Il est vrai que des artisans lourdement taxés et réglementés pouvaient à juste titre s’estimer victime d’une sorte de concurrence inégale de la part des auto-entreprises. Celles-ci rentrent donc à l’étable pour la tonte obligatoire.
Cependant des systèmes encore plus marginaux se développent, comme ces « banques du temps » qui ne font que, derrière des apparences très baba-cool,de recréer une monnaie d’échange qui échappe à la taxe. Je me demande quel chemin l’état empruntera dans le futur si ces systèmes devaient se développer sous la pression fiscale : interdiction, reconnaissance comme monnaie des unités de temps .... ?