Les industriels allemands ont compris qu’ils se devaient de garder la qualité comme but afin de ne pas avoir à concourir avec des produits manufacturés à bas coût dans d’autres pays. En effet, il est impossible de gagner contre une production alimentée par des pays où la main d’œuvre est bon marché, même lorsque l’on y délocalise ses usines (coût de la délocalisation, salaire des expatriés, coût du transport).
Résultat : les voitures allemandes, par exemple, ne se sont jamais aussi bien vendues. Les français, notamment, préfèrent acheter des allemandes d’occasion, qui vieillissent en général très bien, plutôt que des voitures françaises neuves, aussi chères et vite sujettes aux problèmes mécaniques ou électroniques.
Même la République Tchèque avec Sköda sait désormais faire mieux que Renault ou PSA.
Seuls quelques modèles sortent du lot (C5 et C6, par exemple).