Rapprocher Assange des Pussy Riot est une malhonnêteté intellectuelle :
De la transparence à l’opacité.
Avant de réclamer la transparence des systèmes, jaugez
l’opacité de votre propre personne pourrait-on dire à Julian Assange pour
paraphraser le principe de la paille et de la poutre. Il est incongru que le
chantre de la glasnost étatique se défile face à une accusation de viol et
d’agression sexuelle. Finalement, ça révèle bien la crédibilité à portée très
limité du bougre, sans même évoquer la dérive de ce que je baptisais dès
décembre 2010 de WikiShit : cf. De WikiLeaks à
WikiShit.
Grotesque jusqu’au poutisme.
Poutine
et ses sbires judiciaires remettent au sale goût du jour l’arriération étatique.
Quand cessera-t-on cette complaisance internationale envers le théoricien de
l’exécution « jusqu’au fond des chiottes » ? L’infect jeu de
rôle politique avec son obligé Medvedev n’a fait que confirmer des apparats
démocratiques qui reniflent la charogne mal maquillée. J’espère qu’une
avalanche de punkettes le stigmatisera sans retenue pour qu’il se sente réduit
jusque dans sa virilité sacrée. Cf.
le thème “Poutine” sur “Le Lyonnais pamphlétaire”.