le but
http://www.admd.net/les-objectifs/le-texte-fondateur.html
Imaginons un instant une culture où la mort serait appréhendée comme
la métamorphose qu’elle est réellement. Celle-ci serait ritualisée à
l’instar de la naissance ou du mariage comme un changement d’état. Le
droit de choisir l’instant de sa métamorphose serait accepté comme
l’est devenu aujourd’hui, au moins légalement en quelque vingt ans, le
droit pour la femme d’être maîtresse de sa fécondité.
Chacun pourra donner à sa mort le cadre et le style qui lui
conviennent et exprimeront le mieux son destin propre. L’un convoquera
toute sa famille, l’autre quelques intimes. On choisira de mourir un
soir d’été à la campagne, au coin du feu, l’hiver, en regardant la
télévision ou en écoutant Bach. “Je vois cela d’ici ! me dit un
ami. C’est toute une industrie que tu appelles à naître. La mort à
forfait : plusieurs formules, tout compris, à des prix très étudiés. Ah
! mourir à Tahiti dans les bras d’une jeune indigène, un seau à
champagne à son coude…“
blabla, digne, degradant etc et donc indigne si tu veut vivre
en boucles au JT de TF1