S’il est une coutume française quand la promotion nous élève, c’est de savoir respecter le travail de notre prédécesseur, nous gardant bien d’invectiver les précédentes erreurs pour camoufler les nôtres. Coutume de courtoisie et de respect, elle a l’immense avantage de se voir normalement appliquée à toutes les échelles de l’institution sociale, de la petite PME locale à la plus haute magistrature politique de notre Nation.
Devant une telle bétise, j’ai arrété de lire l’article. Visiblement, l’auteur vis dans un autre monde. Au contraire, fustiger les responables précédents des problèmes présents est une constante appliquée à toutes les échelles de l’institution sociale, de la petite PME locale à la plus haute magistrature politique de notre Nation. Et pas seulement dans notre nation, mais partout dans le monde.