shakka, après mes nombreuses et longues études contradictoires, je pense que c’est votre version qui est la bonne, même si je dois faire de la peine aux familles (fabb54). Le meilleur service à rendre aux patients n’est-il pas de parler vrai ?
Je vous donne ce que je sais avec toutes les réserves possibles, mais je vous le donne quand même. Le virus VIH ne serait pas l’agent du Sida. Les tests Elisa et Western Blott seraient de coûteuses fumisteries, absolument pas fiables, et vous pouvez être positif d’un côté d’une frontière et négatif de l’autre.
Les tri-thérapies sont moins dangereuses, un peu, mais l’AZT était au départ une molécule abandonnée pour ses catastrophiques effets secondaires et qui traînait dans un tiroir. Sa propriété principale était de provoquer un déficit immunitaire et de tuer en trois ans. Exactement les signes du Sida : étrange, non ?
Le Sida, qui n’est pas une maladie en soi, comme le dit Shakkra, viendrait de l’affaiblissement du système immunitaire par différentes causes, dont le nitrite d’amyle, très en usage dans la communauté homosexuelle US et ailleurs, appelé « Popppers », mais aussi toutes sortes d’atteintes toxiques, ou liées à une mauvaise alimentation, une eau de mauvaise qualité et une hygiène déplorable.
Etre VIH+, c’est à dire avoir rencontré par malheur un virus sans doute pas plus dangereux que la grippe, vous condamnait au traitement et à ses effets secondaires.
C’est une hypothèse qu’il faut connaitre et étudier, et non crier au scandale.
Elle est lourde de conséquence.
J’ai dit depuis longtemps que dès que le Sida serait en voie de disparition (et il semble que ce soit le cas actuellement, en partie grâce à l’arrêt de l’AZT), on ne manquerait pas de proposer un vaccin aussi coûteux qu’inutile, et c’est ce qu’on observe sans doute.
A titre d’exemple, il y avait 800.000 rougeoles aux USA en 1958, 3.000 en 1962, et le vaccin est apparu en 1963, s’attribuant toute la gloire.
En France, 4000 décès par rougeole en 1900, 20 en 1982, juste au moment où on a introduit le vaccin.
Et c’est vrai que Montagnier n’a plus l’air d’y croire beaucoup, à son virus : il dit en gros que le Sida se soigne avec du pain et de l’eau potable...
Bon, je dis ça, j’ai rien dit. Cherchez un peu avant de hurler à l’assassin !