Je crains la foule, je la déteste, je l’ai vue à l’oeuvre, pas qu’une fois : rien de bon.
D’abord, elle n’est pas courageuse, s’enflamme, gueule, mais il n’y a plus personne, en dehors des « agiprop » dès que les affrontements risquent de générer plaies et bosses. ;
Si vous en avez l’occasion, vous pouvez visionner les images de la prise d’assaut du siège de l’assemblée nationale chez les rousskis.
C’est éloquent, c’est une belle illustration, et démontre ce que je dis.
Il suffit que soit lancé un mot d’ordre à la con pour que s’enfle la voix de la foule, qui ne réfléchit même pas à la réalité des choses.
A partir de quelques coups de matraque sur la tronche, de jets d’eau, de gaz lacrymogène ou de balles de caoutchouc, tout le monde fout le camp boire un coup au troquet du coin en se racontant ses merveilleux exploits et son imprescriptible défi à l’ordre établi.
Ce qui n’empêche pas mon respect pour votre belle étude.