Une pseudo-introspection qui tourne vite à la caricature.
Si il y avait une vraie volonté d’analyser « l’influence de nos totalitarismes », de faire un vrai inventaire l’auteur aurait dû se pencher sur nos autres totalitarismes, tel le Communisme.
Or l’auteur s’empresse de botter en touche dès le début de l’article prétendant que cette influence fait partie du passé, ce qui est faux comme le souligne de manière frappante l’affaire Pussy Riot.
S’observer avec un regard hémiplégique n’a aucun intérêt.
Mais l’auteur n’observe pas la société dans laquelle il vit : les juge les autres, assène ses vérités et ses sentences.