Ces déclarations sont évidemment scandaleuses, venant d’ une « aristocrate du fric », qui, comme les aristocrates parasites de l’Ancien Régime, ne s’ est donnée que le mal de naître !
La solution existe : la nationalisation.
Mais, chez nous, nous avons aussi des spécimens du même genre.
On apprend ce jour que Bernard Arnault vient de demander la nationalité belge
!
Ca n’est pas une blague, c’est le Journal « Les Echos », dont il est
propriétaire, qui l’annonce. Au passage on imagine la « liberté » dont les
journalistes de ce journal disposent lorsqu’il s’agit pour eux d’évaluer les
beaux résultats du système ultra libéral (mais il est vrai que l’on est jamais
si bien servi que par soi même).
Première fortune de France et d’Europe, 4è
fortune mondiale, avec 41 milliards de dollars, ce Monsieur a au moins le mérite
(et c’est bien le seul) de faire comprendre à ceux qui n’y arrivent pas, ce
qu’est concrètement un oligarque.
Cela étant, il sait à qui il a affaire. Il a
compris qu’avec les sociaux libéraux il ne craignait rien. « I am not dangerous »
(Hollandréou, dans le texte).
La devise d’Arnault, qui en rappelle une autre, où il
est question de Dieu : « Si la gauche n’existe pas, tout est est permis ! ».