La « Crise », quelle crise ?
Pour les gueux, oui, mais pour la finance internationale (Golman-Sachs et JP Morgan en tête) sûrement pas...
Les financiers ont allègrement surfé sur les aides destinées à les « sauver », puis sont passés à l’étape suivante : le démantèlement des biens publics et la privatisation à outrance des sources de profits en menant en parallèle la socialisation des pertes...
Pendant toutes ces années, les CEO et les traders se sont gavés comme jamais avant.
Maintenant que l’ensemble de l’économie est à terre, ils s’en foutent royalement, ils ont de tels matelas de lingots d’or qu’ils ont de quoi assurer une belle vie à de nombreuses générations de leurs descendants (en se débrouillant bien pour l’éternité)...
Vous êtes pessimistes. La crise ne l’a pas été pour tout le monde.