Je ne vois aucun intérêt à cet article, et lorsque je vois Silent Bob dire qu’on n’interroge jamais les Français du bout du monde, je me permettrai de lui répondre : « comment le savez-vous ? ».
Justement je trouve qu’on entend un peu trop tous ces exilés qui ne font que critiquer leur terre nourricière, abandonnée un poil lâchement, il est si facile de jeter l’opprobre, loin.
Seulement dans la détresse ou dans l’adversité, ils sont absents, préférant les lumières utopiques aux racines ancrées, et toujours le leitmotiv des condamnations acerbes de ce qu’ils ne connaissent plus...
Quitte-t-on une femme qu’on aime ?