cabanel décrie par ailleurs.
Mais je suis d’accord sur un point : c’est beaucoup plus simple.